09 décembre 2019
Nouveau site du syndicat SNUDI FO Manche :
Le nouveau site du syndicat est là :)
rendez-vous sur snudifo50.fr
Pour nous contacter, ça n'a pas changé :
la page Facebook est toujours là,
nouveau : un groupe privé FB réservé aux syndiqués,
l'email snudifo50@gmail.com
le téléphone mobile 07 82 97 25 81
le local FO du lundi au vendredi 02 33 53 03 72
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17 octobre 2018
Le SNUDI F.O. vous alerte : projet de suppression du 2e mouvement !
Après les évaluations PPCR à la tête du client,
le ministère s’apprête à remettre en cause les règles essentielles du mouvement (suppression de l’ancienneté générale de service et du 2e mouvement…)
À l’occasion du groupe de travail ministériel du 08/10, le ministère a confirmé ses projets suivants :
- Suppression de l’Ancienneté Générale de Service dans les barèmes pour le mouvement
- la suppression du 2d mouvement
- des affectations autoritaires et arbitraires, à titre définitif comme à titre provisoire
- l’harmonisation académique des règles du mouvement remettant en cause la place et le rôle des délégués du personnel et des prérogatives des CAPD
Le SNUDI F.O. n’accepte pas !
Ainsi pour le ministère, l’immense majorité des affectations devraient être réalisées à titre définitif à l’issue d’une seule saisie des vœux, c’est-à-dire la suppression pure et simple du 2d mouvement et de la réunion de la CAPD.
- Un seul mouvement intra (avec un mouvement à la marge fin août – début septembre) pour lequel les PE devront émettre « les vœux par école » et « des vœux par secteur » et/ou par typologie et poste.
Le périmètre de ces secteurs serait laissé à l’appréciation de chaque DASEN, sans aucune règle nationalement définis, et soumis au CT.
- Une affectation massive à titre définitif, y compris sur des postes ne faisant pas partie des veux émis par les collègues. Ainsi, des collègues seraient « prisonniers » peut-être des années durant sur un poste qu’ils n’auraient pas sollicité, y compris pour les affectations sur postes fractionnés, ce qui est inadmissible.
- Des affectations provisoires limitées pourraient être maintenues pour les enseignants qui ne détiennent pas la certification ou le diplôme requis (spécialisés, directions…).
Le Ministère prévoit « d’offrir » au cours d’un seul mouvement « autant de postes qu’il y a de participants au mouvement » avec affectation « coûte que coûte » à titre définitif sur des postes non choisis. Pour cela, il demande aux DASEN de proposer à la publication « outre des postes précis, des postes correspondants à des zones géographiques et/ou à une certaine typologie de postes» sur lesquels seront affectés les enseignants.
Les expérimentations concernant les « postes correspondant à des zones géographiques » sont édifiantes. Ces « postes » ne sont ni plus ni moins que des affectations selon les besoins du moment, évoluant d’une année sur l’autre ou même en cours d’année pour faire face à la pénurie de postes qu’organise le ministère. L’instauration de ces « postes » signifie la liquidation du droit volontaire à mutation auquel est substituée la mobilité forcée.
De plus, le ministère veut transférer aux CTSD, regroupant tous les représentants des personnels de l’Éducation nationale sans distinction de corps, le rôle d’examen des notes de service concernant la mutation des personnels du 1er degré. Cette mesure remet en cause les prérogatives des CAPD ou siègent les représentants du corps des instituteurs et Professeurs des écoles.
Une nouvelle fois, le SNUDI-FO a exprimé sa totale opposition à toutes ces modifications lors du groupe de travail. Le SNUDI-FO a soulevé les nombreuses injustices, l’arbitraire et la remise en cause du statut qu’elles engendraient. Ce serait un coup fatal porté au droit à mutation contenu dans le statut général de la fonction publique. Le ministre avec ce projet prépare la mobilité forcée, par définition.
La logique de PPCR appliquée au mouvement : inacceptable !
Après les décisions discrétionnaires liées à PPCR dans les promotions de grade et d’échelon, le ministre veut étendre l’arbitraire au mouvement des PE en supprimant les éléments objectifs et vérifiables par tous du barème.
Le SNUDI-FO a indiqué pour sa part que le maintien d’un mouvement en deux phases avec une seconde saisie de vœux sur des postes précis pour des afectations à titre provisoire pour les PE n’ayant pas eu satisfaction à la 1ère phase était la seule réponse possible.
Le SNUDI F.O. revendique :
► Le maintien des deux phases du mouvement avec saisie de vœux sur postes précis.
► Il s’oppose au projet ministériel d’affecter les enseignants à titre définitif sur des postes non demandés.
► Non aux vœux élargis : zones, types de postes… !
► Abandon du projet de contraindre les collègues à formuler des vœux sur des postes correspondant à des zones géographiques
► Maintien de toutes les prérogatives des CAPD. Non aux harmonisations académiques !
► Le maintien de l’AGS comme élément essentiel du barème pour tous les postes et la suppression des postes profilés
Afin de proposer l’organisation de la mobilisation en défense des règles de mutations, le SNUDI FO a invité les organisations syndicales nationales SNUipp-FSU, SE-UNSA, SUD Éducation, CGT Edu’action à une réunion intersyndicale, avant la tenue d’un nouveau groupe de travail qui doit se réunir le 18 octobre.
Le SNUDI F.O. invite les enseignants du 1er degré à s’informer des projets destructeurs du ministère. Il les invite à multiplier les prises de position dans les écoles et les réunions.
le 10 octobre 2018
La déclaration nationale intersyndicale FO, CGT, FSU, UNSA sur ce projet de destruction du mouvement est consultable ici
contact SNUDI F.O. Manche : snudifo50@gmail.com 07 82 97 25 81
02 octobre 2018
RIS
Participez à l'une de nos prochaines RIS !
Premier trimestre 2018-2019 | ||
---|---|---|
Cherbourg | mercredi 10 octobre 9h-12h lundi 15 octobre 17h-19h |
Maison des syndicats, 56 rue de la Bucaille local F.O. 2e étage |
Valognes | mercredi 17 octobre 9h-12h | lieu à venir |
Coutances | mardi 20 novembre 17h-19h | FJT 162 rue Régis Messac |
Granville | mardi 13 novembre 17h-19h | Agora 361 rue Saint-Nicolas |
Avranches | mercredi 21 novembre 9h-13h jeudi 22 novembre 17h-19h |
école PMF (à préciser) |
Liste des RIS non exhaustive (en fonction de l'actualité, des besoins... contactez-nous !)
Au programme des RIS :
Réforme des promotions : retour sur le mécanisme des promotions depuis 2018
Disparition des barèmes, évaluations à la tête du client, prime au mérite...
Evaluation des enseignants : attention, danger ! Exemples d' "accompagnement" individuel et collectif mis en place dans le cadre de PPCR
Direction d'école : tableau des projets de réforme, belles promesses et moyens en baisse : le leurre de l'autonomie des écoles, les effets de la territorialisation de l'école et des rythmes scolaires
AESH : point sur cette rentrée scolaire
Evaluations CP/CE1, APC, que reste-t-il de notre liberté pédagogique ? Lien avec le dispositif "100% Réussite"
(consultez la page d'archives des RIS du SNUDI F.O. ici)
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20 septembre 2018
Les animations pédagogiques n’ont pas de caractère obligatoire ! Le SNUDI-FO s’adresse à la DGESCO
Montreuil, le 13 septembre 2018
à Jean-Marc Huart
DGESCO
Objet : inscription des PE aux animations pédagogiques ; organisation des APC
Monsieur le Directeur,
Par courrier en date du 12 avril 2018 (ci-joint à nouveau) nous vous avons alerté au sujet du courrier que la DGESCO a adressé aux recteurs, aux IA, aux IENA et aux IEN à propos de l’organisation des 18 heures d’animation pédagogique.
Ce courrier indiquait que « les 18 h d’animation pédagogique et de formation continue prévues dans les ORS des PE seront obligatoirement centrées sur des actions dédiées à l’enseignement de la lecture, de l’écriture et des mathématiques (…)».
De plus, il précisait que les 18 heures devraient se répartir en 9 heures pour le français et 9 heures pour les mathématiques, sur des sujets définis précisément pour chaque cycle.
Nous vous rappelions que la notion d’animations pédagogiques obligatoires n’a pas de valeur réglemen- taire. Le décret n° 2017-44 du 29 mars 2017 définissant nos obligations réglementaires de service précise que les PE doivent effectuer « 18 heures consacrées à des actions de formation continue, pour au moins la moitié d’entre elles, et à de l’animation pédagogique ».
Il n’indique pas, et ne définit pas non plus, de notion d’animation ou de formation obligatoire. Les PE restent donc libres de choisir les animations pédagogiques auxquelles ils souhaitent s’inscrire dans le cadre de ces 18 heures.
Les problèmes posés dans le courrier de la DGESCO ressurgissent à cette rentrée. Les collègues dans les départements sont confrontés à l’inscription obligatoire à un « bloc de 18 heures d’animation pédagogique imposé » ou à l’inscription à plus de 18 heures d’animation pédagogique (dans certains départements, inscription demandée à 30 h d’animation pédagogique, cumulant les 18 heures, avec les deux demi-journées évoquées dans un renvoi de bas de page de l’arrêté du 17 juillet 2017 et les 6 h de la journée de solidarité, qui ne relèvent pas des mêmes textes réglementaires).
Nous renouvelons notre demande :
- que la liberté de choix pour les animations pédagogiques soit respectée pour tous nos collègues
- qu’aucune inscription d’office à des animations ne soit imposée
- que soit respectée l’inscription des collègues à 18 heures d’animation pédagogique et pas plus.
Par ailleurs, par courrier au ministre, en date du 6 septembre, nous alertions sur la circulaire ministérielle du 29 mars 2018 qui impose à la fois le contenu et l’organisation des APC, contrairement au Décret du 31 mars 2017 et à l’article D. 521-13 du Code de l’Éducation (courrier ci-joint à nouveau).
Nous vous demandons d’intervenir en direction des autorités départementales de l’Éducation nationale afin que soient respectés ces différents points.
Dans l’attente de votre réponse, je vous prie d’agréer, Monsieur le Directeur, l’expression de ma parfaite considération.
Norbert Trichard
Secrétaire général
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19 septembre 2018
Direction d’école : à tous les enseignants !
Rapport de la commission des affaires culturelles de l’Assemblée nationale : pour le SNUDI-FO, c’est NON !
Le 1er août, quelques jours avant que le ministre n’ouvre l’agenda social sur la direction d’école, la commis- sion des affaires culturelles de l’Assemblée nationale présente un rapport sur la direction d’école.
Que contient vraiment ce rapport ?
Prenant prétexte de la situation dégradée des directeurs créée par le refus d’augmenter les décharges, d’améliorer le régime indemnitaire, de renouveler les aides administratives et de respecter le décret de 1989, le rapport établit une liste de propositions qui bouleverseraient totalement le fonctionnement des écoles pu- bliques, remettraient en cause nos garanties statutaires.
Suppression des écoles maternelles, de bon nombre d’écoles rurales… et retour des EPEP
Le rapport préconise de supprimer toutes les écoles maternelles en les fusionnant avec les écoles élémen- taires au sein d’écoles primaires ! De la même manière, les petites écoles rurales devraient être regroupées pour permettre « l’émulation » entre les élèves et un meilleur « travail d’équipe » entre les personnels. Des milliers d’écoles seraient ainsi rayées de la carte (ainsi que les postes de directeurs) et des milliers de classes seraient fermées en globalisant les effectifs.
Le rapport préconise la mise en réseau des écoles « par bassin de vie » autour du collège du secteur pour mieux les « inscrire dans leur territoire ». Ces réseaux, outre la mutualisation des locaux envisagée, préparent
« des enseignements communs école/collège » avec « interventions croisées PE enseignants du secondaire
». C’est le retour aux EPEP, un projet gouvernemental rejeté à l’époque par le SNUDI-FO, le SNUipp, SUD, la CGT qui n’avait pu aboutir grâce à la mobilisation des enseignants des écoles initiée par le SNUDI-FO.
Des directeurs supérieurs hiérarchiques des enseignants
Pour manager ces nouveaux établissements constitués de regroupements d’écoles, le rapport propose de créer un statut de directeur, accessible par concours. Les « néo-directeurs » les écoles de 10 classes et plus bénéficieraient d’une décharge totale (financée par la suppression des classes générée par les regroupe- ments). Les directeurs des écoles de 10 classes et plus ne seraient plus des enseignants. Ce statut mettrait fin à la référence au décret de 1989 qui fait du directeur un professeur des écoles qui occupe une fonction particulière. Le lien avec la mission d’enseignement serait supprimé.
Ce « néo-directeur » serait supérieur hiérarchique des enseignants, sur la base d’une « lettre de mission » chargé entre autres de leur accorder ou de leur refuser des autorisations d’absence et serait responsable de la mise en oeuvre effective dans l’école des différents projets.
La quotité de décharge des directions d’école de 5 classes à 9 classes serait portée à 50 %.
Seuls 20 % des directeurs actuels pourraient prétendre au titre de directeur
Combien des actuels directeurs pourraient conserver un poste de direction ? La réponse est donnée par Mme Rilhac, une des deux députées ayant rédigé le rapport, « sur les 45 000 directeurs actuels, seuls 20 % d’entre eux pourraient prétendre au titre de directeur ». Pour 80 % des collègues, ce sont donc des pertes fi- nancières et de temps de décharge !
De nouvelles missions pour les directeurs d’écoles
Quant aux « néo-directeurs », ils se verraient attribuer de nouvelles missions : ils devraient gérer, voire as- surer, « le remplacement des enseignants absents », devenir « le coordinateur de réseau d’éducation priori- taire », avoir des missions dans « la lutte contre la pauvreté et l’exclusion » pour « repérer les situations difficiles et orienter les familles » et même « devenir directeur du périscolaire » ! Ce nouveau statut placerait les directions d’école dans une grande dépendance de la collectivité territoriale par la tutelle du PEdT…
Le SNUDI-FO demande au ministre la satisfaction des revendications des directeurs (dé- charges, indemnités, aide administrative) et la non-prise en compte des propositions du rapport parlementaire
Dès le 29 juin, lors d’une audience au ministère sur la direction d’école, une délégation du SNUDI-FO, por- teuse de milliers de signatures sur la pétition nationale direction d’école avait présenté les revendications en termes de décharges, de rémunérations, de conditions de travail…
Elle avait souligné notamment que dans de nombreux départements, les 4 jours annuels pour les chargés d’école et les 10 jours pour les directions d’écoles de 2 et 3 classes ne sont même pas respectés. De même, la situation de nombreuses écoles qui accueillent des ULIS, UPEAA n’est pas prise en compte alors que la quasi-totalité du temps de décharge de ces écoles est « consommée » pour le fonctionnement de ces dispo- sitifs.
Enfin dans plusieurs départements, des DASEN refusent de comptabiliser comme des classes pour le calcul des décharges et du régime indemnitaire, les dédoublements des CP en REP et CE1 en REP+ ; les collègues directeurs de ces écoles se retrouvent dans les faits avec plus de classes, plus d’enseignants et parfois moins de décharge, voire un régime indemnitaire diminué.
La délégation avait aussi rappelé que les réunions de directeurs avec les IEN ne pouvaient se dérouler en dehors du temps de travail des collègues. Elle avait fait part de son inquiétude à ce sujet et avait saisi le mi- nistère de situations particulières de départements dans lesquels, alors que ces réunions se déroulaient jusqu’à maintenant sur le temps des animations pédagogiques, les DASEN annoncent que dorénavant elles se tiendraient sur la base du bénévolat !!!
Le SNUDI-FO revendique :
La non-prise en compte par le ministère des propositions contenues dans le rapport de la commis- sion des affaires culturelles de l’Assemblée nationale ;
- L’augmentation des décharges de service, le maintien intégral et l’extension des cadres départe- mentaux plus favorables ; pas un directeur sans décharge statutaire hebdomadaire ;
- La prise en compte dans tous les départements de toutes les classes dans le calcul des décharges de direction, y compris les CP et CE1 dédoublés en Éducation prioritaire ;
- Une réelle amélioration financière : 100 points d’indice pour tous ;
- Une aide administrative pour chaque directeur avec des emplois statutaires de la Fonction publique;
- La tenue de toutes les réunions durant le temps scolaire avec le remplacement du directeur par un titulaire-remplaçant ;
- Le transfert de la responsabilité de la rédaction des PPMS aux mairies, dans le cadre du plan com- munal de sauvegarde ;
- Le rétablissement du cadre national de l’école publique et l’arrêt des processus de territorialisation, afin de préserver les directeurs comme leurs adjoints des ingérences et pressions locales ;
- L’attribution de l’ensemble des postes de direction au barème (AGS) ; non aux postes profilés !
- Le respect du décret de 1989 fixant les missions des
Alors que dans le cadre de l’agenda social, le ministre va organiser des réunions sur la direction d’école, le SNUDI-FO vient de s’adresser au ministre pour lui demander de ne pas retenir les propositions du rapport de la commission des affaires culturelles et de l’Éducation de l’Assemblée nationale, propositions qui ne peu- vent pas faire l’objet d’expérimentations comme cela semble être le cas dans l’Ain, et nous sollicitons l’ou- verture de négociations sur les revendications concernant la direction d’école.
14 septembre 2018
Évaluation en CP et CE1 : lettre au Ministre
à Monsieur le Ministre de l’Éducation nationale
Objet : Évaluation en CP et CE1
Monsieur le Ministre,
Vous annoncez dans votre conférence de rentrée du 29 août dernier la mise en œuvre d’évaluations en CP et en CE1 en cette rentrée. Or nos collègues dans les écoles ne détiennent aucune information sur cette initiative. Nous n’avons d’ailleurs trouvé aucun texte réglementaire qui définit les objectifs, le calendrier, les conditions dans lesquelles devraient se dérouler ces évaluations.
Certes il est de la responsabilité du ministre et de ses services de proposer des cahiers d’évaluation, pour autant nos collègues découvrent, pour certains ces derniers jours, qu’ils devraient, en plus de leurs progressions annuelles prévues depuis plusieurs semaines, prendre du temps pour mettre en œuvre ces évaluations CP et CE1 dès septembre (à nouveau en janvier / février pour le CP) et par conséquent modifier leurs progressions pédagogiques.
Vous comprendrez, dans cette situation, que ces évaluations ne remplissent pas les conditions de sérénité nécessaires à leur bon usage.
Certains de nos collègues avaient déjà prévu leurs propres évaluations et perçoivent cette initiative comme une remise en cause de leur travail, et de leur liberté pédagogique. D’autres considèrent que le contenu n’est approprié ni à leurs élèves ni à leur besoin… Faudrait-il qu’ils organisent deux séries d’évaluations en cette rentrée ?
Dans la Fonction publique, toute mesure nécessite une déclinaison réglementaire d’application en l’absence de laquelle les agents ne peuvent être inquiétés. En effet dans une telle situation une annonce publique, fût-elle ministérielle, ne peut avoir force de loi.
De plus, aucune information n’est donnée quant aux conditions d’impression des fiches. Plus précisément sur quel budget devraient-elles être financées ?
Selon les informations dont nous disposons, un portail de saisie en ligne serait ouvert sur lequel les enseignants devraient saisir les réponses produites par les élèves. Selon nos estimations cela représente une centaine de réponses multipliées par le nombre d’élèves de la classe, soit environ 2500 à 3000 saisies. Ce qui est gigantesque. Sur quel temps cette nouvelle charge de travail devrait-elle être prise alors que les 108 heures sont largement dépassées ?
À notre sens, ces évaluations ne sauraient donc présenter un caractère obligatoire. Chaque collègue, dans le respect de la liberté pédagogique individuelle, doit pouvoir les utiliser en fonction du contexte pédagogique local ou recourir à ses propres évaluations. C’était d’ailleurs le sens de la note adressée aux enseignants le 28 septembre 2017.
Nous ne doutons pas qu’en tant que ministre d’État, garant du respect des Lois et Règlements de la République, vous comprendrez le sens de notre courrier.
Nous vous prions de croire, Monsieur le Ministre, en notre parfaite considération.
Norbert Trichard Secrétaire général
APC : leur organisation est proposée par le conseil des maîtres et non par le Ministre !
à Monsieur le Ministre de l’Éducation nationale
et de l’Enseignement supérieur
Monsieur le Ministre,
La circulaire ministérielle du 29 mars 2018 indique que les APC seraient « spécifiquement dédiées à la mise en œuvre d’activités relatives à la maîtrise du langage et à la lecture. » Elle s’appliquerait dès la rentrée.
Pour le SNUDI-FO, cette circulaire et sa mise en application « à la lettre» poseraient problème à plusieurs titres :
- Le décret du 31 mars 2017 fixant les obligations de services prévoit pour l’APC « trente-six heures consacrées à des activités pédagogiques complémentaires organisées dans le projet d’école, par groupes restreints d’élèves, pour l’aide aux élèves rencontrant des difficultés dans leurs apprentissages, pour une aide au travail personnel ou pour une activité prévue par le projet d’école». Il apparaît ainsi clairement que les Activités Pédagogiques Complémentaires doivent être organisées en fonction des besoins des élèves, déterminés par l’enseignant. Ces besoins ne peuvent se limiter aux seules « activités relatives à la maîtrise du langage et à la lecture ».
De plus, il est inscrit dans la circulaire que «tout élève dont les parents ou responsable légal en font la demande doit pou- voir être inscrit à un atelier/club de lecture. » Nous rappelons que la participation des élèves ne peut être imposée par les parents puisque « le groupe restreint d’élèves » est déterminé par l’enseignant, après accord des parents pour la participation de l’élève.
- D’autres parts, l’article 521- 13 du Code de l’éducation que vous citez dans la circulaire prévoit que l’organisation générale de l’APC est arrêtée par l’IEN sur proposition du conseil des maîtres. Comme vous le savez, le SNUDI-FO est attaché à la liberté pédagogique et aux prérogatives du conseil des maîtres. Là aussi, la circulaire rentre en contradiction avec cet article.
C’est pourquoi, pour le SNUDI-FO, la circulaire ministérielle ne peut qu’indiquer des préconisations impulsant la volonté ministérielle de favoriser « le langage et la lecture », ce que chaque enseignant peut entendre, mais en aucun cas formuler une injonction à caractère obligatoire qui contreviendrait de fait au cadre réglementaire en vigueur.
Montreuil, le 6 septembre 2018
Norbert Trichard
Secrétaire général
Direction : après le rapport de la commission flash parlementaire, le SNUDI-FO demande au Ministre de ne pas retenir les propositions
Le SNUDI-FO a lancé une pétition qui a reccueilli plusieurs milliers de signatures (2000 signatures au niveau national). Le syndicat a été reçu, le 28 juin, sur cette question par le cabinet du ministre. Au vu des propositions (statut de directeur, suppression de la disctinction maternelle/élémentaire, regroupement d’écoles dans un cadre territorialisé...) de la mission parlementaire sur ce sujet.
Monsieur le Ministre,
Le 1er août, quelques jours avant l’ouverture de l’agenda social qui abordera la question de la direction d’école, la com- mission des affaires culturelles et de l’éducation de l’Assemblée nationale a présenté un rapport sur ce sujet.
Reconnaissant la situation dégradée que subissent les directeurs, consécutive à l’insuffisance du volume de décharges, du régime indemnitaire, et la disparition des aides administratives, le rapport relance le projet d’un statut d’emploi de directeur, une réorganisation de l’école communale par la fusion des écoles maternelles et élémentaires leur mise en réseau des écoles sous la tutelle directe du collège et de la collectivité territoriale de rattachement qui pourrait devenir l’intercommunalité…
Le rapport prétend « soulager les directeurs » en leur imposant la gestion des absences de leurs adjoints, « le remplace- ment des enseignants absents », « la coordination du réseau d’éducation prioritaire », « la lutte contre la pauvreté et l’ex- clusion » pour « repérer les situations difficiles et orienter les familles » et même de « devenir directeur du périscolaire »!
Le décret de 89 qui reste la référence réglementaire pour les tâches du directeur serait réduit à une coquille vide. Toutes ces nouvelles charges seraient compensées par 50 % de décharge pour 5 classes et 100 % à partir de 10 classes. Plus de tâches pour davantage de missions ! Où serait le progrès pour les directeurs? Le SNUDI-FO revendique une augmentation des décharges des directeurs pour répondre à toutes les contraintes.
La mission parlementaire avance la perspective d’un statut d’emploi pour instaurer une « autorité hiérarchique » sur la base « d’une lettre de mission ». Cette autorité hiérarchique permettrait « le pilotage » et « la responsabilité de la conception et de la mise en œuvre » du projet pédagogique lui-même inscrit dans le PEdT. Il mettrait fin à la référence au décret de 89 qui fait du directeur un PE qui occupe une fonction particulière. Cette proposition modifierait en pro- fondeur la place du directeur d’école pair de ses collègues. Leur lien avec la mission d’enseignement serait supprimé.
À noter que ce nouveau statut placerait les directeurs dans un nouveau corps en dehors de celui des PE et de fait très dépendant de la collectivité territoriale tant par la responsabilité du périscolaire que par la tutelle du PEdT… Cela in- duirait par ailleurs que des directeurs d’école pourraient ne jamais avoir été enseignants, ce qui pour le SNUDI-FO, n’est pas acceptable.
Le rapport préconise enfin une « organisation innovante » de l’école qui n’est autre que la fusion d’écoles maternelles et élémentaires dans un réseau d’écoles autour du collège du secteur. Ces réseaux entraîneraient nécessairement une mutualisation qui menacerait des milliers de postes de directeurs. Combien de directeurs actuellement en poste pour- raient postuler à ce statut d’emploi ? Bien peu certainement. D’ailleurs selon la députée Cécile Rilhac « Sur les 45 000 directeurs actuels, seuls 20 % d’entre eux pourraient prétendre au titre de directeur, accessible par concours ou par validation des acquis de l’expérience ».
De plus, cette mise en réseau devrait permettre « des enseignements communs» école/collège avec « interventions croisées Professeurs des écoles et professeurs du secondaire ». Cette proposition oublie que les Professeurs des écoles et les certifiés n’appartiennent pas au même corps, ils n’ont pas les mêmes obligations de service.
Ces propositions forment un ensemble qui ressemble fort aux EPEP rejetés par les enseignants en 2008.
► Pour le SNUDI-FO, ce dont les directeurs ont besoin, ce n’est pas d’un statut ni de tâches supplémentaires, mais d’une amélioration de leur régime de décharge, une augmentation de 100 points d’indice pour tous et une aide ad- ministrative pérenne assurée par des personnels titulaires sous statut de la fonction publique.
Par conséquent, nous vous demandons, Monsieur le Ministre, de ne pas retenir ces propositions, qui en tout état de cause, ne peuvent pas faire l’objet d’expérimentation comme cela semble être le cas dans l’Ain et d’ouvrir des négociations sur les revendications des directeurs.
Nous vous prions de croire, Monsieur le Ministre, en notre parfaite considération.
Norbert Trichard
Secrétaire général
07 juillet 2018
Prérentrée : un seul jour le vendredi 31 août !
Rappel sur le cadre réglementaire de la « prérentrée » :
La Note de service n° 83-274 du 12/07/83-(RLR 510-1) précise : « La journée de prérentrée a un usage traditionnel où le conseil des maîtres parachève l’organisation du service et de l’enseignement pour l’année ».
Ce n’est donc pas une obligation de service comme le prétend le Ministre.
Dans sa réponse au recours gracieux déposé par la FNEC FP FO et le SNUDI FO le directeur de l’enseignement scolaire écrit le 13 avril 2004 :
« L’arrêté du 15 janvier 1991… implique bien que les obligations de services ainsi définies ne le sont pas de manière exhaustive.»
et précise : « Il est clair (…) que les activités hors enseignement dont la répartition horaire est précisée par l’arrêté du 15 janvier 1991 ne recouvrent pas le champ des obligations de ces personnels, que ce soit en termes de formation, de concertation et naturellement de préparation des cours pour laquelle aucun horaire n’est indiqué.»
Or, la prérentrée est bien une activité hors enseignement, qui relève, comme l’indique le représentant du ministre, des tâches de préparation dont aucun texte ne précise ni la durée ni les horaires.
Son organisation relève donc bien de la liberté pédagogique de chaque enseignant qui planifie et maîtrise son emploi du temps comme il lui convient afin de préparer sa classe pour le jour de la rentrée des élèves.
Attention ! Pour 2018/2019, à ce jour, aucun arrêté fixant le calendrier de l’année scolaire 2018/2019, ni la prérentrée n’a été publié. La FNEC FP FO intervient au CTM du 10 juillet sur cette question.
Aucune dérogation n’est possible même en l’absence d’arrêté publié !
L’absence d’arrêté ministériel (à ce jour) pour le calendrier solaire 2018/2019 ne peut pas être le prétexte pour qu’un IEN, un IA ou tout autre représentant de l’administration tente d’avancer la prérentrée ou d’apporter quelque modification locale à la situation actuelle.
La prérentrée des enseignants ne peut donc pas être programmée avant le 31 août 2018. Certains IEN ont publié des circulaires fixant la prérentrée au jeudi 30 août, elles sont illégales. À chaque fois que le SNUDI FO est intervenu, ces circulaires ont été retirées.
Le renvoi de bas de page de l’annexe de l’arrêté du 16 avril 2015 (qui fixait le dernier calendrier triennal 2015/2016 - 2016/2017 - 2017/2018) précise :
« Pour les enseignants, deux demi-journées (ou un horaire équivalent), prises en dehors des heures de cours, pourront être dégagées, durant l’année sco- laire, afin de permettre des temps de réflexion et de formation sur des sujets proposés par les autorités académiques.»
1) À noter que « pourront » ne signifie pas « devront »
2) « deux demi-journées (ou un horaire équivalent) prises en dehors des heures de cours » dans le cadre des obligations de service donc pendant 18 heures de concertation réglementaires.
Outre que la portée juridique d’un tel renvoi reste à démonter (ce que n’a pas pu faire le Ministère à ce jour), « les temps de réflexion et de formation » s’inscrivent nécessairement dans les obligations de service des PE c’est-à-dire sur le temps de concertation (qui est de 18 heures annuelles).
Il n’y a donc pas de demi-journée « à récupérer » un mercredi ou un autre jour.
La FNEC FP F.O. continue de demander que la rentrée soit fixée au 1er septembre et que la fin de l’année scolaire soit au 30 juin au plus tard.
En cas de problème ou de pression, contacter le SNUDI F.O. par email snudifo50@gmail.com ou par téléphone 07 82 97 25 81 .
13 juin 2018
Fiches pratiques Iprof : trouver l'avis de l'IEN et vérifier son ancienneté d'échelon
30 mars 2018
Bulletin départemental mouvement 2018
Retrouvez ci-dessous le Bulletin départemental, ses annexes et toutes les informations mouvement (mise à jour 30/03/18) :
NOUVEAU : Consultez les fiches de postes compétences particulières (PCP) et la LA-Direction : compilation des 40 fiches et liste d'aptitude (LA) Direction (avec sommaire).
NOUVEAU : Consultez la liste des postes réservés stagiaires (PES) 2018-2019 : fichier des postes PES en date du 30/03/18.
Nouvelles dates d'ouverture du serveur SIAM (accessible depuis IPROF depuis l'Intranet académique) : 30/03 - 15/04.
Nous vous défendons ! Renvoyez-nous votre fiche de suivi syndical mouvement 2018 :
fiche de suivi titulaire
fiche de suivi stagiaire
Sommaire des fiches de postes à compétences particulières (PCP).
1 - Conseiller pédagogique de circonscription - généraliste - 2018
2 - Conseiller pédagogique de circonscription - ASH - 2018
3 - 50% conseiller pédagogique circonscription St Lô sud + 50% CPD Maternelle - 2018
4 - Conseiller pédagogique départemental TICE - 2018
5 - Conseiller pédagogique de circonscription - EPS - 2018
6 - 50% Conseiller pédagogique EPS St Lô SUD + 50% assistant de prévention départemental - 2018
7 - Conseiller pédagogique départemental EPS - 2018
8 - 50% Conseiller pédagogique départemental EPS + 50% action culturelle - 2018
9 - Conseiller pédagogique enseignement culture humaniste - option éducation musicale - 2018
10 - Conseiller pédagogique enseignement culture humaniste - option arts visuels - 2018
11 - Conseiller pédagogique langues vivantes - 2018
12 - Conseiller pédagogique départemental formation - 2018
13 - Conseiller départemental de prévention - 2018
14 - Professeur des écoles maître formateur - option technologies et ressources éducatives - 2018
15 - Enseignant plus de maîtres que de classes - Bilingue langue anglaise - 2018
16 - Enseignant plus de maîtres que de classes - REP+ - 2018
17 - Enseignant dispositif accueil moins de 3 ans - 2018
18 - Enseignant en unité pédagogique pour élèves allophones arrivants - 2018
19 - Enseignant auprès des enfants issus de familles itinérantes et de voyageurs - 2018
20 - Directeur d'école de 13 classes et plus - 2018
21 - Directeur d'école au sein du dispositif REP+ - 2018
22 - Coordonnateur des réseaux d'éducation prioritaire renforcé - REP+ - 2018
23 - Enseignant au service éducatif du Mt St Michel - 2018
24 - Atelier CANOPE de la Manche - 2018
25 - Enseignant aux services éducatifs de Cherbourg et Saint-Lô - 2018
26 - Directeur de centre permanent de la fédération de la Manche de la ligue d'enseignement - 2018
27 - Directeur du centre permanent des pupilles d'enseignement public - 2018
28 - Enseignant référent - 2018
29 - Coordonnateur pédagogique unité d'enseignement - 2018
30 - Coordonnateur du service des auxiliaires de vie scolaire AESH - 2018
31 - Enseignant spécialisé coordonnateur CDOEASD et AESH - 2018
32 - Coordonnateur classe relais sud-Manche - 2018
33 - Coordonnateur classe relais nord cotentin - 2018
34 - Enseignant en milieu pénitentiaire - 2018
35 - Directeur de CMPP - 2018
36 - Enseignant spécialisé en psychopédagogie dans un centre médico-psycho-pédagogique (C.M.P.P.) - 2018
37 - Poste d'enseignement en centre hospitalier - 2018
38 - Chef de service SESSAD DV - 2018
39 - Enseignant auprès des élèves porteurs de troubles visuels centre et sud Manche - 2018
40 - Enseignant auprès des élèves porteurs de troubles visuels nord Cotentin - 2018
Consulter le Bulletin départemental 2018 (compilé avec les annexes 1,2,3,6 et 7).pdf
Annexes :
1- Carte des secteurs geographiques
2- Listes des communes par secteur geographique
3- Listes des ecoles et etablissements relevant des dispositifs REP et REP+
l'annexe 4 n'est pas encore parue
5- Liste des ecoles primaires ayant au moins 1 classe maternelle
7- Liste des ecoles primaires ayant au moins 1 ULIS
Pour y voir clair dans les horaires des écoles, nous mettrons à jour la carte interactive des écoles (possibilité de filtrer 4 jours / 4 jours et demi) dans la foulée du CDEN du 16/03.
Le SNUDI F.O. Manche a établit une carte interactive 2018-2019 :
Pour mémoire la carte 2017-2018 (attention rentrée 2018 : changement des circos et plus de 120 écoles à 4 supplémentaires à 4 jours) :
Publié dans Calendrier scolaire, prérentrée, CAP, gestion des personnels, RH, Grèves - préavis, actions, Infos pratiques, métier, Mouvement, appels d'offres, Remplaçants, Rythmes scolaires, territorialisation, Stagiaires, formation initiale, Textes réglementaires (circulaires...) | Imprimer | Facebook |
28 février 2018
Adhérez au Snudi FO 50.
FO, C'EST :
LA 3e FORCE SYNDICALE DE LA FONCTION PUBLIQUE (Etat, Territoriale et Hospitalière confondues).
LA PREMIERE FORCE DE LA FONCTION PUBLIQUE D'ETAT.
LA TROISIEME FORCE SYNDICALE DE L'ENSEIGNEMENT.
Dans la Manche, FO est le 1er syndicat de la Base de Défense de Cherbourg.
Au quotidien, FO défend les travailleurs du CHPC, de l'hospitalier privé, des Maîtres Laitiers, de la Ville de Cherbourg, du Conseil départemental...
FORCE OUVRIERE : LA FORCE DU SYNDICALISME CONFEDERE ET INDEPENDANT !
Pour être entendus, pour être défendus, pour être informés, il est grand temps d'adhérer au SNUDI FO 50 !
Par email et papier, informations locales départementales du syndicat (news, analyses, compte-rendus, audiences, infos urgentes...) et principales infos de l'administration (circulaires, bulletin mouvement...).
En adhérant, vous recevrez automatiquement plusieurs journaux papier :
- journal de la Fédération enseignement culture FO (6 numéros par an),
- journal de la Fédération générale des fonctionnaires FO (6 numéros par an),
- journal du Secrétariat national du SNUDI FO (6 numéros par an),
- journal de l'Union départementale FO 50 (4 par an),
- journal du Snudi FO 50 (apériodique : 3 ou 4 fois par an).
Vous bénéficiez de l'affiliation automatique et gratuite à l'Association FO de consommateurs (AFOC).
Avec votre adhésion, un partenariat FO-Macif vous protège lors de la participation à la vie syndicale à travers 3 contrats : "Solidarité vie syndicale" , "Protection juridique vie professionnelle" et "Responsabilité civile du défenseur juridique"...
Les cotisations syndicales font l'objet d'un crédit d'impôt de 66% (virement en votre faveur des impôts si vous ne payez pas d'impôt sur le revenu) : sur une cotisation annuelle de 180€, vous n'aurez payé en réalité que 34% soit 61€20 !
Paiement au prorata du temps de travail. Paiement en plusieurs fois accepté (indiquez l'échéance au dos de chaque chèque). Prélèvements automatiques possibles (nous contacter).
TELECHARGEZ LE BULLETION D'ADHESION CI-DESSOUS :
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Publié dans ASH, Inclusion, RASED, SEGPA, EREA, MLDS, AVS, AESH, AED, CUI, Calendrier scolaire, prérentrée, CAP, gestion des personnels, RH, Carte scolaire, CTSD, moyens, CDEN, CHS CT, santé, sécurité, Concours CRPE, PES, contractuels, Direction, simplification, Elections professionnelles 2014, EP : REP+, REP, Eclair, Zep..., Evaluation des enseignants, PPCR, Grèves - préavis, actions, Handicap, RQTH, allègement de service, Infos pratiques, métier, Interpro, Atsem..., Magistère/FOAD, Formation, Maternelle, Mouvement, appels d'offres, Mutations, permutations, ineat-exeat, détachement, Pétitions, Plan de formation continue, stages, convocations, Programmes, socle, LSU (N), Projet d'école, Remplaçants, Retraite, RIS (Réunions syndicales) et droit syndical, RIS, droit syndical, Rythmes scolaires, territorialisation, Se syndiquer au SNUDI FO, Stagiaires, formation initiale, Statut, ORS, Temps de travail, Temps partiels, Textes réglementaires (circulaires...), Traitement, primes, fiche de paie | Imprimer | Facebook |
28 janvier 2018
Mobilisation : non aux réformes du Bac et à Parcours sup
Une large intersyndicale appelle à la mobilisation (grève, manifestations...)
jeudi 1er février 2018
contre la réforme du Baccalauréat et celle de la sélection à l'entrée à l'Université.
Bac-Sup - Appel de la Coordination nationale de l'éducation 01-02-2018.pdf
Décryptage...
Le 1er février : mobilisation nationale intersyndicale
A l’appel des fédérations FNEC-FP FO, FERC-CGT, FSU, SGL,
Solidaires étudiant-e-s, SUD Education, UNEF, UNL
Appel de la Coordination nationale de l'Education à la mobilisation du 1er février
Les personnels sont appelés à la grève contre ce programme de régression
Pierre Mathiot, responsable de la mission ministérielle sur le lycée et le
baccalauréat, a remis au ministre le 24 janvier son rapport « Un nouveau
baccalauréat pour construire le lycée des possibles ». Que préconise-t-il ?
Toujours plus d’autonomie
C’est le principe qui préside ce rapport. Dans la continuité de la réforme du
collège et du DNB, Pierre Mathiot affirme « Nous ne croyons pas que le
nouveau lycée puisse être construit à partir d’un cadre national détaillé duquel
il serait difficile de s’échapper. » Les Conseils d’administration de chaque
lycée pourraient alors, au nom de la « juste prise en compte des singularités
des territoires et de l’autonomie éclairée des établissements », proposer leurs
propres « Majeures ». Dans ces conditions, le Bac ne peut être que local et
n’a plus rien d’un diplôme national.
Menace sur les disciplines
La scolarité du lycéen se déroulerait autour d’un tronc commun (appelé « unité
générale ») composé de quelques disciplines et enseignements dont le
volume passerait progressivement de 25 heures à 12 heures entre le premier
semestre de la Seconde et la Terminale ; une « unité d’approfondissement et
de complément » avec le choix des majeures, des mineures obligatoires et
une mineure optionnelle ; enfin 2 à 3 heures d’accompagnement. Les
enseignements communs sont censés former un « ensemble de
compétences » et « correspondre aux attendus de l’enseignement
supérieur ». Les mêmes attendus qui, dans le cadre du « plan étudiants »,
visent à instaurer la sélection à l’entrée de l’université.
D’un semestre à l’autre, d’une année sur l’autre, le lycéen pourrait changer
ses majeures, ses mineures… Et si l’établissement n’est pas en capacité de
proposer toutes les combinaisons, Pierre Mathiot a la solution : « dès lors que
les lycées pourront définir une partie de leur offre de formation du cycle
terminal, il nous paraît opportun de suggérer que cela puisse être organisé en
réseau d’établissements. » Cela programme la fin de la carte scolaire et la
multiplication des compléments de service et des fermetures de postes en
fonction de l’attractivité de tel ou tel lycée à tel ou tel moment.
Menace sur les postes, concurrence accrue entre les personnels
Aucun horaire disciplinaire n’est plus garanti, ce qui menace des milliers de
postes et le risque de voir se multiplier les compléments de service au gré des
choix locaux : « le lycée, selon les modalités et l’ambition de son pilotage
interne, peut devenir encore plus autonome, notamment dans l’utilisation de
sa dotation horaire globale ». A la rentrée 2018, ce sont déjà 2600 postes aux concours qui
sont supprimés. Les premières estimations évaluent à 25 000 le nombre de postes que cette
réforme pourrait supprimer. Ce serait la contribution de l’Education nationale à l’objectif
gouvernemental de supprimer 120.000 de postes de fonctionnaires sur le quinquennat.
Un statut des enseignants à géométrie variable !
Pour les rendre compatibles avec l’organisation du lycée par semestres, le rapport n’exclut
pas « que la variation possible des heures de services soit encadrées et modérées (exemples
: de 16 à 20 heures pour un certifié, de 13 à 17 heures pour un agrégé) » (p.29). Des
obligations réglementaires flexibles pour des enseignants flexibles, au gré des besoins
locaux ! Le rapport persiste et signe : ne pas toucher au statut conduirait à « amoindrir la
liberté de choix des élèves. » (p29). L’obstacle à l’instruction, ce serait le statut des
enseignants !
Le rapport Mathiot poursuit, sans les citer, les orientations de la loi Peillon de 2013 et son
continuum allant du lycée à l’enseignement supérieur. Ainsi, Pierre Mathiot propose que les
professeurs de lycée enseignent à l’université pour « établir des passerelles solides entre les
deux mondes ». Mutualiser les ressources humaines du secondaire et du supérieur !
Alors que les COP et ex-DCIO ont été contraints de fusionner dans un corps unique de
Psychologues de l’Education nationale (soi-disant valorisant), que les fermetures de CIO se
poursuivent, le rapport défend l’idée d’une certification pour les professeurs (PP ou non) qui
suivraient l’orientation des élèves. Il s’agit ni plus ni moins que du transfert complet des
missions des personnels d’orientation aux professeurs.
Le Baccalauréat, diplôme national, premier grade universitaire : la cible à abattre
Le rapport accuse le Baccalauréat sous sa forme actuelle de tous les maux : « monstre
organisationnel », « complexe », « lourd », « chronophage ». La solution ? Des épreuves
ponctuelles en première et terminale comptant pour 40%. Le conseil pédagogique (que le
rapport recommande d’ouvrir aux parents, aux élèves élus, aux partenaires extérieurs...)
endosserait alors le rôle d’« instance d’arbitrage ». Quant au « Grand oral » sur des sujets
pluridisciplinaires définis localement : 15% ! C’est la même logique que le DNB qui consacre
l’évaluation du socle commun et les choix locaux. 75% des résultats obtenus par les élèves
pourraient être pris en compte dans l’application Parcoursup : c’est bien le baccalauréat
comme diplôme national qui serait remis en cause.
Pour défendre le baccalauréat, nos disciplines, nos postes, notre statut, l’avenir
de nos élèves : tous en grève le 1er février !
L’interfédérale nationale FERC CGT, FNEC FP-FO, FSU, SUD Solidaires, et les
organisations de jeunesse SGL, Solidaires étudiant-e-s, SUD Education, UNEF, UNL
appellent à la mobilisation le 1er février pour l’abandon du « plan étudiants » et le maintien du
baccalauréat comme diplôme national et premier grade universitaire garantissant l’accès de
tous les bacheliers sur tout le territoire aux filières post bac et aux établissements de leur
choix.
Les appels se multiplient dans de nombreux départements et académies pour appeler
l’ensemble des personnels à la grève.
Le SNFOLC appelle les personnels à réunir en heures d’information syndicale, en
assemblées générales pour répondre à l’appel de l’interfédérale décider la grève le 1er février.
La FNEC FP-FO a déposé un préavis de grève : elle sera reçue par le ministre le 1er
février.
Le soir même, l’interfédérale nationale se réunira pour décider des suites de la
mobilisation pour gagner.
(lire ce communiqué SNFOLC en pdf)
contact Académie de Caen : fnec.caen@gmail.com
contact national : snfolc.national@fo-fnecfp.fr - 01.56. 93. 22. 44 - www.fo-snfolc.fr
15 janvier 2018
Après les enseignants référents, les ERUN
Le ministère s'est engagé à intervenir auprès des recteurs pour que chaque enseignant référent handicap (ERH) reçoive une IMP (Indemnité pour Mission Particulière) à 2500 €.
Depuis des mois, a eu lieu une mobilisation des personnels qui refusent une indemnité individualisée (IMP) pour un travail identique ! Une mobilisation soutenue par FO qui s’oppose à l’individualisation de la rémunération.
À leurs côtés, le SNUDI F.O. n’a cessé de dénoncer, avec sa fédération, la FNEC-FP-F.O., et avec le SN-FO-LC (syndicat national FO des lycées et collèges), le principe des IMP créées avec la réforme du collège rejetée par l’immense majorité des enseignants de collèges. FO, en complète cohérence avec son vote contre le décret (*) au CTM du 8 mars 2017, est intervenu dès le 9 mars et systématiquement pour les 2500 € pour tous.
La seule garantie du maintien des 2500 € reste l’abrogation des IMP.
Pour autant, le SNUDI F.O. n’oublie pas que l’engagement du ministère d’intervenir auprès des recteurs pour que chaque référent reçoive une IMP à 2500 € est une mesure conservatoire qui n’efface pas le décret. En effet, le décret initial n’est pas modifié. Qu’en sera-t-il l’an prochain et toutes les années suivantes ? Le SNUDI F.O. restera vigilant. (lire le communiqué complet)
Concernant les ERUN (ex-Matice), si nous estimons qu’un tel régime indemnitaire (IMP) est injuste pour l’égalité de traitement des personnels et qu’une réelle augmentation des salaires serait plus juste et égalitaire, l'intersyndicale nationale demande cependant, dans un premier temps, de respecter les engagements pris par l’administration après concertation avec les organisations syndicales.
La CGT Educ’action, le SNUDI F.O. et SUD éducation demandent donc de prendre les dispositions auprès des rectorats pour que les Enseignant·es Référent·es Unité Numérique (ERUN), mais également toutes les catégories de personnels touchant ces IMP à taux variable, perçoivent le taux maximal de l’IMP de 2500 €... (lire la lettre intersyndicale au Ministre)
11 janvier 2018
Jour de carence : c'est reparti !
Communiqué du SNUDI F.O. sur le rétablissement d'un jour de carence pour les fonctionnaires.
10 novembre 2017
Permutations 2018 : calendrier
La note de service mobilité organisant les permutations 2018 permettant aux enseignants du premier degré de changer de département pour à la rentrée 2018 vient d’être publiée ce jeudi 9 novembre 2017.
Voici quelques dates importantes à retenir :
CALENDRIER
|
Pour vous informer, vous accompagner dans l’élaboration de votre dossier et vous défendre, le SNUDI F.O. Manche organise en novembre et décembre des permanences spéciales « Permutations »
- à la Maison des Syndicats de Saint-Lô les mardis de 9h à 12h (rue Léon Desries 02 33 55 26 62 )
- à la Maison des Syndicats de Cherbourg les mercredis 8h-11h (56 rue de la Bucaille 2 étage 02 33 53 03 72 )
Nous vous accueillons aussi dans les Réunions d'information syndicales (voir à cette page)
Cliquez sur le lien ci-dessous pour lire la note de service ministérielle :
http://www.education.gouv.fr/p
12 octobre 2017
Livret 6 pages spécial Rythmes scolaires du SNUDI F.O.
28 juin 2017 : le décret Blanquer est publié.
Au 18 juillet, déjà 38% des communes ayant une école souhaitent repasser à la semaine de 4 jours.
Au 1er septembre, dans les faits, ce sont 43% des communes qui repassent à 4 jours.
Consultez le livret spécial 6 pages Rythmes scolaires du SNUDI F.O.
08 juillet 2017
3e appel d'offres
Message du 7 juillet sur les boîtes Iprof :
Vous trouverez ci-joint en annexe la liste des postes proposés.
Le retour des candidatures est demandé sur papier libre par courriel pour
le vendredi 18 août 2017 dernier délai, au service ressources humaines de
la DSDEN de la Manche (dsden50-srh11@ac-caen.fr).
3eme appel d'offres complementaires.pdf
05 juillet 2017
2e journée de prérentrée
Pour le SNUDI FO 50, les heures de travail dites de "2e journée de prérentrée" ne peuvent être imposées :
30 juin 2017
Rentrée en musique
16 juin 2017
Appels d'offre complémentaires 16/06/17
Message du 16 juin sur Iprof :
Mesdames, Messieurs les professeurs des écoles,
A l'issue du groupe de travail issu de la commission
administrative paritaire départementale (CAPD) réuni le
15 juin, un nouvel appel d'offres est organisé.
Vous trouverez en annexe :
- La liste des postes proposés (annexe 1 «appel
d'offres» et annexe 2 «appel d'offres EREA»)
- Les fiches de postes pour les postes à compétences
particulières proposés (annexes 3,4,5,6,7)
- Pour information uniquement, les courriers
d'accompagnement des appels d'offres ASH et direction
précédents (annexe 8)
Le retour des candidatures sur papier libre par courriel
le vendredi 23 juin 2017 dernier délai, au service
ressources humaines de la DSDEN de la Manche
(dsden50-srh11@ac-caen.fr).
Par ailleurs, une mise à jour de la liste des postes
proposés est susceptible d'être effectuée dans le courant
de la semaine du 19 juin. Il est donc vivement recommandé
aux personnes intéressées de consulter leur messagerie
i-prof régulièrement jusqu'au 23 juin inclus.
Les résultats de cet appel d'offres seront communiqués
après consultation de la CAPD prévue fin juin.
Isabelle MARTIN
DSDEN50
SRH
02.33.06.92.47
3 - Conseiller pedagogique departemental Maternelle
4 - Conseiller pedagogique de circonscription-EPS.pdf
5 - Conseiller departemental de prevention
6 - Conseiller pedagogique departemental option...
8 - Pour information (circulaire appels d'offres du 17 mai pour information)
11 juin 2017
Rythmes scolaires : examen du projet de Décret Blanquer au CSE du 8 juin
Téléchargez et diffusez le document suivant :
Participez à notre RIS réunion spéciale rythmes scolaires à la Maison des syndicats de Cherbourg le 22 juin 2017 à partir de 16h30 (plus d'infos à cette page)
29 mai 2017
Appels d'offres 2017 (PCP, ASH, direction) : toutes les informations
AO (appel d'offres) pour les PCP (postes à compétences particulières) : candidature à envoyer mercredi 31 mai cachet de la Poste faisant foi
appel d'offre postes a competences particulieres.doc
AO pour les postes ASH (adaptation et scolarisation des élèves handicapés) : candidature à déposer au secrétariat de l'IEN le 7 juin au plus tard (prévoir un envoi postal en amont).
AO pour les directions : à déposer au secrétariat de l'IEN le 7 juin au plus tard (prévoir un envoi postal en amont).
08 mars 2017
Ineat-Exeat : Circulaire Manche 2017
Si vous n’avez pas pu quitter le département, vous pouvez participer à la phase des ineats-exeats.
La circulaire et le formulaire ont été envoyés sur Iprof le 08/03 et sont téléchargeables ci-dessous :
Ineat-Exeat-50 Circulaire 2017.pdf
Ineat-Exeat-50 Fiche de renseignements 2017.pdf
Contactez le SNUDI-FO pour toute question.
Le SNUDI FO 50 invite les collègues n’ayant pas obtenu leur mutation à prendre contact avec le syndicat pour les dossiers d’ineat-exeat. snudifo50@gmail.com
04 février 2017
ATSEM : rapport remis à l'administration
Le rapport déposé le 2 février 2017 au Conseil supérieur de la Fonction publique territoriale sur le métier d'ATSEM (missions, qualifications, carrière, environnement de travail...).
Vos réactions à snudifo50@gmail.com
30 janvier 2017
Contractuels : pire que l'intérim !
L’examen du projet de circulaire concernant la rémunération et du recrutement des contractuels de l’enseignement, de l’éducation et de l’orientation s’est terminé le 5 janvier. Sur quelques points, grâce à l’intervention syndicale, il pourra constituer des points d’appui pour la défense des personnels. Il dispose notamment que les agents recrutés durant le mois de septembre, pour des services qui couvrent l’année, seront payés pendant les congés scolaires. Pour le reste, le texte constitue un terrible outil de dérèglementation qui laisse le champ libre aux rectorats.
Rémunération : à la tête du client
Le décret du 29 août prévoit que l’agent est recruté à l’indice minimum de sa catégorie. Il peut être recruté à un indice supérieur en fonction « de l’expérience professionnelle détenue, la rareté de la discipline ou la spécificité du besoin à couvrir ». « Il pourra être tenu compte de la situation géographique ou des difficultés sociales des établissements d’exercice » indique la circulaire. Et tout cela serait négocié localement. Et si l’agent change d’académie dont les besoins sont différents ? Aucune garantie. Le salaire peut baisser, reconnaît le ministère.
La rémunération dépendrait aussi de l’évaluation. Une grille indicative avec des niveaux d’indice a été présentée. Pour le ministère, cette grille constituerait une base de négociation au niveau local, pour définir « l’atterrissage » de l’agent à un niveau indiciaire donc à un niveau de salaire. En clair, chaque agent peut être rémunéré différemment en fonction de sa situation et des résultats de son évaluation, au cas par cas.
À toute demande de garantie nationale, le ministère répond besoins spécifiques des académies et recrutement local = rémunération locale = 0 garantie.
Attention, rien n’empêche les rectorats de mettre en place une grille d’avancement avec automaticité du passage dans l’échelon supérieur. Cela a été prévu par les rectorats de Rouen ou d’Orléans-Tours par exemple et Force Ouvrière est intervenue pour défendre les intérêts des personnels.
Entretien d’appréciation de la valeur professionnelle : chantage au salaire et au licenciement
La grille de compétences ressemble fort à celle du projet d’évaluation des enseignants titulaires. La grille de compétences indicative mentionne des «compétences» vagues telle que «respecte et fait respecter les principes d’égalité, de neutralité, de laïcité, de tolérance, de refus de toutes discriminations» ou
«adopte une attitude favorable à l’écoute et aux échanges avec les membres de la communauté éducative» sans une ligne sur les savoirs disciplinaires ! C’est l’évaluation couperet, chantage à la rémunération et au licenciement !
Cette gestion des contractuels, foulant au pied la notion même de garantie collective s’inscrit dans le projet d’évaluation des enseignants et dans la continuité de la loi Travail.
FO continue à défendre les revendications des personnels, à tous les niveaux et revendique une grille indicative nationale pour la rémunération (correspondant à un niveau de diplôme) et d'avancement automatique au moins tous les 3 ans.
Parce que FO s'oppose à une fonction publique contractuelle, FO réaffirme son attachement à la Fonction publique d’État garante pour ses agents des mêmes garanties collectives dans le respect du Statut général et des statuts particuliers et exige le respect du Statut général qui indique que tout emploi civil permanent doit être occupé par un fonctionnaire.
FO invite les personnels à contacter leur syndicat départemental pour toute question ou difficulté. Ne restez pas isolés !
Tout comme le nouveau projet d'évaluation des contractuels, le projet d'évaluation des enseignants titulaires ne doit pas voir le jour.
Rassemblement le 1er février à l’appel de FO, CGT et SUD, devant le Rectorat de l’Académie de Caen, et devant le ministère à Paris, exigeons le retrait du projet d'évaluation des enseignants.
25 novembre 2016
LSUN
Les nouvelles modalités d’évaluation des élèves dégradent les conditions de travail,
portent atteinte à la liberté pédagogique individuelle et désorganisent les écoles.
Le SNUDI-FO en demande la suspension immédiate.
Ce qui est obligatoire dès cette année dans notre document 4 pages ci-dessous :
A propos du LSU(N), consultez le communiqué FO du 23 novembre 2016 :
08 novembre 2016
SFT ; postes adaptés...
Supplément familial de traitement 2016-2017 : pièces justificatives à joindre pour éviter la suspension du versement avec effet au 1er octobre 2016 : Rappel du Saged à télécharger ici.
Circulaire relative au dispositif concernant les personnels demandant une affectation sur postes adaptés pour l'année 2017/2018 département de la Manche : la circulaire du 24 octobre 2016.
25 octobre 2016
Calendrier des mutations interdépartementales pour 2017.
Pour toute question, pour les statistiques, contactez le syndicat de la Manche par email snudifo50@gmail.com ou par téléphone 0782972581 .
Calendrier de gestion de la phase interdépartementale
Date |
Action |
Jeudi 10 novembre 2016 |
Publication de la note de service au BOEN |
Lundi 14 novembre 2016 |
Ouverture de la plateforme «Info mobilité» |
Jeudi 17 novembre 2016 à 12 heures (heure métropole) |
Ouverture des inscriptions dans l'application S.I.A.M. dans les départements |
Mardi 06 décembre 2016 à 12 heures (heure métropole) |
Clôture des inscriptions dans l'application S.I.A.M et fermeture de la plateforme |
A partir du mercredi 07 décembre 2016 |
Dans les services départementaux : Envoi des confirmations de demande de changement de département dans la boîte électronique I-Prof du candidat |
Vendredi 16 décembre 2016 au plus tard |
Retour des confirmations de demande de changement de département et des pièces justificatives dans les directions des services départementaux de l’éducation nationale |
Jusqu’au mercredi 1er février 2017 |
Date limite de réception par les services des demandes tardives pour rapprochement de conjoints ou des demandes de modifications de la situation familiale |
mercredi 1er février 2017 au plus tard |
. Contrôles et mises à jour des listes départementales de candidatures . Vérification des vœux et barèmes . Examen des demandes de bonification exceptionnelle au titre du handicap |
Entre le jeudi 02 février 2017 et le lundi 06 février 2017 |
Ouverture de l’application S.I.A.M aux enseignants pour la consultation des barèmes validés par l’IA-DASEN |
Mardi 07 février 2017 |
Transfert des fichiers départementaux au service informatique de l’administration centrale |
À partir du vendredi 10 février 2017 |
Au ministère de l'Éducation nationale (DGRH B2-1) : . Contrôle des données par les services centraux . Traitement des demandes de mutations |
Lundi 06 mars 2017 |
. Diffusion individuelle des résultats aux candidats à la mutation |
18 octobre 2016
XIIe Congrès du SNUDI FO à Gravelines
Résolution générale du XIIe Congrès du SNUDI FO réuni à Gravelines dans le cadre du XVIIe Congrès de la FNEC FP FO : SNUDI FO RÉSOLUTION GÉNÉRALE Gravelines 2016.pdf
Publié dans ASH, Inclusion, RASED, SEGPA, EREA, MLDS, Concours CRPE, PES, contractuels, Direction, simplification, Infos pratiques, métier, ORS (obligations de service), RIS, droit syndical, Rythmes scolaires, territorialisation, Statut, ORS, Temps de travail, Textes réglementaires (circulaires...), Traitement, primes, fiche de paie | Imprimer | Facebook |