09 décembre 2019
Nouveau site du syndicat SNUDI FO Manche :
Le nouveau site du syndicat est là :)
rendez-vous sur snudifo50.fr
Pour nous contacter, ça n'a pas changé :
la page Facebook est toujours là,
nouveau : un groupe privé FB réservé aux syndiqués,
l'email snudifo50@gmail.com
le téléphone mobile 07 82 97 25 81
le local FO du lundi au vendredi 02 33 53 03 72
Publié dans ASH, Inclusion, RASED, SEGPA, EREA, MLDS, AVS, AESH, AED, CUI, Calendrier scolaire, prérentrée, CAP, gestion des personnels, RH, Carte scolaire, CTSD, moyens, CDEN, CHS CT, santé, sécurité, Concours CRPE, PES, contractuels, Direction, simplification, Elections professionnelles 2014, EP : REP+, REP, Eclair, Zep..., Evaluation des enseignants, PPCR, Grèves - préavis, actions, Handicap, RQTH, allègement de service, Infos pratiques, métier, Interpro, Atsem..., Magistère/FOAD, Formation, Maternelle, Mouvement, appels d'offres, Mutations, permutations, ineat-exeat, détachement, Pétitions, Plan de formation continue, stages, convocations, Programmes, socle, LSU (N), Projet d'école, PSYEN (Psychologues de l'Education nationale), Remplaçants, Retraite, RIS (Réunions syndicales) et droit syndical, Rythmes scolaires, territorialisation, Se syndiquer au SNUDI FO, Stagiaires, formation initiale, Statut, ORS, Temps de travail, Temps partiels, Textes réglementaires (circulaires...), Traitement, primes, fiche de paie | Imprimer | Facebook |
02 février 2019
Résultats du CTSD du 1er février
Carte scolaire : résultats du CTSD du 1er février 2019
Mesures décidées par l’Inspectrice d’Académie Dasen
L’Inspectrice d’Académie-Dasen ne veut pas prononcer d’ouvertures et fermetures conditionnelles comme ses prédécesseurs. Elle réajustera en fonction des comptages ; toutes les mesures sont donc susceptibles d’évoluer dans un sens comme dans l’autre lors du CDEN du 26/02 et à la rentrée en fonction des comptages, quelle que soit l’école.
L’IA recevra les délégations d’écoles et d’élus la première semaine des vacances.
Elle maintient le principe de conserver les décharges de direction au même niveau un an en cas de fermeture de classe.
Les classes dédoublées (CP et/ou CE1) comptent dans la quotité de décharge de direction. 11 ETP dont consacrés aux dédoublements.
L’IA veut étendre le dispositif de dédoublement à des écoles hors-éducation prioritaire : dédoublement d’ 1 CP à La Haye-Pesnel et 2 dédoublements de CP à Montebourg (3 classes de CP dans cette dernière école). FO a rencontré les collègues d’écoles « politique de la ville » comme à l’école Gernez à Caen, où l’IA du Calvados a dédoublé les CP dès l’année dernière : la baisse des effectifs est bien sûr intéressante mais l’accompagnement par l’inspection mis en place avec ce dispositif est très pesant...
Dispositif « Plus de maîtres que de classes » (PDMQDC) : retrait de 2,75 ETP (équivalents temps plein) sur les REP et les REP+, retrait de 5,25 ETP du reste du réseau d’écoles (moins 8,25 ETP en tout, restent 13 ETP de PDMQDC).
Sur la Hague, fermeture du site Jobourg et concentration des classes sur Auderville à la rentrée.
Sur Granville, fermeture des écoles Curie et Macé, ouverture d’une nouvelle école Simone Veil de 10 classes + l’ULIS de Macé.
École fusionnée administrativement du Vrétot-Quettetot : pour l’instant, la Mairie veut maintenir tous les niveaux d’enseignements sur le Vrétot alors que le site va passer à deux classes.
Écoles du socle : possibilité de mise en place à la rentrée d’écoles du socle sur 3 communes/écoles/collèges Cerisy-la-Salle, Percy (écoles de Percy + RPI Montbray-Beslon) et Sourdeval.
Vote de la Carte scolaire présentée par l’IA-DASEN
0 pour
4 abstentions (2 Sgen-CFDT, 2 SE-Unsa)
5 CONTRE (3 Snuipp-FSU, 1 SUD Education, 1 Snudi-FO)
Si l’ensemble des représentants du personnels avaient voté contre, la réglementation aurait obligé l’IA-DASEN à re-convoquer le CTSD sur cette carte scolaire.
Vœu présenté par FO le 1er février 2019 :
« Les membres élus du CTSD de la Manche demandent l’abandon des taux d’encadrement et le maintien des seuils d’ouverture/fermeture de classe. »
Votes du vœu FO : 1 pour (FO)
8 ne prennent pas part au vote (toutes les autres organisations syndicales)
Fermetures de classe -28.5 ETP
- Cherbourg Baquesne (REP+) : retrait d’une classe dédoublée
- Saint-Vaast-la-Hougue (REP) (mais +1 classe dédoublée)
- Chef-du-Pont (REP) : retrait d’une classe (et glissement du CP dédoublé vers CE1 dédoublé)
- Isigny-le-Buat
- Saint-Pois
- Ger
- La Haye Pesnel : retrait de la classe provisoire (mais +1 CP dédoublé)
- Ducey les chéris maternelle
- Bréhal
- Sartilly Baie-Bocage élémentaire
- Cherbourg Gibert-Zola : retrait de la classe provisoire 2018
- Canisy
- Les Pieux élémentaire
- Bretteville-en-Saire : retrait du ½ poste provisoire 2018
- Flottemanville-Hague
- Saint-Senier-sous-Avranches
- Le Vrétot
- Equeurdreville les Avoynes/Macé
- Cherbourg Dujardin
- Donville-les-Bains
- Saint-Samson-de-Bonfossé
- Saint-Hilaire-Petitville
- Cherbourg Bocher
- Brix
- Saint-Amand-Villages
- Marigny-le-Lozon
- Blainville - St-Malo-de-la-Lande
- Beauchamps-Folligny : retrait de la classe provisoire 2018
- Hauteville – Montmartin-sur-mer
Ouvertures de classe +20.5 ETP
- Villedieu élémentaire (REP) : +2 classes dédoublées (augmentation de la décharge de direction)
- Saint-Vaast-la-Hougue (REP) : +1 classe dédoublée (mais retrait d’une classe)
- Coulouvray-Boisbenâtre (REP) : +1 classe dédoublée
- Quettehou (REP) : +1 classe dédoublée + 1 classe ordinaire
- Sainte-Mère-Église (REP) : +1 classe dédoublée
- Chef-du-Pont (REP) : -1 CP dédoublé +1 CE1 dédoublé (mais retrait d’une classe)
- Picauville (REP) : +1 classe dédoublée
- Périers (REP) : +2 classes dédoublées
- Bourguenolles – la Lande d’Airou (REP) : +1 classe dédoublée
- Chérencé le Héron – Sainte Cécile (REP) : +1 classe dédoublée
- Fleury-la-Bloutière (REP) : transformation de la classe provisoire 2018 en ouverture
- Marchésieux-Feugères-St-M-d’Aubigny (REP) : transformation de la classe provisoire 2018 en ouverture (+glissement du CP dédoublé en CE1 dédoublé)
- Montebourg : +2 dédoublements CP
- La Haye Pesnel : +1 CP dédoublé (mais retrait de la classe provisoire)
- Brès La Glacerie : ½ poste provisoire transformé en Ouverture de classe
- Condé-sur-Vire maternelle : transformation de la classe provisoire 2018 en ouverture
- Saint-Lô les Palliers : transformation de la classe provisoire 2018 en ouverture
- Hudismesnil : ouverture
- Digosville : transformation de la classe provisoire 2018 en ouverture
- Cherbourg Bayet : transformation de la classe provisoire 2018 en ouverture
- Avranches Parisy : ouverture
- Torigny-les villes : ouverture
- Sideville-Teurthéville : ouverture
- Le Parc Plomb Tirepied : ouverture
Suppression de 50% PDMQDC à PMF Avranches (reste 50%), Parisy, Coquelicots, Tournesols, La Polle, Marie Ravenel (poste partagé avec Voltaire), Voltaire,
Suppression de 25% PDMQDC : Rousseau mater, Rousseau élém, Chérencé, Coulouvray-Boisbenâtre, Sainte-Mère-Eglise, Périers, Picauville, Villedieu mater, Villedieu élém, Montebourg mater, Montebourg élém.
Suppression de 100% PDMQDC à Gieville-Guilberville.
Maintien de 50% PDMQDC à PMF Avranches, Carentan Roseaux, Doisneau, Fraternité, Claires-Fontaines, Gavray, Curie Granville, Mortain, Percy élém., Pontorson mater, Pontorson élém, St-James mater, St-James élém, Calmette-Guérin-Verne, les Palliers
Maintien de 100% PDMQDC à Gibert-Zola (bilingue), Jaurès, Baquesne (poste anciennement rattaché au collège), Saint-Sauveur-le-Vicomte.
Autres mesures sur des emplois d’enseignants :
+ 1 poste de coordonnateur départemental PIAL (Pôle inclusif d’accompagnement localisé)
+1 poste d’Enseignant référent handicap au centre-nord
+ 0.5 poste chargé de mission ASH (complément de l’IEN-ASH missionné à 50% auprès du Recteur)
- 0.5 poste au centre éducatif et d’insertion ouvert Lebigard
- 3 postes de directeurs pédagogiques des antennes CMPP de Cherbourg, St-Lô, Avranches
+1 poste maître G sur CMPP de Cherbourg
+1 poste conseiller pédagogique ASH (au total 3 postes, soit 1 par bassin)
+0.5 poste Conseiller de prévention départemental (total : 2 demi-postes répartis sur le département)
+ 3 postes de Conseillers pédagogiques sur les fondamentaux : accompagnement du lire/écrire/compter sur conseils de cycle, projets, suivi dans la classe (lien formation/pratique)… et dans le cadre de PPCR (on atteindrait ainsi 7 formateurs par bassin/unité de conception des formations).
Déclaration liminaire
de la FNEC F.P. F.O.
Madame l’Inspectrice d’Académie - Dasen,
Mesdames et Messieurs les membres du Comité technique spécial départemental,
Les élections professionnelles se sont tenues il y a un mois et les résultats montrent encore une progression de Force Ouvrière au plan national et local. Cela confirme et conforte la position de la FNEC FP-FO dans l’Éducation Nationale au Comité Technique Ministériel de l’Éducation nationale : 3ème organisation syndicale et 1ère organisation confédérée dans ce secteur.
Madame l’Inspectrice d’Académie, pour l’élaboration de la carte scolaire 2019, vous avez souhaité renforcer l’analyse qualitative pour respecter un principe d’équité sur notre département.
Les personnels s’interrogent sur le critère du niveau de rémunération (quintile de revenu) : rien ne garantit que la population d’un quintile soit la même que celle qui fréquente nos écoles.
Au contraire, dans nombre de villes, en particulier côtières, la population à la fois retraitée et économiquement favorisée est sur-représentée et les familles qui mettent leurs enfants dans les écoles sont largement moins bien rémunérées. Dès lors, où est l’objectivité du critère que vous retenez ?
De plus, les écoles privées, qui sont en concurrence avec le public, doivent être évoquées aujourd’hui : qui peut nier que les écoles privées sont celles qui attirent le plus les revenus les plus élevés ? On observe donc que sur une même commune ou secteur géographique, vos critères « qualitatifs » peuvent conduire à la baisse de mixité sociale en fragilisant les écoles publiques.
Votre prédécesseur vantait les dernières cartes scolaires « cousues main ». Les personnels constatent qu’il y a de moins en moins de règles qui garantissent l’égalité et la laïcité de notre école républicaine. En réalité, l’administration nous impose bien du « cousu main », mais nous sommes loin d’avoir le « sur mesure » qui conviendrait à l’exercice de nos missions.
Dispositif « 100% réussite » dédoublements de CP et CE1 en REP et REP+ :
FO dénonce une réforme réalisée à moyens constants qui érige en système l’inégalité entre écoles et entre classes d’une même école et tient à réaffirmer la liberté du Conseil des maîtres de décider de la répartition. L’accompagnement des classes dédoublées, rendu possible et systématique par PPCR, pèse également sur les personnels pour lesquels la liberté pédagogique, dans le cadre défini nationalement par les instructions officielles, est la condition sine qua non de l’exercice des missions.
Inclusion :
FO demande que les effectifs d’ULIS comptent dans les effectifs de l’école, et abaissent les seuils comme dans le secondaire.
Exemples : à la Haye-du-Puits : plus de 10h d’inclusion, à Saint-Sauveur-le-Vicomte : presque 14h d’inclusion, dans un emploi du temps réduit par les prises en charge.
Direction d’école :
La suppression pure et simple des contrats aidés affectés sur la mission d’aide à la direction d’école est une mesure scandaleuse qui n’a toujours pas été compensée par l’État alors que les besoins vont grandissants pour animer l’équipe pédagogique, gérer les tâches administratives, répondre aux attentes liées aux locaux et à la sécurité.
Au nom de très nombreux personnels, FO revendique l’extension significative des décharges de direction, au-delà du régime défini par le Ministère ou d’une simple mesure conservatoire, sans toucher au statut actuel des directrices et directeurs et au décret de 1989.
FO réclame également que la DSDEN s’engage à compenser par l’envoi de brigades toutes les décharges de direction perdues en raison des journées de stage (stage école, interdegré, PDMQDC, etc.) et de concertation (ESS…).
FO revendique également que les classes provisoires comptent dans le calcul de la quotité de décharge de direction.
Vœu présenté par la FNEC FP FO le 1er février 2019 :
Les membres élus du CTSD de la Manche demandent l’abandon des taux d’encadrement et le maintien des seuils d’ouverture/fermeture de classe.
Ce bilan du CTSD en PDF (à venir)
La déclaration liminaire de la FNEC FP FO au CTSD (à venir)
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26 janvier 2019
Prochains stages et RIS du SNUDI F.O. Manche
Ne manquez pas nos réunions d'information syndicale !
Le SNUDI F.O. organise deux RIS en janvier :
- Cherbourg le 22 janvier 2019 à partir de 17h (Maison des syndicats 56 rue de la Bucaille 2e étage)
- Avranches le 31 janvier 2019 à partir de 17h (foyer de l'école Pierre Mendès-France)
À déclarer à l'IEN 48h à l'avance, déductible des 108h (compte pour une animation pédagogique quelle que soit la date, préciser à l'IEN quelle animation péda).
En novembre, le SNUDI F.O. organise 6 RIS pour tous les collègues, PE, instits et AVS, ceux qui nous connaissent, que nous soutenons et qui nous font confiance, ceux qui souhaitent découvrir FO la Force syndicale avant les élections !
contact email : snudifo50@gmail.com contact mobile : 07 82 97 25 81
Granville | mardi 13 novembre 17h-19h | quartier saint Nicolas : école P. et M. Curie (salle des CM1/CM2 à l'étage) |
Saint-Lô | lundi 19 novembre 17h-19h | local FO Maison des syndicats (entre l'école des Palliers et l'ESPE) |
Coutances | mardi 20 novembre 17h-19h | FJT 162 rue Régis Messac (salle en mezzanine au dessus de la cafétaria) |
Avranches 1 | mercredi 21 novembre 9h-12h | école PMF : salle de documentation |
Avranches 2 | jeudi 22 novembre 17h-19h | école PMF : salle d'étude du couloir des CE1 |
Cherbourg | lundi 26 novembre 17h-19h | local FO Maison des syndicats 56 rue de la Bucaille (2e étage) |
Disparition des barèmes, évaluations à la tête du client, prime au mérite...
Evaluation des enseignants : attention, danger ! Exemples d' "accompagnement" individuel et collectif mis en place dans le cadre de PPCR
Direction d'école : tableau des projets de réforme, belles promesses et moyens en baisse : le leurre de l'autonomie des écoles, les effets de la territorialisation de l'école et des rythmes scolaires
AESH : point sur cette rentrée scolaire ; le nouveau dispositif contrats aidés "Parcours emploi compétences" et l'obligation de désigner des tuteurs : danger pour les AESH et pour les PE !
Evaluations CP/CE1, APC : que reste-t-il de notre liberté pédagogique ? Lien avec le dispositif "100% Réussite" et l'accompagnement renforcé permis par la réforme PPCR
Education nationale et fonction publique : projets et attaques au statut de fonctionnaire, à la représentation des personnels (CAP, CHSCT...)...
Mobilisation du 12/11 : analyse des revendications et de l'urgence à défendre notre Education nationale
Fusion des académies et des services : les premières conséquences à Caen et Rouen...
Déclaration de participation à une réunion d’information syndicale (à retourner à l’IEN 48h à l’avance).
Décret 447 du 23 mai 1982, arrêté du 29 août 2014 et circulaire n°2014-120 du 16 septembre 2014 relatifs aux modalités d’application aux personnels relevant du Ministère de l’Éducation nationale.
Les enseignants soussignés de l’école …………………………………………… sur la commune de ……………………………….. déclarent participer à la RIS du SNUDI F.O. qui aura lieu le …………………………………. à …………………………………………
NOM Prénom |
Signature et date |
Date de la RIS |
Ces 3h de RIS sont à déduire de… |
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Prochains stages SNUDI F.O. Manche :
Rappel du droit à la formation syndicale (décret 84-474) : jusqu’à 12 jours par an pour les collègues à temps plein, absence de droit à plein traitement, avec remplaçant, absence à demander s/c de l'IEN minimum 1 mois avant le stage.
Contactez-nous en amont pour obtenir votre convocation nominative, à joindre à la demande d'absence.
Stage Informatique Traitement de données avec tableur (Libre-office Calc, OpenOffice.org, MS Excel), fonctions, formules, TCD, publipostage...
à Cherbourg, Maison des syndicats, 56 rue de la Bucaille
lundi 12 novembre 9h-15h nous contacter avant le 12/10
Stage Informatique Gestion des emails : s'y retrouver dans les applications académiques, correspondance par email, gérer plusieurs boîtes emails…
à Cherbourg, Maison des syndicats, 56 rue de la Bucaille
mercredi 14 novembre 9h-12h nous contacter avant le 14/10
Stage Carrière : rémunération, évaluation, promotion, autorisations d'absences…
à Saint-Lô, Maison des syndicats, 2 bis rue Léon Déries, entre l'ESPE et l'école des Palliers lundi 19 novembre 9h-15h nous contacter avant le 19/10
Stage Inclusion et AESH : l'inclusion dans la Manche ; problématiques de l'inclusion scolaire systématique ; pour un statut de fonctionnaire des AESH ; défense des droits et conditions de travail des AESH stage ouvert aux enseignant(e)s et AVS/AESH (CDD, CDI, contrat aidé)
à Cherbourg, Maison des syndicats, 56 rue de la Bucaille mercredi 21 novembre 9h-16h nous contacter avant le 21/10
Stage Direction d’école droits et devoirs, accès à la fonction, histoire des réformes de la direction, tutorat des AESH en PEC...
à Saint-Lô, Maison des syndicats, 2 bis rue Léon Déries, entre l'ESPE et l'école des Palliers lundi 26 novembre 9h-15h nous contacter avant le 26/10 (de préférence avant les vacances)
contact email : snudifo50@gmail.com contact mobile : 07 82 97 25 81
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29 novembre 2018
Problème serveur vote : patience pour voter FO !
Bien cordialement,
19 novembre 2018
RIS Saint-Lô annulée
La RIS prévue à Saint-Lô lundi 19/11 de 17hà 19h est malheureusement annulée (trop de blocages des "Gilets jaunes" sur le chemin).
La RIS de Coutances est maintenue : mardi 20/11 de 17h à 19h au FJT Régis Messac (salle poulailler/mezzanine).
Publié dans RIS (Réunions syndicales) et droit syndical | Imprimer | Facebook |
31 octobre 2018
Avenir de la Fonction publique : DECLARATION LIMINAIRE UIAFP-FO
REUNION D’ETAPE - DEUX DERNIERS CHANTIERS –
Concertation « Refonder le contrat social avec les agents publics »
du 30 octobre 2018
Monsieur le Secrétaire d’Etat,
Une fois n’est pas coutume, Force Ouvrière lira une déclaration liminaire pour cette
réunion dite d’étape des chantiers 3 et 4 pour « refonder le contrat social avec les agents
publics » tant les enjeux sont importants pour les agents et les usagers.
Force Ouvrière vous avait demandé, dès l’ouverture des discussions, de reporter les
pistes sur l’évolution de la politique de rémunération des fonctionnaires au regard de leur
impact sur l’éventuelle future réforme des retraites. Contrairement à votre propre
engagement pris à l’ouverture des discussions et malgré notre nouvelle demande du
vendredi 26 octobre dernier, vous avez souhaité maintenir ce chantier et en faire un point
d’étape, ce que nous regrettons.
C’est avec la plus grande solennité que nous souhaitons vous alerter sur les effets
néfastes des projets que vous vous préparez à formaliser à travers un futur projet de Loi.
Sur les deux premiers chantiers, et après un point d’étape en juillet dernier qui semble
malheureusement conclusif, aucune autre réunion n‘ayant été programmée depuis, vos
objectifs de supprimer le CHSCT (pour l’intégrer dans le CT) et de renvoyer l’égalité de
traitement des agents à des règles souples de gestion locale en remplacement des CAP
ou encore de recourir à davantage de personnels non titulaires (de fait précaires) en
remplacement de fonctionnaires, ne seront jamais partagés par Force Ouvrière.
Les chantiers 3 et 4 que l’on peut résumer par la rémunération au mérite et la mobilité
imposée par des suppressions de postes ou de missions sont dans la même veine que les
2 premiers, à savoir la remise en cause du statut général des fonctionnaires, et
notamment la séparation du grade et de l’emploi et le principe de carrière.
Après le protocole PPCR, rejeté par FO, qui a entrainé des allongements de carrière, la
suppression des temps de service à la Fonction publique d’Etat et la durée minimale dans
les autres versants de la Fonction publique pour quelques maigres points d’indice auto-
financés notamment par le transfert primes-points, vos scenarii sur la rémunération individuelle à nouveau auto-financée seraient la double peine pour les agents. De plus,
PPCR a conforté le gel de la valeur du point d’indice, en plaçant sa revalorisation sous des
indicateurs macro-économiques, outils de la politique d’austérité.
On peut par ailleurs s’interroger de vos choix sur la politique de rémunération au regard de
l’égalité salariale femme/homme. Sur ce point également, contrairement à vos
engagements, vous imposez aux organisations syndicales de prendre position par rapport
à votre protocole sur l’égalité femme/homme pour le 26 novembre, étonnamment à
quelques jours des élections professionnelles du 6 décembre. Nous vous avons demandé
de reporter la signature de ce protocole après le résultat des élections professionnelles, ne
serait-ce que pour donner du crédit à la représentation des organisations syndicales signataires, vous avez refusé pour des prétextes budgétaires, mais personne n’est dupe
de l’aspect politique de ce dossier.
Monsieur le Secrétaire d‘Etat, durant cette campagne électorale pour les élections
professionnelles, Force Ouvrière a, de nouveau, pu constater à quel point les
fonctionnaires et agents publics sont investis dans leurs missions pour répondre aux
attentes des usagers et ce malgré l’insuffisance des effectifs et la réorganisation ou la
suppression de nombreux services dans les trois versants de la Fonction publique.
Les fonctionnaires et agents publics prennent comme une provocation les propos tenus ce
week-end par le ministre Darmanin, qui ne font qu’en rajouter dans une situation
intolérable, alors qu’ils exigent plus de moyens matériels et humains pour maintenir leurs
services, leurs missions et la qualité du service rendu.
Les agents n’acceptent pas que cet investissement sans aucune reconnaissance de ce
gouvernement nous amène droit dans le mur.
Les personnels sont fatigués, ils saturent de ce combat quotidien pour assurer leurs missions et cette dégradation continue des conditions de travail et de vie est responsable de nombreux burn-out, et ne peut être exclue des nombreux suicides rencontrés sur les lieux de travail notamment.
Dans le même temps, la surdité du gouvernement et des employeurs publics oblige les
représentants syndicaux et les personnels à se mobiliser, occuper les sites de travail (les
exemples des hôpitaux de Vierzon et du Blanc sont emblématiques et ce ne sont pas les
seuls) et parfois malheureusement s’engager dans des grèves de la faim. Les risques que
comportent ces actions et les difficultés qui pourraient en découler seront de la
responsabilité du Gouvernement.
La Fonction publique représente 20 % de l’emploi salarié dans ce pays, vous en êtes le
porte-parole politique. Contrairement à la pensée unique, la satisfaction des marchés
financiers et les injonctions européennes (notamment les 3 % de déficit public, imposés
par le Traité de Maastricht) ne sont pas, et ne peuvent pas, être l’unique réponse apportée
aux fonctionnaires et agents publics.
30 milliards d’économies sur le quinquennat avec 50 000 suppressions de postes à l’Etat,
70 000 à la territoriale et 1,2 milliards d’économies sur la masse salariale des hôpitaux,
soit 30 000 postes supprimés à l’hospitalière, est-ce cela votre projet pour le service
public ?
Le Gouvernement ne peut pas répéter à l’envi que l’avenir des personnels se résume au
gel de la valeur du point d’indice, aux suppressions de postes et à des mobilités forcées.
Chaque jour qui passe, la situation des services et les conditions de travail et de vie des
agents publics se dégradent. Par cette déclaration formelle, Force Ouvrière tient à
nouveau à vous en alerter. Il est évident que notre organisation syndicale apportera tout
son soutien aux personnels qui luttent pour défendre une certaine notion du service public,
le statut général des fonctionnaires et un modèle social fondé sur la solidarité et non le
chacun pour soi.
Contact : Union interfédérale des agents de la Fonction Publique FO
46, rue des petites écuries 75010 PARIS
contact@fo-fonctionnaires.fr // 01-44-83-65-55
MISE A MORT PROGRAMMEE DU STATUT ET DES SERVICES PUBLICS
Les annonces du Premier ministre confirment la politique engagée par le gouvernement
de destruction de la Fonction publique, politique des gouvernements successifs
combattue depuis toujours par FORCE OUVRIERE. Le projet de loi annoncé pour le début
de l’année 2019 doit permettre d’atteindre l’objectif fixé par le Président de la république
de supprimer 50.000 postes de fonctionnaires d’Etat d’ici 2022.
Une série d’annonces « transversales » sur la réforme de l’Etat ne font que confirmer nos
craintes : recours très élargi aux contractuels dans les administrations, agence de
reconversion pour les fonctionnaires, dématérialisation exacerbée des services publics...
Il ne fait aucun doute pour FORCE OUVRIERE que le gouvernement poursuit sa politique
de destruction du statut.
Au nom d’une stratégie pour un « Etat efficace » qui prétend être à la « hauteur des
exigences » des Français, et alors qu’aucune mesure concrète n’a été dévoilée par le
gouvernement, la direction est toutefois clairement donnée, celle de la poursuite des
politiques d’austérité et de destruction du service public.
FORCE OUVRIERE n’est pas dupe de ces manœuvres qui annoncent clairement l’ambition
de ce gouvernement d’éradiquer bel et bien les fonctionnaires et leur statut.
L’instauration d’une agence de reconversion pour les agents de l’Etat qui devrait voir le
jour en juillet 2019, inspirée de l’agence de reconversion des armées, « permettrait »,
selon le premier ministre, d’avoir « une force de frappe pour accompagner
éventuellement des départs volontaires » !
Pour FORCE OUVRIERE, c’est un plan massif de licenciements qui est mis en application
dans la Fonction publique.
FORCE OUVRIERE dénonce les manœuvres honteuses de ce gouvernement qui tente à
toute force de mettre fin au statut et de détruire le Service public. Ces attaques comme
celles contre le Code du Travail constituent une amplification des mesures contre les
garanties et protections des salariés, du privé comme du public.
FORCE OUVRIERE, fidèle à ses revendications de congrès, s’opposera à ces projets.
Paris, le 29 octobre 2018
Nathalie HOMAND, Secrétaire confédérale
Secteur de l’Economie et du Service public
nhomand@force-ouvriere.fr – 01 40 52 84 47
Le Statut ! Que le Statut !
Ce mardi 30 octobre, le gouvernement a confirmé une attaque sans précédent contre le
Statut général des fonctionnaires garant des valeurs républicaines et de la cohésion
sociale.
En voulant casser les fondements du statut, à savoir :
- Le principe de carrière
- La séparation du grade et de l’emploi
- Le recrutement d’un fonctionnaire sur une mission pérenne
- Les organismes consultatifs
pour y préférer :
- La précarité par l’embauche de contractuels
- La rémunération au mérite
- La fin des garanties collectives
... le gouvernement engage un changement fondamental contre les droits des agents et
contre la qualité du service public.
FO Fonction Publique condamne fermement ces orientations et toute remise en cause du
Statut général des fonctionnaires.
Casser le statut, contractualiser l’emploi, privatiser les missions, c’est accentuer les
inégalités Les plus riches auront le meilleur service rendu au détriment de la plus grande
majorité des usagers devenus des clients.
D’ores et déjà, FO Fonction Publique va engager tous les moyens pour combattre ces
projets néfastes.
Nos revendications sont claires :
- Défense et amélioration du Statut général des fonctionnaires
- Maintien du Code des pensions civiles et militaires,
- Augmentation de la valeur du point d’indice de 16 %
- Développement des services publics de proximité
Nous proposerons aux agents de préparer l’inévitable rapport de force que nous devrons
mener dans le cadre du futur projet de loi, dans l’unité la plus large possible.
FORCE OUVRIERE ne lâchera rien !
Communiqué de la FGF-FO (Fédération générale des Fonctionnaires FO)
Fait à PARIS, le 30 octobre 2018
24 octobre 2018
Revendications FO - CAPD des PE et instits (élections 29 nov. - 6 déc. 2018)
Voter FO, c'est voter POUR !
Renouvelez votre vote FO, adhérez au vote FO !
Voter FO, c’est défendre nos droits !
Votez pour la liste FNEC-FP FO pour défendre le statut des enseignants du 1er degré
FO promeut le dialogue et la négociation, et participe activement à toutes les réunions auxquelles nous sommes invités et instances dans lesquelles siègent nos militants (CTSD, CDEN, CAEN, groupes de travail préparatoires, Conseil départemental de formation continue…) et rend compte de ses mandats.
FO défend la fiche de paie : professeurs des écoles, nous sommes loin d'être des privilégiés !
FO alerte, s’oppose, dénonce, et rassemble quand c'est nécessaire ceux qui souhaitent résister aux contre-réformes et à la dégradation de nos conditions de travail.
Revendiquons le maintien et même la promotion de la Fonction publique, attaquée par la réforme CAP22 et les mesures d’austérité du budget de l’État ! Défendons les garanties statutaires contre un management qui répond à une logique comptable, arbitraire et inhumaine ! Exigeons le respect de nos obligations de service, le maintien de barèmes objectifs et de toutes les instances de représentation du personnel !
Recueillir les revendications des collègues et les porter devant les autorités académiques ou le ministère : voilà qui est constructif !
En votant FO, vous renforcez le syndicalisme militant et indépendant, qui n’exige que le strict respect des décrets de la Fonction publique, de la liberté pédagogique et des conditions de travail des personnels. Ne nous résignons pas à l’arbitraire de l’administration !
ABANDON DE PPCR ET DE SON ÉVALUATION !
L’ARBITRAIRE, ÇA SUFFIT !
RYTHMES SCOLAIRES
4 JOURS POUR TOUS SUR 36 SEMAINES ! ABROGATION DES DÉCRETS PEILLON, HAMON ET BLANQUER !
En votant FO, vous direz enfin NON aux rythmes à la carte en fonction des municipalités, à l’ingérence des mairies dans le fonctionnement de l’école, à la confusion scolaire/périscolaire…
FO a voté contre le décret Blanquer de juin 2017 qui écrit noir sur blanc que les Maires peuvent réduire le nombre de semaines de congé des élèves, donc les congés des enseignants ! « Pas touche à nos congés! »
NON AUX PROJETS MINISTÉRIELS
SUR LA DIRECTION D’ÉCOLE !
En votant FO, vous résisterez :
NON à la suppression/fusion des écoles maternelles et élémentaires pour créer des « écoles du socle » subordonnées aux collèges ;
NON au « néo-directeur » supérieur hiérarchique recruté en dehors du corps des PE ;
NON à la scolarisation des CM1 et CM2 (cycle 3) dans le collège de secteur ;
POUR le maintien d’un directeur par école ! Amélioration immédiate des décharges et indemnités ! Recrutement immédiat d’une aide administrative sous statut de fontionnaire pour tous !
POUR UNE VÉRITABLE MÉDECINE DE PRÉVENTION!
APPLICATION DE LA LOI !
Vous voterez FO pour conquérir le recrutement immédiat de médecins de prévention, pour l’application du droit à la visite médicale pour tous.
Vous exigerez le maintien des CHSCT qui surveillent les conditions de travail, contre le projet de fusion des CHSCT et des CT.
DES POSTES DE FONCTIONNAIRES POUR ABAISSER LES EFFECTIFS
DANS TOUTES LES CLASSES !
Faute de postes, les effectifs augmentent d’année en année, les remplaçants et les enseignants spécialisés, notamment du RASED, manquent.
Au mépris de l’article 3 du statut général de la Fonction publique, le recours aux enseignants contractuels qui occupent des emplois permanents se multiplie (en Normandie : Seine-Maritime, Eure, Calvados…).
En votant FO, vous agirez pour obtenir des postes statutaires (fonctionnaires), la baisse des effectifs par classe et l’ouverture de la liste complémentaire !
En revendiquant avec FO, vous dénoncerez la création du corps de Psychologues de l’Education nationale, à cheval sur primaire et secondaire, géré par le Rectorat, et agirez contre les semaines de travail supplémentaires imposées à ces collègues (1 semaine pour les ex-psychologues scolaires, et jusqu’à 3 semaines pendant les petites vacances pour les PSYEN du secondaire).
INCLUSION SCOLAIRE SYSTÉMATIQUE : UN CONSTAT ALARMANT !
Depuis la « réforme » Darcos, 5000 postes de RASED ont été supprimés !
En 2000, la Manche comptait 1000 élèves en SEGPA ; en 2015, seulement 500 !
En votant FO, vous revendiquerez :
- le respect de toutes les notifications MDPH/MDA,
- la production de tous les PPS pour le travail des enseignant(e)s et des AVS/AESH,
- le maintien et la création de places en établissements sociaux, médicaux sociaux ou d’enseignement adapté (SEGAP, ITEP, IME, EREA…) à hauteur des besoins !
- L’inclusion, oui ! Mais pas au détriment de tous !
AESH : DES COLLÈGUES ESSENTIELS
POUR UN STATUT DE FONCTIONNAIRE
POUR L’AMÉLIORATION IMMEDIATE DE LA RÉMUNÉRATION ET DES CONDITIONS DE TRAVAIL
RÉTABLIR LA FORMATION DES ENSEIGNANTS
Avec la formation à mi-temps, le Ministère a « économisé » plus de dix mille postes. En votant FO, vous revendiquez une formation initiale d’au moins une année complète.
Alors que le projet de transformation des ESPE en INSP prévoit d’instituer un référentiel de formation en plus du référentiel de compétences et d’augmenter le poids du Recteur dans la gouvernance,
Sous couvert d’ « accompagnement » collectif ou individuel, désormais autorisés par la réforme PPCR, les sources de pression se multiplient à l’égard des collègues titulaires ou stagiaires.
Non à la précarisation des professeurs des écoles stagiaires, non aux épreuves d’admissibilité en L3 et d’admission en M2 !
POUR LA DÉFENSE DE NOS RETRAITES,
NOS SALAIRES ET NOTRE STATUT !
En votant FO, vous direz :
► NON à un régime de retraite universel ou par points !
► maintien du code des pensions (75 % du traitement des 6 derniers mois) !
► augmentation de la valeur du point d’indice de 16 % !
► défense du statut de fonctionnaire d’État !
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17 octobre 2018
Le SNUDI F.O. vous alerte : projet de suppression du 2e mouvement !
Après les évaluations PPCR à la tête du client,
le ministère s’apprête à remettre en cause les règles essentielles du mouvement (suppression de l’ancienneté générale de service et du 2e mouvement…)
À l’occasion du groupe de travail ministériel du 08/10, le ministère a confirmé ses projets suivants :
- Suppression de l’Ancienneté Générale de Service dans les barèmes pour le mouvement
- la suppression du 2d mouvement
- des affectations autoritaires et arbitraires, à titre définitif comme à titre provisoire
- l’harmonisation académique des règles du mouvement remettant en cause la place et le rôle des délégués du personnel et des prérogatives des CAPD
Le SNUDI F.O. n’accepte pas !
Ainsi pour le ministère, l’immense majorité des affectations devraient être réalisées à titre définitif à l’issue d’une seule saisie des vœux, c’est-à-dire la suppression pure et simple du 2d mouvement et de la réunion de la CAPD.
- Un seul mouvement intra (avec un mouvement à la marge fin août – début septembre) pour lequel les PE devront émettre « les vœux par école » et « des vœux par secteur » et/ou par typologie et poste.
Le périmètre de ces secteurs serait laissé à l’appréciation de chaque DASEN, sans aucune règle nationalement définis, et soumis au CT.
- Une affectation massive à titre définitif, y compris sur des postes ne faisant pas partie des veux émis par les collègues. Ainsi, des collègues seraient « prisonniers » peut-être des années durant sur un poste qu’ils n’auraient pas sollicité, y compris pour les affectations sur postes fractionnés, ce qui est inadmissible.
- Des affectations provisoires limitées pourraient être maintenues pour les enseignants qui ne détiennent pas la certification ou le diplôme requis (spécialisés, directions…).
Le Ministère prévoit « d’offrir » au cours d’un seul mouvement « autant de postes qu’il y a de participants au mouvement » avec affectation « coûte que coûte » à titre définitif sur des postes non choisis. Pour cela, il demande aux DASEN de proposer à la publication « outre des postes précis, des postes correspondants à des zones géographiques et/ou à une certaine typologie de postes» sur lesquels seront affectés les enseignants.
Les expérimentations concernant les « postes correspondant à des zones géographiques » sont édifiantes. Ces « postes » ne sont ni plus ni moins que des affectations selon les besoins du moment, évoluant d’une année sur l’autre ou même en cours d’année pour faire face à la pénurie de postes qu’organise le ministère. L’instauration de ces « postes » signifie la liquidation du droit volontaire à mutation auquel est substituée la mobilité forcée.
De plus, le ministère veut transférer aux CTSD, regroupant tous les représentants des personnels de l’Éducation nationale sans distinction de corps, le rôle d’examen des notes de service concernant la mutation des personnels du 1er degré. Cette mesure remet en cause les prérogatives des CAPD ou siègent les représentants du corps des instituteurs et Professeurs des écoles.
Une nouvelle fois, le SNUDI-FO a exprimé sa totale opposition à toutes ces modifications lors du groupe de travail. Le SNUDI-FO a soulevé les nombreuses injustices, l’arbitraire et la remise en cause du statut qu’elles engendraient. Ce serait un coup fatal porté au droit à mutation contenu dans le statut général de la fonction publique. Le ministre avec ce projet prépare la mobilité forcée, par définition.
La logique de PPCR appliquée au mouvement : inacceptable !
Après les décisions discrétionnaires liées à PPCR dans les promotions de grade et d’échelon, le ministre veut étendre l’arbitraire au mouvement des PE en supprimant les éléments objectifs et vérifiables par tous du barème.
Le SNUDI-FO a indiqué pour sa part que le maintien d’un mouvement en deux phases avec une seconde saisie de vœux sur des postes précis pour des afectations à titre provisoire pour les PE n’ayant pas eu satisfaction à la 1ère phase était la seule réponse possible.
Le SNUDI F.O. revendique :
► Le maintien des deux phases du mouvement avec saisie de vœux sur postes précis.
► Il s’oppose au projet ministériel d’affecter les enseignants à titre définitif sur des postes non demandés.
► Non aux vœux élargis : zones, types de postes… !
► Abandon du projet de contraindre les collègues à formuler des vœux sur des postes correspondant à des zones géographiques
► Maintien de toutes les prérogatives des CAPD. Non aux harmonisations académiques !
► Le maintien de l’AGS comme élément essentiel du barème pour tous les postes et la suppression des postes profilés
Afin de proposer l’organisation de la mobilisation en défense des règles de mutations, le SNUDI FO a invité les organisations syndicales nationales SNUipp-FSU, SE-UNSA, SUD Éducation, CGT Edu’action à une réunion intersyndicale, avant la tenue d’un nouveau groupe de travail qui doit se réunir le 18 octobre.
Le SNUDI F.O. invite les enseignants du 1er degré à s’informer des projets destructeurs du ministère. Il les invite à multiplier les prises de position dans les écoles et les réunions.
le 10 octobre 2018
La déclaration nationale intersyndicale FO, CGT, FSU, UNSA sur ce projet de destruction du mouvement est consultable ici
contact SNUDI F.O. Manche : snudifo50@gmail.com 07 82 97 25 81
02 octobre 2018
RIS
Participez à l'une de nos prochaines RIS !
Premier trimestre 2018-2019 | ||
---|---|---|
Cherbourg | mercredi 10 octobre 9h-12h lundi 15 octobre 17h-19h |
Maison des syndicats, 56 rue de la Bucaille local F.O. 2e étage |
Valognes | mercredi 17 octobre 9h-12h | lieu à venir |
Coutances | mardi 20 novembre 17h-19h | FJT 162 rue Régis Messac |
Granville | mardi 13 novembre 17h-19h | Agora 361 rue Saint-Nicolas |
Avranches | mercredi 21 novembre 9h-13h jeudi 22 novembre 17h-19h |
école PMF (à préciser) |
Liste des RIS non exhaustive (en fonction de l'actualité, des besoins... contactez-nous !)
Au programme des RIS :
Réforme des promotions : retour sur le mécanisme des promotions depuis 2018
Disparition des barèmes, évaluations à la tête du client, prime au mérite...
Evaluation des enseignants : attention, danger ! Exemples d' "accompagnement" individuel et collectif mis en place dans le cadre de PPCR
Direction d'école : tableau des projets de réforme, belles promesses et moyens en baisse : le leurre de l'autonomie des écoles, les effets de la territorialisation de l'école et des rythmes scolaires
AESH : point sur cette rentrée scolaire
Evaluations CP/CE1, APC, que reste-t-il de notre liberté pédagogique ? Lien avec le dispositif "100% Réussite"
(consultez la page d'archives des RIS du SNUDI F.O. ici)
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20 septembre 2018
Les animations pédagogiques n’ont pas de caractère obligatoire ! Le SNUDI-FO s’adresse à la DGESCO
Montreuil, le 13 septembre 2018
à Jean-Marc Huart
DGESCO
Objet : inscription des PE aux animations pédagogiques ; organisation des APC
Monsieur le Directeur,
Par courrier en date du 12 avril 2018 (ci-joint à nouveau) nous vous avons alerté au sujet du courrier que la DGESCO a adressé aux recteurs, aux IA, aux IENA et aux IEN à propos de l’organisation des 18 heures d’animation pédagogique.
Ce courrier indiquait que « les 18 h d’animation pédagogique et de formation continue prévues dans les ORS des PE seront obligatoirement centrées sur des actions dédiées à l’enseignement de la lecture, de l’écriture et des mathématiques (…)».
De plus, il précisait que les 18 heures devraient se répartir en 9 heures pour le français et 9 heures pour les mathématiques, sur des sujets définis précisément pour chaque cycle.
Nous vous rappelions que la notion d’animations pédagogiques obligatoires n’a pas de valeur réglemen- taire. Le décret n° 2017-44 du 29 mars 2017 définissant nos obligations réglementaires de service précise que les PE doivent effectuer « 18 heures consacrées à des actions de formation continue, pour au moins la moitié d’entre elles, et à de l’animation pédagogique ».
Il n’indique pas, et ne définit pas non plus, de notion d’animation ou de formation obligatoire. Les PE restent donc libres de choisir les animations pédagogiques auxquelles ils souhaitent s’inscrire dans le cadre de ces 18 heures.
Les problèmes posés dans le courrier de la DGESCO ressurgissent à cette rentrée. Les collègues dans les départements sont confrontés à l’inscription obligatoire à un « bloc de 18 heures d’animation pédagogique imposé » ou à l’inscription à plus de 18 heures d’animation pédagogique (dans certains départements, inscription demandée à 30 h d’animation pédagogique, cumulant les 18 heures, avec les deux demi-journées évoquées dans un renvoi de bas de page de l’arrêté du 17 juillet 2017 et les 6 h de la journée de solidarité, qui ne relèvent pas des mêmes textes réglementaires).
Nous renouvelons notre demande :
- que la liberté de choix pour les animations pédagogiques soit respectée pour tous nos collègues
- qu’aucune inscription d’office à des animations ne soit imposée
- que soit respectée l’inscription des collègues à 18 heures d’animation pédagogique et pas plus.
Par ailleurs, par courrier au ministre, en date du 6 septembre, nous alertions sur la circulaire ministérielle du 29 mars 2018 qui impose à la fois le contenu et l’organisation des APC, contrairement au Décret du 31 mars 2017 et à l’article D. 521-13 du Code de l’Éducation (courrier ci-joint à nouveau).
Nous vous demandons d’intervenir en direction des autorités départementales de l’Éducation nationale afin que soient respectés ces différents points.
Dans l’attente de votre réponse, je vous prie d’agréer, Monsieur le Directeur, l’expression de ma parfaite considération.
Norbert Trichard
Secrétaire général
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19 septembre 2018
Direction d’école : à tous les enseignants !
Rapport de la commission des affaires culturelles de l’Assemblée nationale : pour le SNUDI-FO, c’est NON !
Le 1er août, quelques jours avant que le ministre n’ouvre l’agenda social sur la direction d’école, la commis- sion des affaires culturelles de l’Assemblée nationale présente un rapport sur la direction d’école.
Que contient vraiment ce rapport ?
Prenant prétexte de la situation dégradée des directeurs créée par le refus d’augmenter les décharges, d’améliorer le régime indemnitaire, de renouveler les aides administratives et de respecter le décret de 1989, le rapport établit une liste de propositions qui bouleverseraient totalement le fonctionnement des écoles pu- bliques, remettraient en cause nos garanties statutaires.
Suppression des écoles maternelles, de bon nombre d’écoles rurales… et retour des EPEP
Le rapport préconise de supprimer toutes les écoles maternelles en les fusionnant avec les écoles élémen- taires au sein d’écoles primaires ! De la même manière, les petites écoles rurales devraient être regroupées pour permettre « l’émulation » entre les élèves et un meilleur « travail d’équipe » entre les personnels. Des milliers d’écoles seraient ainsi rayées de la carte (ainsi que les postes de directeurs) et des milliers de classes seraient fermées en globalisant les effectifs.
Le rapport préconise la mise en réseau des écoles « par bassin de vie » autour du collège du secteur pour mieux les « inscrire dans leur territoire ». Ces réseaux, outre la mutualisation des locaux envisagée, préparent
« des enseignements communs école/collège » avec « interventions croisées PE enseignants du secondaire
». C’est le retour aux EPEP, un projet gouvernemental rejeté à l’époque par le SNUDI-FO, le SNUipp, SUD, la CGT qui n’avait pu aboutir grâce à la mobilisation des enseignants des écoles initiée par le SNUDI-FO.
Des directeurs supérieurs hiérarchiques des enseignants
Pour manager ces nouveaux établissements constitués de regroupements d’écoles, le rapport propose de créer un statut de directeur, accessible par concours. Les « néo-directeurs » les écoles de 10 classes et plus bénéficieraient d’une décharge totale (financée par la suppression des classes générée par les regroupe- ments). Les directeurs des écoles de 10 classes et plus ne seraient plus des enseignants. Ce statut mettrait fin à la référence au décret de 1989 qui fait du directeur un professeur des écoles qui occupe une fonction particulière. Le lien avec la mission d’enseignement serait supprimé.
Ce « néo-directeur » serait supérieur hiérarchique des enseignants, sur la base d’une « lettre de mission » chargé entre autres de leur accorder ou de leur refuser des autorisations d’absence et serait responsable de la mise en oeuvre effective dans l’école des différents projets.
La quotité de décharge des directions d’école de 5 classes à 9 classes serait portée à 50 %.
Seuls 20 % des directeurs actuels pourraient prétendre au titre de directeur
Combien des actuels directeurs pourraient conserver un poste de direction ? La réponse est donnée par Mme Rilhac, une des deux députées ayant rédigé le rapport, « sur les 45 000 directeurs actuels, seuls 20 % d’entre eux pourraient prétendre au titre de directeur ». Pour 80 % des collègues, ce sont donc des pertes fi- nancières et de temps de décharge !
De nouvelles missions pour les directeurs d’écoles
Quant aux « néo-directeurs », ils se verraient attribuer de nouvelles missions : ils devraient gérer, voire as- surer, « le remplacement des enseignants absents », devenir « le coordinateur de réseau d’éducation priori- taire », avoir des missions dans « la lutte contre la pauvreté et l’exclusion » pour « repérer les situations difficiles et orienter les familles » et même « devenir directeur du périscolaire » ! Ce nouveau statut placerait les directions d’école dans une grande dépendance de la collectivité territoriale par la tutelle du PEdT…
Le SNUDI-FO demande au ministre la satisfaction des revendications des directeurs (dé- charges, indemnités, aide administrative) et la non-prise en compte des propositions du rapport parlementaire
Dès le 29 juin, lors d’une audience au ministère sur la direction d’école, une délégation du SNUDI-FO, por- teuse de milliers de signatures sur la pétition nationale direction d’école avait présenté les revendications en termes de décharges, de rémunérations, de conditions de travail…
Elle avait souligné notamment que dans de nombreux départements, les 4 jours annuels pour les chargés d’école et les 10 jours pour les directions d’écoles de 2 et 3 classes ne sont même pas respectés. De même, la situation de nombreuses écoles qui accueillent des ULIS, UPEAA n’est pas prise en compte alors que la quasi-totalité du temps de décharge de ces écoles est « consommée » pour le fonctionnement de ces dispo- sitifs.
Enfin dans plusieurs départements, des DASEN refusent de comptabiliser comme des classes pour le calcul des décharges et du régime indemnitaire, les dédoublements des CP en REP et CE1 en REP+ ; les collègues directeurs de ces écoles se retrouvent dans les faits avec plus de classes, plus d’enseignants et parfois moins de décharge, voire un régime indemnitaire diminué.
La délégation avait aussi rappelé que les réunions de directeurs avec les IEN ne pouvaient se dérouler en dehors du temps de travail des collègues. Elle avait fait part de son inquiétude à ce sujet et avait saisi le mi- nistère de situations particulières de départements dans lesquels, alors que ces réunions se déroulaient jusqu’à maintenant sur le temps des animations pédagogiques, les DASEN annoncent que dorénavant elles se tiendraient sur la base du bénévolat !!!
Le SNUDI-FO revendique :
La non-prise en compte par le ministère des propositions contenues dans le rapport de la commis- sion des affaires culturelles de l’Assemblée nationale ;
- L’augmentation des décharges de service, le maintien intégral et l’extension des cadres départe- mentaux plus favorables ; pas un directeur sans décharge statutaire hebdomadaire ;
- La prise en compte dans tous les départements de toutes les classes dans le calcul des décharges de direction, y compris les CP et CE1 dédoublés en Éducation prioritaire ;
- Une réelle amélioration financière : 100 points d’indice pour tous ;
- Une aide administrative pour chaque directeur avec des emplois statutaires de la Fonction publique;
- La tenue de toutes les réunions durant le temps scolaire avec le remplacement du directeur par un titulaire-remplaçant ;
- Le transfert de la responsabilité de la rédaction des PPMS aux mairies, dans le cadre du plan com- munal de sauvegarde ;
- Le rétablissement du cadre national de l’école publique et l’arrêt des processus de territorialisation, afin de préserver les directeurs comme leurs adjoints des ingérences et pressions locales ;
- L’attribution de l’ensemble des postes de direction au barème (AGS) ; non aux postes profilés !
- Le respect du décret de 1989 fixant les missions des
Alors que dans le cadre de l’agenda social, le ministre va organiser des réunions sur la direction d’école, le SNUDI-FO vient de s’adresser au ministre pour lui demander de ne pas retenir les propositions du rapport de la commission des affaires culturelles et de l’Éducation de l’Assemblée nationale, propositions qui ne peu- vent pas faire l’objet d’expérimentations comme cela semble être le cas dans l’Ain, et nous sollicitons l’ou- verture de négociations sur les revendications concernant la direction d’école.
Évaluation PPCR et accès à la Hors Classe des PE : après l’audience à la DGRH du 10 septembre, la revendication demeure
Le SNUDI-FO, reçu par le DGRH à Paris le 10 septembre, a rappelé son refus de PPCR dont les conséquences ne cessent de s’abattre sur les personnels
Il a dénoncé les règles d’évaluation mise en œuvre par PPCR, le taux d’accès à la HC injuste et inacceptable pour les PE, le caractère arbitraire et de surcroît définitif de l’appréciation portée par les autorités hiérarchiques pour l’accès à la HC. Ces dispositions interdisent de fait à des milliers de PE d’accéder à la HC dans un délai acceptable et surtout avant leur départ en retraite.
L’arbitraire doit cesser
Aux nombreux témoignages d’arbitraire et d’injustice au cours de la première campagne d’évaluation PPCR, le DGRH n’a apporté aucune explication. À notre demande du retour à un barème basé sur l’Ancienneté Générale de Service (AGS), ils ont opposé le principe même de PPCR à savoir le refus d’une carrière cylindrique, seule garante de l’accès à la HC de tous les PE avant leur départ à la retraite.
Il résulte de toutes ces dispositions des écarts de traitement en fin de carrière qui peuvent dépasser 1000 euros mensuels, un pouvoir hiérarchique décuplé dans l'obtention de promotions d'échelon et de grade.
Le ministre confirme que les appréciations des inspecteurs d’académie resteront gravées dans le marbre ! Inacceptable !
À notre demande que les appréciations ne soient pas définitives, et qu’elles puissent évoluer positivement, parce qu’elles pénalisent les PE jusqu’à la fin de leur carrière, le DGRH a indiqué que « le caractère définitif est intrinsèque à PPCR ». Ainsi, les appréciations bien souvent injustes et arbitraires, attribuées aux collègues, devraient rester gravées dans le marbre. Pour le SNUDI-FO c’est inacceptable !
Les PE doivent bénéficier d’un taux d’au moins 17 % 12,3 % c’est 3500 promus en moins
Le refus du ministre de porter le taux d’accès à la HC pour les PE à 17 % (contre les 13,2 % actuels) comme tous les autres corps de l’Éducation nationale écarte de cette promotion 2018 au moins 3500 PE.
L’écart entre les 13,2 % des PE et les 17 % appliqués à tous les autres corps de l’EN représente 3500 PE, en effet, 13,2 % représentent 13 054 promus alors qu’un taux de 17 % représente 16 213 promus.
3500 PE qui accéderaient à un grade supérieur à la veille de leur départ à la retraite. 3500 PE qui verraient leur pension de retraite augmentée d’autant.
Signez et faites signez la pétition nationale jointe :
« Pour l’abandon de l’évaluation PPCR des enseignants
l’arbitraire ça suffit ! »
Le 11 septembre 2018
lien vers la pétition en ligne : à venir
lien vers la pétition nationale à télécharger, imprimer
et à nous retourner à l'adresse suivante :
SNUDI FO Manche
UD FO Manche
56 rue de la Bucaille
50 100 Cherbourg-en-Cotentin
14 septembre 2018
Évaluation en CP et CE1 : lettre au Ministre
à Monsieur le Ministre de l’Éducation nationale
Objet : Évaluation en CP et CE1
Monsieur le Ministre,
Vous annoncez dans votre conférence de rentrée du 29 août dernier la mise en œuvre d’évaluations en CP et en CE1 en cette rentrée. Or nos collègues dans les écoles ne détiennent aucune information sur cette initiative. Nous n’avons d’ailleurs trouvé aucun texte réglementaire qui définit les objectifs, le calendrier, les conditions dans lesquelles devraient se dérouler ces évaluations.
Certes il est de la responsabilité du ministre et de ses services de proposer des cahiers d’évaluation, pour autant nos collègues découvrent, pour certains ces derniers jours, qu’ils devraient, en plus de leurs progressions annuelles prévues depuis plusieurs semaines, prendre du temps pour mettre en œuvre ces évaluations CP et CE1 dès septembre (à nouveau en janvier / février pour le CP) et par conséquent modifier leurs progressions pédagogiques.
Vous comprendrez, dans cette situation, que ces évaluations ne remplissent pas les conditions de sérénité nécessaires à leur bon usage.
Certains de nos collègues avaient déjà prévu leurs propres évaluations et perçoivent cette initiative comme une remise en cause de leur travail, et de leur liberté pédagogique. D’autres considèrent que le contenu n’est approprié ni à leurs élèves ni à leur besoin… Faudrait-il qu’ils organisent deux séries d’évaluations en cette rentrée ?
Dans la Fonction publique, toute mesure nécessite une déclinaison réglementaire d’application en l’absence de laquelle les agents ne peuvent être inquiétés. En effet dans une telle situation une annonce publique, fût-elle ministérielle, ne peut avoir force de loi.
De plus, aucune information n’est donnée quant aux conditions d’impression des fiches. Plus précisément sur quel budget devraient-elles être financées ?
Selon les informations dont nous disposons, un portail de saisie en ligne serait ouvert sur lequel les enseignants devraient saisir les réponses produites par les élèves. Selon nos estimations cela représente une centaine de réponses multipliées par le nombre d’élèves de la classe, soit environ 2500 à 3000 saisies. Ce qui est gigantesque. Sur quel temps cette nouvelle charge de travail devrait-elle être prise alors que les 108 heures sont largement dépassées ?
À notre sens, ces évaluations ne sauraient donc présenter un caractère obligatoire. Chaque collègue, dans le respect de la liberté pédagogique individuelle, doit pouvoir les utiliser en fonction du contexte pédagogique local ou recourir à ses propres évaluations. C’était d’ailleurs le sens de la note adressée aux enseignants le 28 septembre 2017.
Nous ne doutons pas qu’en tant que ministre d’État, garant du respect des Lois et Règlements de la République, vous comprendrez le sens de notre courrier.
Nous vous prions de croire, Monsieur le Ministre, en notre parfaite considération.
Norbert Trichard Secrétaire général
APC : leur organisation est proposée par le conseil des maîtres et non par le Ministre !
à Monsieur le Ministre de l’Éducation nationale
et de l’Enseignement supérieur
Monsieur le Ministre,
La circulaire ministérielle du 29 mars 2018 indique que les APC seraient « spécifiquement dédiées à la mise en œuvre d’activités relatives à la maîtrise du langage et à la lecture. » Elle s’appliquerait dès la rentrée.
Pour le SNUDI-FO, cette circulaire et sa mise en application « à la lettre» poseraient problème à plusieurs titres :
- Le décret du 31 mars 2017 fixant les obligations de services prévoit pour l’APC « trente-six heures consacrées à des activités pédagogiques complémentaires organisées dans le projet d’école, par groupes restreints d’élèves, pour l’aide aux élèves rencontrant des difficultés dans leurs apprentissages, pour une aide au travail personnel ou pour une activité prévue par le projet d’école». Il apparaît ainsi clairement que les Activités Pédagogiques Complémentaires doivent être organisées en fonction des besoins des élèves, déterminés par l’enseignant. Ces besoins ne peuvent se limiter aux seules « activités relatives à la maîtrise du langage et à la lecture ».
De plus, il est inscrit dans la circulaire que «tout élève dont les parents ou responsable légal en font la demande doit pou- voir être inscrit à un atelier/club de lecture. » Nous rappelons que la participation des élèves ne peut être imposée par les parents puisque « le groupe restreint d’élèves » est déterminé par l’enseignant, après accord des parents pour la participation de l’élève.
- D’autres parts, l’article 521- 13 du Code de l’éducation que vous citez dans la circulaire prévoit que l’organisation générale de l’APC est arrêtée par l’IEN sur proposition du conseil des maîtres. Comme vous le savez, le SNUDI-FO est attaché à la liberté pédagogique et aux prérogatives du conseil des maîtres. Là aussi, la circulaire rentre en contradiction avec cet article.
C’est pourquoi, pour le SNUDI-FO, la circulaire ministérielle ne peut qu’indiquer des préconisations impulsant la volonté ministérielle de favoriser « le langage et la lecture », ce que chaque enseignant peut entendre, mais en aucun cas formuler une injonction à caractère obligatoire qui contreviendrait de fait au cadre réglementaire en vigueur.
Montreuil, le 6 septembre 2018
Norbert Trichard
Secrétaire général
Direction : après le rapport de la commission flash parlementaire, le SNUDI-FO demande au Ministre de ne pas retenir les propositions
Le SNUDI-FO a lancé une pétition qui a reccueilli plusieurs milliers de signatures (2000 signatures au niveau national). Le syndicat a été reçu, le 28 juin, sur cette question par le cabinet du ministre. Au vu des propositions (statut de directeur, suppression de la disctinction maternelle/élémentaire, regroupement d’écoles dans un cadre territorialisé...) de la mission parlementaire sur ce sujet.
Monsieur le Ministre,
Le 1er août, quelques jours avant l’ouverture de l’agenda social qui abordera la question de la direction d’école, la com- mission des affaires culturelles et de l’éducation de l’Assemblée nationale a présenté un rapport sur ce sujet.
Reconnaissant la situation dégradée que subissent les directeurs, consécutive à l’insuffisance du volume de décharges, du régime indemnitaire, et la disparition des aides administratives, le rapport relance le projet d’un statut d’emploi de directeur, une réorganisation de l’école communale par la fusion des écoles maternelles et élémentaires leur mise en réseau des écoles sous la tutelle directe du collège et de la collectivité territoriale de rattachement qui pourrait devenir l’intercommunalité…
Le rapport prétend « soulager les directeurs » en leur imposant la gestion des absences de leurs adjoints, « le remplace- ment des enseignants absents », « la coordination du réseau d’éducation prioritaire », « la lutte contre la pauvreté et l’ex- clusion » pour « repérer les situations difficiles et orienter les familles » et même de « devenir directeur du périscolaire »!
Le décret de 89 qui reste la référence réglementaire pour les tâches du directeur serait réduit à une coquille vide. Toutes ces nouvelles charges seraient compensées par 50 % de décharge pour 5 classes et 100 % à partir de 10 classes. Plus de tâches pour davantage de missions ! Où serait le progrès pour les directeurs? Le SNUDI-FO revendique une augmentation des décharges des directeurs pour répondre à toutes les contraintes.
La mission parlementaire avance la perspective d’un statut d’emploi pour instaurer une « autorité hiérarchique » sur la base « d’une lettre de mission ». Cette autorité hiérarchique permettrait « le pilotage » et « la responsabilité de la conception et de la mise en œuvre » du projet pédagogique lui-même inscrit dans le PEdT. Il mettrait fin à la référence au décret de 89 qui fait du directeur un PE qui occupe une fonction particulière. Cette proposition modifierait en pro- fondeur la place du directeur d’école pair de ses collègues. Leur lien avec la mission d’enseignement serait supprimé.
À noter que ce nouveau statut placerait les directeurs dans un nouveau corps en dehors de celui des PE et de fait très dépendant de la collectivité territoriale tant par la responsabilité du périscolaire que par la tutelle du PEdT… Cela in- duirait par ailleurs que des directeurs d’école pourraient ne jamais avoir été enseignants, ce qui pour le SNUDI-FO, n’est pas acceptable.
Le rapport préconise enfin une « organisation innovante » de l’école qui n’est autre que la fusion d’écoles maternelles et élémentaires dans un réseau d’écoles autour du collège du secteur. Ces réseaux entraîneraient nécessairement une mutualisation qui menacerait des milliers de postes de directeurs. Combien de directeurs actuellement en poste pour- raient postuler à ce statut d’emploi ? Bien peu certainement. D’ailleurs selon la députée Cécile Rilhac « Sur les 45 000 directeurs actuels, seuls 20 % d’entre eux pourraient prétendre au titre de directeur, accessible par concours ou par validation des acquis de l’expérience ».
De plus, cette mise en réseau devrait permettre « des enseignements communs» école/collège avec « interventions croisées Professeurs des écoles et professeurs du secondaire ». Cette proposition oublie que les Professeurs des écoles et les certifiés n’appartiennent pas au même corps, ils n’ont pas les mêmes obligations de service.
Ces propositions forment un ensemble qui ressemble fort aux EPEP rejetés par les enseignants en 2008.
► Pour le SNUDI-FO, ce dont les directeurs ont besoin, ce n’est pas d’un statut ni de tâches supplémentaires, mais d’une amélioration de leur régime de décharge, une augmentation de 100 points d’indice pour tous et une aide ad- ministrative pérenne assurée par des personnels titulaires sous statut de la fonction publique.
Par conséquent, nous vous demandons, Monsieur le Ministre, de ne pas retenir ces propositions, qui en tout état de cause, ne peuvent pas faire l’objet d’expérimentation comme cela semble être le cas dans l’Ain et d’ouvrir des négociations sur les revendications des directeurs.
Nous vous prions de croire, Monsieur le Ministre, en notre parfaite considération.
Norbert Trichard
Secrétaire général
Mouvement intra-académique des PsyEN EDA : le SNUDI FO obtient du ministère la possibilité pour les PsyEN EDA de postuler sur des écoles précises et non sur des circonscriptions entières.
Conséquence de la mise en place du nouveau corps des PsyEN, fusionnant les ex-psychologues scolaires et les ex-COP, à laquelle la FNEC FP-FO s’est opposée, le mouvement intra académique des psychologues de l’éducation nationale du 1er degré (les PsyEN EDA) est devenu académique et non plus départemental.
Cette modification s’est accompagnée de l’impossibilité pour les PsyEN EDA de postuler sur des postes précis, dans une école de rattachement. Lors des mutations intra-académiques 2018, les PsyEN EDA n’ont pu émettre des vœux que sur des circonscriptions voire sur des zones encore plus étendues.
À l’annonce de cette régression, dans plusieurs départements et académies, le SNUDI-FO et la FNEC FP-FO ont sollicité les inspecteurs d’académie et les recteurs pour que les PsyEN EDA puissent à nouveau postuler sur des postes précis rattachés à une école.
Le 30 mai, le SNUDI-FO a formulé la même demande au ministre de l’Éducation nationale.
Le SNUDI-FO expliquait notamment : « Cette évolution n’est pas acceptable pour nos collègues : en effet, dans certaines circonscriptions, les différents secteurs sur lesquels les PsyEN sont suscep- tibles d’être affectés sont très étendus.En demandant une circonscription, et non plus un poste pré- cis, un PsyEN peut ainsi se retrouver à des distances très importantes de son domicile, parfois des dizaines de kilomètres.
Par ailleurs, cet état interdit, de fait, aux PsyEN de demander à exercer dans un RASED précis, au côté de maîtres E et de maîtres G avec qui ils souhaitent travailler en particulier.
Cette nouvelle disposition est donc de nature à limiter le droit à mutation des personnels. Beaucoup hésiteront à demander leur mutation en n’ayant aucune garantie sur le secteur dont ils auront la charge.»
Le 4 juillet, les services du ministère ont répondu favorablement à la demande du SNUDI-FO :
« La circulaire 2014-107 du 18 août 2014 indique que les personnels des réseaux d’aides spécialisées aux élèves en difficulté (RASED), dont les psychologues intervenant dans le 1er degré font partie, doivent être affectés administrativement dans une école de leur périmètre d’intervention. (…)
Pour le mouvement 2019, mes services ont d’ores et déjà demandé la modification de l’application relative au mouvement intra académique afin de faire figurer l’école de rattachement administratif. »
Ainsi, lors des mouvements intra-académiques 2019, tous les PsyEN EDA pourront postuler sur des écoles précises. Le SNUDI-FO se félicite de cette réponse positive du ministère et vérifiera son application dans chaque académie.
Le SNUDI-FO invite les PsyEN EDA à rejoindre Force Ouvrière, le syndicat libre et indépendant qui agit dans l’intérêt des personnels.
Publié dans CHS CT, santé, sécurité, PSYEN (Psychologues de l'Education nationale) | Imprimer | Facebook |
07 juillet 2018
Pulvérisation des CAP : les fonctionnaires soumis à l'arbitraire !
En des temps de plébiscite de la transparence, du dialogue social et de la démocratie participative, le gouvernement persiste à vouloir supprimer certaines questions sensibles du champ de compétence des CAP (Commissions administratives paritaires des fonctionnaires), notamment affectations et... promotions !
Lire le communiqué FNEC F.P. F.O. :
Ecole maternelle : refus de la transformer en structure d'accueil territoriale
Rappel. Le 1er mars dernier, une modification substantielle des missions des Atsem (décret n° 2018-152 du 1er mars 2018), qui peuvent désormais "participer à la mise en œuvre des activités pédagogiques prévues par les enseignants et sous la responsabilité de ces derniers" et "assister les enseignants dans les classes ou établissements accueillant des enfants à besoins éducatifs particuliers", posait la question d'une territorialisation à la fois des activités d'enseignement et des missions d'accompagnement des élèves relevant du handicap ou des élèves à BEP (jusqu'ici logiquement assumées par l'Education nationale à travers les AVS/AESH).
2e rappel. À l'occasion des "Assises de la maternelle" (mars dernier également), le Ministre a annoncé l'obligation de scolarisation dès 3 ans : compte tenu du fait que 97,5% des 3-6 ans sont déjà scolarisés, la principale conséquence à attendre de cette mesure est l'obligation, pour les collectivités territoriales, de payer les frais de scolarité des 3-6 ans aux écoles privées !
Dernière nouveauté des "Assises de la maternelle" : le Ministère a été sensible aux recommandations de rapports et d'études (France stratégie notamment) sur la transformation progressive de l'école maternelle en structures d'accueil territoriales.
Lire le communiqué commun Fédération des territoriaux F.O. (FSPS) et Fédération de l'enseignement F.O. (FNEC F.P. F.O.) :
Prérentrée : un seul jour le vendredi 31 août !
Rappel sur le cadre réglementaire de la « prérentrée » :
La Note de service n° 83-274 du 12/07/83-(RLR 510-1) précise : « La journée de prérentrée a un usage traditionnel où le conseil des maîtres parachève l’organisation du service et de l’enseignement pour l’année ».
Ce n’est donc pas une obligation de service comme le prétend le Ministre.
Dans sa réponse au recours gracieux déposé par la FNEC FP FO et le SNUDI FO le directeur de l’enseignement scolaire écrit le 13 avril 2004 :
« L’arrêté du 15 janvier 1991… implique bien que les obligations de services ainsi définies ne le sont pas de manière exhaustive.»
et précise : « Il est clair (…) que les activités hors enseignement dont la répartition horaire est précisée par l’arrêté du 15 janvier 1991 ne recouvrent pas le champ des obligations de ces personnels, que ce soit en termes de formation, de concertation et naturellement de préparation des cours pour laquelle aucun horaire n’est indiqué.»
Or, la prérentrée est bien une activité hors enseignement, qui relève, comme l’indique le représentant du ministre, des tâches de préparation dont aucun texte ne précise ni la durée ni les horaires.
Son organisation relève donc bien de la liberté pédagogique de chaque enseignant qui planifie et maîtrise son emploi du temps comme il lui convient afin de préparer sa classe pour le jour de la rentrée des élèves.
Attention ! Pour 2018/2019, à ce jour, aucun arrêté fixant le calendrier de l’année scolaire 2018/2019, ni la prérentrée n’a été publié. La FNEC FP FO intervient au CTM du 10 juillet sur cette question.
Aucune dérogation n’est possible même en l’absence d’arrêté publié !
L’absence d’arrêté ministériel (à ce jour) pour le calendrier solaire 2018/2019 ne peut pas être le prétexte pour qu’un IEN, un IA ou tout autre représentant de l’administration tente d’avancer la prérentrée ou d’apporter quelque modification locale à la situation actuelle.
La prérentrée des enseignants ne peut donc pas être programmée avant le 31 août 2018. Certains IEN ont publié des circulaires fixant la prérentrée au jeudi 30 août, elles sont illégales. À chaque fois que le SNUDI FO est intervenu, ces circulaires ont été retirées.
Le renvoi de bas de page de l’annexe de l’arrêté du 16 avril 2015 (qui fixait le dernier calendrier triennal 2015/2016 - 2016/2017 - 2017/2018) précise :
« Pour les enseignants, deux demi-journées (ou un horaire équivalent), prises en dehors des heures de cours, pourront être dégagées, durant l’année sco- laire, afin de permettre des temps de réflexion et de formation sur des sujets proposés par les autorités académiques.»
1) À noter que « pourront » ne signifie pas « devront »
2) « deux demi-journées (ou un horaire équivalent) prises en dehors des heures de cours » dans le cadre des obligations de service donc pendant 18 heures de concertation réglementaires.
Outre que la portée juridique d’un tel renvoi reste à démonter (ce que n’a pas pu faire le Ministère à ce jour), « les temps de réflexion et de formation » s’inscrivent nécessairement dans les obligations de service des PE c’est-à-dire sur le temps de concertation (qui est de 18 heures annuelles).
Il n’y a donc pas de demi-journée « à récupérer » un mercredi ou un autre jour.
La FNEC FP F.O. continue de demander que la rentrée soit fixée au 1er septembre et que la fin de l’année scolaire soit au 30 juin au plus tard.
En cas de problème ou de pression, contacter le SNUDI F.O. par email snudifo50@gmail.com ou par téléphone 07 82 97 25 81 .
Primes en éducation prioritaire : l'arrivée du salaire au mérite
Communiqué :
Publié dans EP : REP+, REP, Eclair, Zep..., Traitement, primes, fiche de paie | Imprimer | Facebook |
20 juin 2018
28 juin : journée d'actions intersyndicale et interprofessionnelle
Pour l'instant, au 19 juin, un seul rassemblement pour le département de la Manche :
Cherbourg de 11h30 à 14h00 au "carrefour des luttes" (devant la gare SNCF)
Contactez nous pour vous inscrire dans les actions ! snudifo50@gmail.com ou 07 82 97 25 81
13 juin 2018
Fiches pratiques Iprof : trouver l'avis de l'IEN et vérifier son ancienneté d'échelon
05 juin 2018
Fiche de suivi Hors classe
Renvoyez au SNUDI F.O. Manche la fiche de suivi pour la campagne de promotion au grade de Professeur des écoles Hors classe 2018 :
en .PDF :
50 Fiche_promotion_hors_classe_2018.pdf
en .DOC :
50 Fiche_promotion_hors_classe_2018.doc
Consultez également notre 4 pages spécial HC qui résume le fonctionnement (réglementation, barème, etc.) :
01 juin 2018
Archives des RIS
Archives des RIS
Réunions d'information syndicale SNUDI F.O. Manche
3e trimestre 2017-2018
3 dernières réunions !
spéciales "PPCR" :
réforme de l'évaluation et des carrières
- vendredi 22 juin 16h45-18h45 Cherbourg Maison des syndicats
- mercredi 27 juin 9h-12h Cherbourg Maison des syndicats (RIS sur temps de travail : modèle de lettre à télécharger ici et à envoyer une semaine avant à l'IEN avec le formulaire de demande d'absence)
- vendredi 29 juin 16h45-18h45 Cherbourg Maison des syndicats
Pour ces trois dernières réunions de l'année, le SNUDI F.O sera ravi de vous accueillir dans les locaux de l'Union départementale F.O. : 2e étage de la Maison des syndicats de Cherbourg (56 rue de la Bucaille).
Profitez-en ! contact : snudifo50@gmail.com
Réunions d'information syndicale SNUDI F.O. Manche
2e trimestre 2017-2018
Spéciales Mouvement 2018
- mardi 27 mars 16h30 à Valognes (salle des maîtres de l'école Tocqueville, rue de Tocqueville)
- vendredi 30 mars : permanence mouvement 16h-17h à Saint-Lô (Maison des syndicats, 2 rue Léon Déries, près de l'école des Palliers)
- mardi 3 avril 16h45 à Cherbourg (Maison des syndicats, 56 rue de la Bucaille)
- lundi 9 avril 16h45 à Tourlaville (site élémentaire Hugo, rue de l'églantine)
- mercredi 18 avril 9h-12h à Bricquebec (RIS sur temps de travail)
La participation à une réunion d'information syndicale par trimestre est déductible des 108h (hors APC) : voir modèle de lettre à télécharger ici et à envoyer 48h avant à l'IEN en cas d'animation ou réunion prévue le même soir.
Déductibles des 108h Vous pouvez participer à 1 RIS par trimestre Appelez-nous pour plus d’informations |
Autres points qui pourront être abordés : Situation des directions d'écoles, Revendications des écoles, Carte scolaire, Semaine de 4 jours, Connaître et défendre nos droits statutaires, PPCR promotion et évaluation des enseignants, Problèmes liés à l'inclusion systématique...
|
Modèle de lettre pour aviser l'administration à télécharger ici
RIS 2e trimestre 2017-2018
RIS 1er trimestre 2017-2018 :
9 novembre 2017 : Cherbourg
14 novembre : Cherbourg
28 novembre : Saint-Lô
5 décembre : Coutances
12 décembre : Avranches
21 décembre : Cherbourg
Juin 2017 : le SNUDI FO vous informe
Le SNUDI FO organise à Cherbourg
une 2e réunion spéciale RYTHMES SCOLAIRES
Le décret Blanquer tourne le dos à l’exigence d’une semaine de 4 jours pour tous (lundi, mardi, jeudi, vendredi) sur tout le territoire national, sur 36 semaines !
Chaque commune pourra déroger au calendrier scolaire de 36 semaines de classe et permet d'aller jusqu'à 40 semaines de classe ! Le décret ouvre ainsi la voie à une réduction des vacances scolaires !
Au CSE du 8 juin, FO a voté contre ce décret qui poursuit l’offensive
contre notre statut de Professeur des écoles, fonctionnaire d’État…
FO a voté contre l’annualisation
des heures d’enseignement… proposée par d'autres syndicats d'enseignants !
F.O. a voté contre le Décret qui a été adopté par le CT-Ministériel du 21/06 !
Rendez-vous à notre 2e réunion spéciale RYTHMES SCOLAIRES
Dernière minute : nous ajoutons le thème du dédoublement des CP en REP+ car le DASEN l'a mis à l'ordre du jour d'une réunion du CTSD vendredi 30/06 ! Lire la lettre du SNUDI FO national au Ministre sur le dédoublement des CP en REP+
mardi 27 juin à partir de 16h30, Maison des syndicats de Cherbourg (56 rue de la Bucaille)
Réunion ouverte à tous, syndiqué ou non syndiqué.
Téléchargez nos flyers RIS cliquez sur l'image
Rappel : pour les PE du 1er degré, le droit à l'information syndicale, ce sont 3 RIS par an (1 par trimestre), à déduire de n'importe quel temps annualisé (concertation, 1/2 journée solidarité, conseil, animation pédagogique, formation à distance, présentiel... hors temps d'APC). Contactez-nous si vous constatez la moindre réticence ou incompréhension avec l'administration.
Pour les RIS sur le temps de classe (mercredi matin), pensez à envoyer au plus tôt la lettre de demande d'absence, une semaine avant est suggéré par l'administration.
Modèle de lettre pour aviser l'administration à télécharger ici.
Publié dans RIS (Réunions syndicales) et droit syndical | Imprimer | Facebook |
23 avril 2018
4e plan autisme : un plan d’économies budgétaires
Communiqué de la FNEC F.P. F.O. du 17 avril
4e plan autisme : un plan d’économies budgétaires... L’inclusion scolaire systématique au détriment des établissements spécialisés
Répression à Tolbiac
Communiqué de la FNEC F.P. F.O. du 20 avril
RETRAIT DE LA LOI ORE ! La FNEC FP-FO condamne la répression policière
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30 mars 2018
Bulletin départemental mouvement 2018
Retrouvez ci-dessous le Bulletin départemental, ses annexes et toutes les informations mouvement (mise à jour 30/03/18) :
NOUVEAU : Consultez les fiches de postes compétences particulières (PCP) et la LA-Direction : compilation des 40 fiches et liste d'aptitude (LA) Direction (avec sommaire).
NOUVEAU : Consultez la liste des postes réservés stagiaires (PES) 2018-2019 : fichier des postes PES en date du 30/03/18.
Nouvelles dates d'ouverture du serveur SIAM (accessible depuis IPROF depuis l'Intranet académique) : 30/03 - 15/04.
Nous vous défendons ! Renvoyez-nous votre fiche de suivi syndical mouvement 2018 :
fiche de suivi titulaire
fiche de suivi stagiaire
Sommaire des fiches de postes à compétences particulières (PCP).
1 - Conseiller pédagogique de circonscription - généraliste - 2018
2 - Conseiller pédagogique de circonscription - ASH - 2018
3 - 50% conseiller pédagogique circonscription St Lô sud + 50% CPD Maternelle - 2018
4 - Conseiller pédagogique départemental TICE - 2018
5 - Conseiller pédagogique de circonscription - EPS - 2018
6 - 50% Conseiller pédagogique EPS St Lô SUD + 50% assistant de prévention départemental - 2018
7 - Conseiller pédagogique départemental EPS - 2018
8 - 50% Conseiller pédagogique départemental EPS + 50% action culturelle - 2018
9 - Conseiller pédagogique enseignement culture humaniste - option éducation musicale - 2018
10 - Conseiller pédagogique enseignement culture humaniste - option arts visuels - 2018
11 - Conseiller pédagogique langues vivantes - 2018
12 - Conseiller pédagogique départemental formation - 2018
13 - Conseiller départemental de prévention - 2018
14 - Professeur des écoles maître formateur - option technologies et ressources éducatives - 2018
15 - Enseignant plus de maîtres que de classes - Bilingue langue anglaise - 2018
16 - Enseignant plus de maîtres que de classes - REP+ - 2018
17 - Enseignant dispositif accueil moins de 3 ans - 2018
18 - Enseignant en unité pédagogique pour élèves allophones arrivants - 2018
19 - Enseignant auprès des enfants issus de familles itinérantes et de voyageurs - 2018
20 - Directeur d'école de 13 classes et plus - 2018
21 - Directeur d'école au sein du dispositif REP+ - 2018
22 - Coordonnateur des réseaux d'éducation prioritaire renforcé - REP+ - 2018
23 - Enseignant au service éducatif du Mt St Michel - 2018
24 - Atelier CANOPE de la Manche - 2018
25 - Enseignant aux services éducatifs de Cherbourg et Saint-Lô - 2018
26 - Directeur de centre permanent de la fédération de la Manche de la ligue d'enseignement - 2018
27 - Directeur du centre permanent des pupilles d'enseignement public - 2018
28 - Enseignant référent - 2018
29 - Coordonnateur pédagogique unité d'enseignement - 2018
30 - Coordonnateur du service des auxiliaires de vie scolaire AESH - 2018
31 - Enseignant spécialisé coordonnateur CDOEASD et AESH - 2018
32 - Coordonnateur classe relais sud-Manche - 2018
33 - Coordonnateur classe relais nord cotentin - 2018
34 - Enseignant en milieu pénitentiaire - 2018
35 - Directeur de CMPP - 2018
36 - Enseignant spécialisé en psychopédagogie dans un centre médico-psycho-pédagogique (C.M.P.P.) - 2018
37 - Poste d'enseignement en centre hospitalier - 2018
38 - Chef de service SESSAD DV - 2018
39 - Enseignant auprès des élèves porteurs de troubles visuels centre et sud Manche - 2018
40 - Enseignant auprès des élèves porteurs de troubles visuels nord Cotentin - 2018
Consulter le Bulletin départemental 2018 (compilé avec les annexes 1,2,3,6 et 7).pdf
Annexes :
1- Carte des secteurs geographiques
2- Listes des communes par secteur geographique
3- Listes des ecoles et etablissements relevant des dispositifs REP et REP+
l'annexe 4 n'est pas encore parue
5- Liste des ecoles primaires ayant au moins 1 classe maternelle
7- Liste des ecoles primaires ayant au moins 1 ULIS
Pour y voir clair dans les horaires des écoles, nous mettrons à jour la carte interactive des écoles (possibilité de filtrer 4 jours / 4 jours et demi) dans la foulée du CDEN du 16/03.
Le SNUDI F.O. Manche a établit une carte interactive 2018-2019 :
Pour mémoire la carte 2017-2018 (attention rentrée 2018 : changement des circos et plus de 120 écoles à 4 supplémentaires à 4 jours) :
Publié dans Calendrier scolaire, prérentrée, CAP, gestion des personnels, RH, Grèves - préavis, actions, Infos pratiques, métier, Mouvement, appels d'offres, Remplaçants, Rythmes scolaires, territorialisation, Stagiaires, formation initiale, Textes réglementaires (circulaires...) | Imprimer | Facebook |
16 mars 2018
CDEN du 16 mars : changements par rapport au CTSD du 13 mars (carte scolaire définitive)
Les ajustements du CDEN du 16 mars (carte scolaire définitive jusqu'aux comptages de rentrée)
Votre représentante du personnel mandatée par la FNEC F.P. F.O. : Patricia ESNOUF, directrice d'école.
L’IA-DASEN a levé le comptage à la rentrée pour les ouvertures de classe dans 3 écoles : Blum (Equeurdreville), Goubert (Cherbourg), et les Courlis (Querqueville)
Un moyen provisoire est rétrogradé en ouverture conditionnelle : les Palliers (St-Lô)
L'IA-DASEN accorde 4 comptages : Gratot, la Haye-Pesnel, Lecroisey (St-Hilaire-du-H.), Sourdeval
Annulation de la fermeture conditionnelle : Doisneau (Cherbourg), Isigny-le-Buat, Ste-Mère-Eglise, St-Martin-des-Champs
Annulation de la fermeture : St-Sauveur-le-Vicomte
Les mesures définitives à l'issue de CDEN d'aujourd'hui sont listées ci-dessous :
Ouvertures de classes (12 classes donc 5 qui existaient déjà en 2017-2018, bilan +7 ETP) :
- Auvers-Méautis (confirmation de l’ouverture 2017-2018)
- Avranches Mendès-France (création d’un dispositif exclusivement pour moins de 3 ans)
- Cherbourg-Octeville Goubert
- Cherbourg-Equeurdreville Blum maternelle (confirmation de l’ouverture 2017-2018)
- Cherbourg-Querqueville Courlis
- Denneville (confirmation de l’ouverture 2017-2018)
- Granville Dr. Lanos (confirmation de l’ouverture 2017-2018)
- Le Parc (Plomb) –Tirepied (confirmation de l’ouverture 2017-2018)
- Pont Farcy (transfert de 3 classes à la suite du rattachement au département, commune de Tessy-Bocage)
- Tollevast (décharge direction passe à 33%)
Ouvertures provisoires 2018-2019 (bilan ETP nul) :
- Condé-sur-Vire (reconduction de la classe provisoire 2017-2018)
Ouvertures conditionnelles (comptage à la rentrée) :
- Beauchamp-Folligny (ouverture conditionnelle mais retrait de la classe provisoire 2017-2018)
- Moitiers-d’Allone
- Muneville le Bingard-La Rondehaye-Geffosses-Hauteville la Guichard
- Saint-Lô Les Palliers
- Saint-Martin-de-Bonfossé
Fermetures de classes (30 classes dont 6 dites « provisoires », bilan -30 ETP) :
- Barneville-Carteret
- Beauchamps-Folligny (récupération de la classe provisoire 2017-2018)
- Carantilly-Dangy-Quibou
- Carentan Roseaux
- Cherbourg Bayet
- Cherbourg Equeurdreville Mitterrand élémentaire
- Cherbourg Tourlaville Buisson (avec perte ¼ décharge direction en 2019)
- Cherbourg Tourlaville Ferry (avec baisse décharge direction de 33% à 25% en 2019)
- Cherbourg Tournesols (avec baisse décharge de direction à 33% en 2019, maintien du Maître+ à 50%)
- Coudeville-sur-mer (avec perte du ¼ décharge direction en 2019)
- Coutances Tanneries
- Couville (avec baisse direction à 50% en 2019)
- Feugères-Marchesieux-St-M.d’Aubigny (mais dédoublement CP)
- Flamanville (récupération de la classe provisoire 2017-2018)
- Gonneville
- Gorges-Le Plessis-Lastelle (récupération de la classe provisoire 2017-2018)
- Graignes-Mesnil-Angot
- Jullouville (récupération classe provisoire 2017-2018)
- Le Teilleul
- Montebourg élémentaire
- Mortain-Bocage (mais maintien du ½ Maître+)
- Moyon-Villages
- Périers
- Quettreville (baisse de décharge à 33% en 2019)
- Rauville-la-Bigot
- Saint-James (récupération classe provisoire 2017-2018 mais maintien du Maître+ à 50%)
- Saint-Lô Les Palliers (récupération de la classe provisoire de 2016 et 2017, et ouverture conditionnelle)
- Saint-Quentin-sur-le-Homme
- Valognes Delisle-Tocqueville
- Villedieu-Rouffigny maternelle (mais maintien du Maître+)
Fermetures conditionnelles (comptage) :
- Cerisy-la-Forêt
- Ducey maternelle
- Gratot
- La Haye-Pesnel
- Portbail
- Quettetot (fusion en attente avec le Vrétot)
- Saint-Hilaire-du-Harcouet Lecroisey
- Sourdeval
- Torigny Gieville-Guilberville (entraînerait baisse à 33% direction)
- Virandeville
Ouvertures de classes dues à une fermeture d’école/transfert (compensées) :
- Beaumont-Hague élémentaire (transfert de 2 classes à la suite de la fermeture de l’école de Biville-Vauville)
- Beaumont-Hague maternelle (transfert d’une classe à la suite de la fermeture de l’école de Biville-Vauville)
- Graignes-Tribehou RPI ? (2 classes transférées du RPI Tribehou-Terre et Marais)
- Sainte-Croix-Hague (transfert d’une classe à la suite de la fermeture de l’école de Biville-Vauville)
- Sainteny (2 classes transférées de St-Georges-de-Bohon à la suite de fusion, décharge de direction passe de 25% à 33%)
Fermetures de classes dues à une fermeture d’école/transfert (compensées) :
- Biville-Vauville (4 classes ferméeset réouverture des 4 classes : 1 classe sur Sainte-Croix, 1 classe Beaumont maternelle, 2 classes Beaumont élémentaire)
- St-Georges-de-Bohon-Tribehou (4 classes fermées: 2 classes transférées à Sainteny, 2 classes RPI Graignes-Tribehou ?)
Dédoublement CP et CE1 en éducation prioritaire REP de Périers, Sainte-Mère, Saint-Vaast, Villedieu et REP+ des Provinces
(soit 17 classes créées en Education prioritaire représentant 13 ETP compte tenu de la disparition de 4 Maître+ ETP)
Dédoublement de la classe de CP en REP (en contrepartie : diminution d’1/4 Maître+ sauf mention contraire) :
- Bourguenolles-La-Lande-d’Airou
Chérencé-le-Héron-Ste-Cécile : pas de création de CP mais maintien du 1/4 Maître+
- Feugères-Marchesieux-St-M.d’Aubigny
- Fleury-La-Bloutière
- Gorges-Le Plessis-Lastelle (mais maintien du 1/4 Maître+)
- Montfarville
- Périers
- Picauville
- Quettehou
- Réville
- Saint-Vaast-la-Hougue
- Sainte-Marie-du-Mont
- Sainte-Mère-Église
- Sainte-Mère-Église Chef du Pont
- Villedieu-Rouffigny (mais maintien du 1/4 Maître+)
Dédoublement des classes de CE1 en REP+ :
- Cherbourg Baquesne 2 classes de CE1 dédoublées (mais récupération d’1/2 poste de Maître+, augmentation décharge direction de 75 à 100%)
- Cherbourg Hameau Noblet : 1 classe de CE1 dédoublée (mais récupération d’1/2 Maître+)
Fusions actées :
Equeurdreville : fusion maternelle Le Corre et élémentaire Ferry
Fusion maternelle les Avoines et élémentaire Macé (évite fermeture conditionnelle à Macé)
Périers : maternelle et élémentaire
Saint-Lô : fusion administrative Calmette-Guérin-Jules Verne et Aurore (décharge direction de 25% à 50%)
Fusions à l’étude :
Graignes-Mesnil-Angot et Tribehou
Ecoles primaires de Gonneville et du Theil à l’étude
Ecoles primaires du Vrétot et de Bricquebec projet de fusion administrative à l’étude
Autres mesures sur les postes d’enseignants (+7,5 ETP)
(RASED : Bilan ETP nul, rééquilibrage du au redécoupage des circonscriptions)
Maîtres E : +1 Cherbourg-Ouest, +1 Coutances, -2 nouvelle circonscription de Carentan, +1 Avranches, -1 Granville
Psychologues scolaires : -1 Carentan +1 Mortain
-1/2 ETP IME la Mondrée (Cherbourg), réaffecté à Maurice Marie ( St-Lô)
Création 1/2 poste Hôpital de St-Lô
+1/2 poste CP (Conseiller pédagogique) EPS sur nouvelle circo. Saint-Lô sud (le poste devient à temps plein)
+1/2 CP départemental Action culturelle
+1 poste allophone (UPE2A) à Cherbourg-en-Cotentin.
+1 poste PACD (Poste adapté de courte durée)
+4 remplaçants : l’IA-DASEN a précisé l’implantation de ces postes annoncés le 21/02 (écoles avec tradition d’accueil d’enfants du voyage) : école Goubert Cherbourg, école d’Agneau, école Le Croisey St-Hilaire-du-H., école Curie Granville.
Les 7 postes d’ERUN/MATICE évoluent en postes de PEMF spécialité TICE : augmentation de la décharge 0.33 à 0.50 (soit +1.19 poste)
Bilan R2018 des décharges supplémentaires (direction+MATICE) : +1.85 ETP
Bilan R2019 des décharges de direction perdues : -0.92 ETP