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01 décembre 2015

Consignes de sécurité : lettre à la Ministre

La lettre de FO du 25 novembre 2015 à la Ministre de l'Education nationale.

15-11-25-HR-NVB-vigipirate-consignes de sécurité.pdf

30 novembre 2015

Réunion d'information syndicale sur temps de travail

Le SNUDI FO 50 organise une réunion d'information syndicale sur temps de travail devant élèves le

Mercredi 2 décembre 2015 de 9h à 12h

à Querqueville

salle des veillées (pignon de l'Hôtel de ville 3 avenue de Couville)

 

Une réunion d'information syndicale est un temps d'information et de partage sur le métier ouvert à tout collègue enseignant du premier degré, syndiqué et non syndiqué, quelle que soit sa circonscription. Une seule de ces réunions sur temps de face à face devant élèves peut être effectuée chaque année. FO continue de demander un retour à la situation d'avant 2008, à réclamer l'application de la réglementation fonction publique pour les PE.

Modèle de courrier à envoyer à l'IEN au moins 48h à l'avance.

Modèle de mot à donner aux parents (les informer qu'une réunion syndicale a lieu).

 

Aucun IEN, aucune secrétaire de circonscription ne peut vous interdire de participer à une RIS qui se tient : nous contacter immédiatement pour tout problème avec l'administration snudifo50@gmail.com ou 07 82 97 25 81.

 

Ordre du jour du 02/12/15 :

  • Actualité : projet de modification de nos obligations de service : le risque de remise en cause des 36 semaines, de généralisation des conseils écoles-collège, d'augmentation des missions...
  • point sur les rythmes scolaires : FO demande toujours l'abrogation de cette réforme qui masque une territorialisation des enseignants, qui génère des problèmes sans apporter aux élèves, qui dégrade nos conditions de travail...
  • dossier sur les 18h annualisées de formation continue, ordres de mission, etc.
  • procédure de permutation informatisée
  • etc.

 

29 novembre 2015

Document repère : mettre en place les rythmes scolaires

Elaboré par le groupe de suivi départemental de la Manche en octobre 2015 :

Document repère rythmes Manche 17-11.pdf

 

27 novembre 2015

Lettre d'inFOs du SNUDI FO 50 aux écoles de la Manche

 

Lettre inFOs aux écoles -27-11-2015-.pdf

 

 

 

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16 novembre 2015

Attentats du 13 novembre : communiqué UD FO 50

L’UD FO de la Manche condamne avec la plus grande force les actes lâches de terrorisme fanatique du vendredi 13 novembre 2015 qui révoltent la conscience des militants syndicaux épris de justice, de paix et de liberté.

La République française, ses idéaux et ses principes : liberté - égalité - fraternité - laïcité, ont des ennemis éternels qu’il faudra toujours combattre : l’obscurantisme religieux ou politique, mais aussi le capitalisme comme système d’exploitation économique, fauteurs de misère et de guerres. Le syndicalisme dont se réclame FO entend poursuivre la lutte pour le progrès de l’humanité.

L’UD FO de la Manche s’associe au deuil national.

S’agissant des appels à une « union nationale », l’UD FO 50 considère que les salariés ne peuvent pas renoncer à leurs luttes quand l’Etat et les patrons continuent de dérouler leurs plans de régression sociale.

http://50.force-ouvriere.org/

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15 novembre 2015

Consignes au personnel du Rectorat pour la semaine suivant les attentats.

2015 11 15 Consignes aux personnels académie de caen v2.pdf

Indemnités REP et REP+ : note de service rentrée 2015

Le lien ci-dessous vous donne accès à la dernière note de service ministérielle en vigueur concernant la prime REP/REP+ (septembre 2015).

Le SNUDI FO 50 vous recommande de vérifier la manière dont les services gestionnaires ont compté le versement de ladite indemnité : en ce qui concerne les remplaçants notamment, l'indemnité correspondant à un remplacement d'une journée doit être calculée en divisant l'indemnité mensuelle par le nombre de jours ouvrés et pas par 31, contactez-nous en cas de doute.

note de service indemnité REP 2015.pdf

13 novembre 2015

Permutations informatisées (rentrée 2016)

La note de service ministérielle n°2015-185 du 10/11/2015 est consultable à l'adresse : http://www.education.gouv.fr/pid285/bulletin_officiel.htm...

 

 

Calendrier de gestion de la phase interdépartementale (informatisée)

Date

Action

Jeudi 12 novembre 2015

Publication de la note de service au B.O.E.N.

Lundi 16 novembre 2015

Ouverture de la plateforme « Info mobilité »

Jeudi 19 novembre 2015 à 12 heures (heure métropole)

Ouverture des inscriptions dans l'application Siam dans les départements

Mardi 8 décembre 2015 à 12 heures (heure métropole)

Clôture des inscriptions dans l'application Siam et fermeture de la plateforme « Info mobilité »

A partir du mercredi 9 décembre 2015

Dans les services départementaux :

Envoi des confirmations de demande de changement de département dans la boîte électronique I-Prof du candidat

Vendredi 18 décembre 2015 au plus tard

Retour des confirmations de demande de changement de département et des pièces justificatives dans les directions des services départementaux de l'éducation nationale

Jusqu'au lundi 1er février 2016

Date limite de réception par les services des demandes tardives pour rapprochement de conjoints ou des demandes de modifications de la situation familiale

Lundi 1er février 2016 au plus tard

. Contrôles et mises à jour des listes départementales de candidatures

. Vérification des vœux et barèmes

. Examen des demandes de bonification exceptionnelle au titre du handicap

Entre le mardi 2 février 2016 et le vendredi 5 février 2016

Ouverture de l'application Siam aux enseignants pour la consultation des barèmes validés par l'IA-Dasen

Jeudi 11 février 2016

Transfert des fichiers départementaux au service informatique de l'administration centrale

À partir du vendredi 12 février 2016

Au ministère de l'éducation nationale (DGRH B2-1) :

. Contrôle des données par les services centraux

. Traitement des demandes de mutations

Lundi 7 mars 2016

. Diffusion individuelle des résultats aux candidats à la mutation

Pour toute information, contacter le SNUDI FO 50 : snudifo50@gmail.com

Liste d'aptitude direction d'école 2016-2017

Les enseignants qui souhaitent s'inscrire sur la liste d'aptitude aux fonctions de directeur d'école de la Manche doivent retourner le formulaire auprès de leur IEN avant le 7 décembre 2015.

Téléchargement de la circulaire liste d'aptitude direction 2016

Téléchargement du formulaire d'inscription liste d'aptitude direction 2016

12 novembre 2015

La ministre prévoit d’aggraver les obligations de service des enseignants du 1er degré

Le ministère a adressé aux organisations syndicales représentatives un projet de décret modifiant celui en vigueur actuellement (le décret 2008-775 du 30 juillet 2008). Des tâches supplémentaires définies localement, l’annualisation renforcée des horaires, l’adaptation à l’Ecole du Socle, au PEdT et aux nouveaux cycles caractérisent ce projet.

Les modifications prévues

Le titre du décret est d’abord modifié pour y intégrer « les missions » en plus des obligations réglementaires de service.
L’article 2 place les obligations de service « sur l’ensemble de l’année scolaire ».
L’article 3 sur les 108 heures annualisées est profondément modifié.
Le temps consacré à l’APC et aux 24 heures de concertation servent de cadre à une autonomie renforcée définie par le « projet d’école » et rendent la liaison « entre les cycles » et « entre l’école et le collège » obligatoires.
Les 18 heures de formation sont désormais consacrées au « suivi » de la formation.
Un « arrêté du ministre » prévoit d’« adapter » les 60 heures consacrées à l’APC et aux travaux en équipe pour les personnels de CLIS, de RASED, d’IME et d’IMP.
Le service des enseignants en milieu pénitentiaire, peut être étendu à 40 semaines par an au lieu de 36.

Le SNUDI-FO condamne d’emblée toutes ces régressions

Si elles entraient en vigueur, toutes ces nouvelles dispositions engendreraient une nouvelle dégradation des conditions de travail des enseignants.

Elles accroîtraient l’autonomie des écoles dans le cadre des projets d’école et des PEdT, contraignant encore plus les enseignants à gérer toutes les difficultés des élèves tandis que les pouvoirs publics pourraient continuer de s’exonérer de créer les postes nécessaires pour garantir aux personnels des conditions de travail acceptables.

Le SNUDI-FO constate qu’après l’annualisation des Obligations de Service des remplaçants et la remise en cause des obligations de service enseignants des collèges et lycées, le ministère s’attaque à celles des personnels du 1er degré.

En effet, le décret Hamon 2014-940 du 20 août 2014 situe désormais les obligations de service des professeurs du 2nd degré « dans le cadre de la réglementation applicable à l’ensemble des fonctionnaires en matière de temps de travail », c’est-à-dire à 1607 h. annuelles.
Même si les modifications apportées dans le 1er degré n’expriment pas aussi nettement la remise en cause du statut particulier des personnels, l’autonomie et l’annualisation grandissante offrent le cadre à une même déréglementation.

Pour toutes ces raisons, le SNUDI-FO combattra ces nouvelles dispositions prévues par le ministère et mettra tout en œuvre pour qu’elles soient complètement abandonnées.
De premières discussions vont avoir lieu début novembre avec le ministère, c’est ce mandat que défendra le SNUDI-FO.

Le SNUDI-FO revendique :

  • Le maintien du statut particulier pour tous les enseignants du 1er degré ;
  • des obligations réglementaires de service définies en heures hebdomadaires d’enseignement, les mêmes pour tous.

Modification du décret statutaire de 2008 des PE : la ministre veut franchir un cap pour adapter le statut à la « refondation » de l’école !

Le 5 novembre 2015, le ministère a organisé un premier groupe de travail sur un projet de décret aggravant le décret du 30 juillet 2008 relatif aux obligations de service des PE. D’entrée, le ministère a annoncé aux organisations syndicales que ces nouvelles dispositions s’appliqueraient à la rentrée 2016.

Sous prétexte d’ « adaptation » des 108h et de « reconnaissance » de nouvelles missions liées aux mesures de « refondation », à l’Ecole du Socle, aux PEdT et aux nouveaux cycles, le projet de modification du décret de 2008 ajoute aux obligations de service une référence aux « missions », ce qui n’existait pas jusqu’à présent.

De quelles missions serait-il question ?

Des tâches diverses et variées qui seront définies par des arrêtés d’application « dans le cadre de PPCR » et « pour adapter les 108 heures aux différentes situations » découlant des PEDT.
Le SNUDI-FO n’acceptera pas une possible « forfaitisation » [1] de tout ou partie des 108 heures annualisées.
En devenant « forfaitaires », ces heures seraient adaptables, modulables en fonction des projets d’école, des PEDT, des situations territoriales et des choix des collectivités.

Le SNUDI-FO demande le respect des 36 semaines de classe…

L’article 2 du projet prévoit de répartir les obligations de service des PE « sur l’ensemble de l’année scolaire » qui ne serait plus bornée, par les 36 semaines actuelles. Conjointement au ministère, le SE-Unsa a souligné qu’il s’agit d’inscrire dans la réglementation ce que permet déjà, à titre dérogatoire, la réforme des rythmes scolaires : une année scolaire pouvant aller jusqu’à 38 semaines. Il s’agit donc d’allonger l’année scolaire et réduire les congés d’été.
D’autre part, le représentant du ministère a évoqué un « alignement sur des formulations » du décret du 20 août 2014 qui, dans le second degré, ajoute aux heures d’enseignement hebdomadaire des « missions liées » obligatoires et non rémunérées dans le cadre de 1607 heures annualisées.
Le SNUipp-FSU a demandé que ces missions soient précisées « comme dans le décret du 20 août 2014 ».
Dans ce processus, selon l’article 4 du projet, les enseignants en milieu pénitentiaire se verraient immédiatement imposer 216 heures annualisées, alors qu’ils n’en ont aucune actuellement.

…et refuse l’aggravation de la liaison école /collège

Le projet prévoit également d’inscrire dans le décret de 2008 la liaison école/collège, dans le cadre du cycle CM/6ème et de la réforme du collège pour la rendre incontournable. Les enseignants n’en veulent pas. Ils ont fait grève, manifesté à 20 000 le 10 octobre à l’appel de 14 organisations syndicales.

Le SNUDI-FO s’opposera à toute remise en cause des droits statutaires des PE

Après la remise en cause des obligations de service des enseignants des collèges et lycées, le ministère s’attaque à celles des personnels du 1er degré.
La ministre veut aligner les PE sur le décret du 20 août 2014 qui situe désormais les obligations de service des professeurs du 2nd degré « dans le cadre de la réglementation applicable à l’ensemble des fonctionnaires en matière de temps de travail », c’est-à-dire à 1607 h annuelles.

La ministre doit abandonner son projet

  • Respect des 36 semaines de classes – Pas touche à nos congés !
  • Non à l’autonomie des écoles renforcée dans le cadre des projets d’école et des PEDT ;
  • Abandon des 108 heures annualisées.
Statut des PE, réforme du collège, code du travail,
une même logique
la destruction de nos droits collectifs

02 novembre 2015

AESH/AVS : Rassemblement et demande d'audience

Dans la Manche, le rassemblement prévu le mercredi 4 novembre à 14h30 à Saint-Lô devant la DSDEN50 sera suivi d'une audience auprès de M. Lhuissier, Inspecteur d'Académie. Un préavis de grève national couvre les personnels enseignants ou AESH la journée entière.

 

A l'attention de M. l'Inspecteur d'Académie de la Manche,

Dans le cadre de la journée nationale pour les AESH/AVS, nous souhaiterions vous rencontrer sur les problématiques habituelles de ces personnels précaires, pourtant si essentiels au bon fonctionnement quotidien de l'Ecole.

En effet, ceux-ci ont de réelles problématiques concernant leur place dans le système éducatif :

  • L'annualisation des contrats AESH ;
  • Le renouvellement des contrats AESH ;
  • Des salaires scandaleusement bas : entre 590 et 940 euros pour les temps partiels ;
  • Les années prises en compte pour la CDIsation ;
  • La formation diplômante annoncée.
Enfin, l'intersyndicale pose deux axes pour résorber cette précarité et permettre aux collègues AESH d'exercer sereinement leur travail :
  • Dans l'urgence, l’embauche des personnels en CDI AESH ;
  • L'ouverture de négociations pour la titularisation de tous par la création d'un corps de la Fonction Publique.

Une délégation constituée par des personnels et des représentants de l'intersyndicale CGT, FO, FSU et SUD éducation sera disponible le mercredi 4 novembre à 15h00 pour vous exposer les revendications des personnels.

Dans l'attente de votre réponse, veuillez agréer, M. l'Inspecteur d'Académie, notre attachement au service public de l'Education nationale.

L'intersyndicale

 

Co-voiturage au départ de Cherbourg  : parking Sernam (à côté de la gare SNCF) à 13h30.

Pour contacter le SNUDI FO 50 (enseignement primaire) :
Tel : 07 82 97 25 81
Mail : snudifo50@gmail.com

Pour contacter le SNFOLC 50 (enseignement secondaire) :
Tel : 06 63 04 69 70
Mail : snfolc50@gmail.com

16 octobre 2015

Comité technique au Ministère le 7 octobre

Lisez le compte rendu du CTM par les représentants FO : FO - CTM du 7 octobre 2015.pdf

Documents CTSD 15/10/15

Pour ce CTSD de "bilan de rentrée dans la Manche" du 10 octobre 2015,

la FNEC FP FO de la Manche a fait la déclaration suivante :

CTSD50 15 oct. Déclaration FNEC définitive.pdf

 

L'administration avait envoyé les documents officiels suivants :

PREMIER DEGRE

Document n°1 effectifs dans les écoles publiques.pdf

Document n°2 Evolution des effectifs par bassin...

Document n°3 zonages en aires urbaines (donnees INSEE...

Document n°4 Liste des mesures par actions.pdf

Document n°5 Constat des effectifs dans les écoles...

document n°6 Les effectifs en ULIS.pdf

 

SECOND DEGRE

document n°7 évolution des effectifs collèges.pdf

document n°8 effectifs par bassins.pdf

document n°9 effectifs SEGPA et ULIS.pdf

document n°10 DHG septembre 2015.pdf

document n°11 synthèse budget collèges.pdf

document n°11 bis IMP.pdf

document n°12 AED AESH.pdf

document n°13 recencement des PPI.pdf

 

 

Conférence sur l' "Inclusion" : une mise au point nécessaire ?

Le "flash" de formation voulu par l'IA-Dasen au sujet de l'inclusion s'est déroulé pour plusieurs circonscriptions. 

Des centaines de collègues ont plus ou moins sagement assisté (de 17h à 19h15) à un exposé sur l'histoire et les chiffres de l'ASH, et à une projection sur la différenciation dans l'école inclusive.

Un premier élément qui ressort de ce moment d'acculturation, c'est que l'administration va demander aux enseignants d' "inclure" de plus en plus d'élèves en situation de handicap, y compris des handicaps lourds, a priori sur des journées entières, pourquoi pas à plein temps...

Aux exigences extrêmes de l'inclusion s'ajoutent bien sûr nos 20 ou 30 élèves habituels, avec ou sans handicap... Préparons-nous à réaliser l'impossible, la "casserole" est proche de déborder !

L'administration exprime l'idée qu'il y a trop d'AVS/AESH dans la Manche, que c'est un point négatif du département, pour les élèves inclus eux-mêmes bien sûr...

L'IEN explique aussi que la précarité des AVS/AESH, leur turn-over contraint est plutôt positif pour les élèves (!).

Pour FO : gardons-nous de faire un amalgame entre nécessité pédagogique d'amener les élèves à être autonomes d'une part, et statut précaire des AESH d'autre part ; il n'y a pas de lien entre les deux : on peut condamner que les affectations soient faites en dépit des besoins de l'élève tout en défendant la fin de la précarité des AESH...

Enfin, on a rappelé qu'il existe des aides pour la mise en oeuvre de l'inclusion : quelques ouvrages et les compétences des enseignants spécialisés des ITEP que nous pouvons solliciter par exemple par le biais des conseillers pédagogiques.

  • Pour FO, il est nécessaire de souligner que jusqu'à preuve du contraire, les enseignants d'ITEP ne sont pas des formateurs !
  • Pour FO, prendre en charge et enseigner à des élèves autistes ou à TED (troubles envahissants du développement) n'est pas un métier en soi mais nécessite de très solides compétences, qui ne s'acquièrent qu'avec un dispositif de formation très conséquent. Il ne suffit pas de décréter que les enseignants spécialisés sont des personnes-ressources pour régler cette question de la formation. Finalement, ce sont tous les PE qui devraient être formés à ce degré poussé de compétence en différenciation, étayage, capacité à innover en didactique...
  • Pour FO, il faut faire la promotion des structures existantes et lutter contre les engorgements à la source, en rétablissant des budgets légitimes pour l'avenir de l'école : ULIS-écoles, IME, SEGPA, ITEP, etc.
  • Pour FO, il faut soutenir les moments d'inclusion les plus fréquents possibles, reconnaître le professionnalisme des enseignants, laisser la liberté aux équipes de mettre en place les projets d'enseignement qui maximisent l'inclusion, mais en aucun cas il ne faut imposer l'inclusion massivement aux écoles !
  • Pour FO, il temps de revenir à une formation basée sur le partage de l'expérience et qui ne soit pas qu'un moment de transmission répondant aux besoins de l'institution.
  • Pour FO, il est urgent d'associer largement les personnels ASH avant tout, en proposant fréquemment des temps de concertation ASH par circonscription, sous forme de conférences pédagogiques spéciales ASH par exemple...

 

  • Pour FO, il est grand temps de poser les bases d'un statut de fonctionnaires pour les AVS/AESH, à l'instar des AVS "fonctionnaires territoriaux" de Cherbourg-Octeville, qui existent depuis plus de 15 ans ! Avec Sud, la Cgt et la Faen, FORCE OUVRIERE lance un appel intersyndical à un rassemblement en ce sens le 4 novembre téléchargeable ci-dessous.

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12 octobre 2015

Réforme du collège : intervention à l'issue de la manifestation du 10 oct.

http://www.fo-snfolc.fr/Intervention-de-Jacques-Paris

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Le conseil supérieur rejette le projet de programmes de la Ministre

Les projets de nouveaux programmes (pour les cycles 2, 3 et 4) ont été examinés lors du Conseil supérieur de l’éducation, les 7 et 8 octobre.

 

Résultats des votes sur les projets de nouveaux programmes
18 Pour (dont CFDT, UNSA, PEEP)
21 Contre (dont FO, SNES-FSU, SNEP-FSU, CGT, SNALC)
12 abstentions (dont SNUIPP-FSU, FCPE)

 

Les bases de « discussion » ont été annoncées dès l’ouverture du CSE par le directeur de cabinet de la ministre : les programmes s’inscrivent dans le cadre de la loi Peillon de refondation de l’école et du Socle commun de connaissances et compétences. Dès lors que ce cadre était intangible pour le ministère, FO a refusé de s’inscrire dans une logique d’amendements ou de co-écriture du contenu des programmes.

 

Tout en défendant la position de rejet des textes, FO, avec les autres organisations syndicales (hormis CFDT et UNSA) a refusé la mise en place de l’intégralité des programmes dès la rentrée 2016. Or pour le ministère, échelonner dans le temps la mise en œuvre des programmes se traduirait par « la mise en péril des cycles » et mettrait à mal la « cohérence » avec la loi de refondation et le socle commun. Le ministère réunit le CSE pendant deux jours pour discuter des programmes mais, en réalité, il n’y aurait rien à discuter puisque toutes les règles sont fixées à l’avance !
La ministre de l’Education nationale applique les mêmes méthodes que le Premier ministre vis-à-vis des fonctionnaires : quand un accord ou un texte sont rejetés par les organisations syndicales, ils s’appliquent quand même ! C’est le fait du prince, c’est leur conception de la démocratie. C’est la fonction de leur « dialogue social » !
Mais c’est aussi un signe d’inquiétude : la mobilisation unie des personnels peut faire plier la ministre et le gouvernement !

 

Effectivement tout est lié : loi de refondation, rythmes scolaires, réforme du collège, socle commun, nouveaux programmes, décret Hamon… ce sont les pièces d’une même machine de destruction du cadre national de l’enseignement, des statuts nationaux.

 

C’est un fait, ce sont les compétences qui dominent dans ces projets de programmes. Les « compétences travaillées » y sont directement associées aux « domaines du socle ». La mise en œuvre du socle commun implique une évaluation par compétences, une pédagogie par projet, une suppression du redoublement, une orientation laissée aux familles, une progression des programmes par cycle décidée localement… Programme, progression, évaluation des élèves : tout serait décliné localement en parfait accord avec le processus de territorialisation de l’école engagé avec la loi de Refondation dans le cadre de la réforme territoriale.

 

Pour mettre en œuvre tout ce programme, il faudra multiplier les réunions de concertation et d’harmonisation, accroître considérablement le temps de présence des enseignants dans les établissements scolaires – ce que permet le décret Hamon du 20 août 2014 modifiant les obligations règlementaires de service des enseignants du second degré.

 

La mise en place d’un cycle 3, à cheval entre les premier et second degrés (CM/6ème) pose clairement le problème des échanges de services possibles entre PE et enseignants du second degré, de la multiplication des réunions de concertation dans un même bassin pour s’accorder en commun sur les progressions tout au long du cycle. Pour la FNEC FP FO, il est clair que la réforme du collège, et les programmes scolaires qui en découlent, préparent une dégradation significative des conditions de travail des PE et enseignants du 2nd degré, une remise en cause de leur liberté pédagogique.

 

Les intentions du ministère vis-à-vis de ces nouveaux programmes sont aussi éclairées par ses projets concernant les nouvelles modalités d’évaluation des élèves, notamment le DNB. 500 points sur 700 seraient consacrés à l’évaluation des huit domaines de compétences du socle et des Enseignements pratiques interdisciplinaires (EPI) et seulement 200 points à l’évaluation de l’enseignement disciplinaire. Le socle commun apparaît encore une fois, clairement, comme un instrument de casse des disciplines et de territorialisation de l’Education nationale. Le ministère estime s’être appuyé sur la consultation des enseignants pour « améliorer » les programmes ? Mais cette consultation a nettement fait apparaître leur attachement aux connaissances et à l’enseignement disciplinaires !

 

Les programmes sont la déclinaison logique de la réforme du collège que les enseignants rejettent massivement.
Omniprésence des EPI dans les volets consacrés aux « croisements entre enseignements », programmes disciplinaires infaisables du fait de la ponction de 20% dans les horaires disciplinaires au profit des EPI et de l’insuffisance des horaires disciplinaires. L’organisation des programmes par cycles (cycles 2, 3 et 4) remet en cause le cadre annuel des enseignements. C’est pourquoi FO a voté pour la suppression de toute mention à la réforme du collège (Pour - FO, SNES, SNEP, CGT, SNALC, Solidaires ; Contre – UNSA, CFDT, FCPE, PEEP ; NPPV – Snuipp-FSU) dans les nouveaux programmes.

07 octobre 2015

Réforme territoriale : où en est-on pour les académies de Caen et Rouen ?

Le Ministère s'est engagé à n'effectuer aucune fusion d'académies. FO a fortement pesé pour qu'aucune académie ne disparaisse mais l'annonce faite par le Ministère n'est pas satisfaisante. En effet, la nomination dans chaque région d'un recteur de région académique, secondé par un comité régional académique regroupant les recteurs de chaque académie, est un pas vers un service régional de l'éducation.

FO alerte les collègues sur cette remise en cause des structures administratives de l'Education nationale à l'image de l'ARS qui détruit le service public de l'hôpital.

Dans tous les cas, ce sont les missions, les postes, les obligations horaires et les statuts qui sont mis en cause.

FO redoute par exemple des changements au niveau du maillage des établissements proches de la frontière des deux académies.

Concernant la fusion des deux régions, nous vous proposons de consulter le communiqué de presse de la Fédération FO des fonctionnaires et la lettre adressée au Préfet préfigurateur à cette page de notre site.

Fusion des régions Haute et Basse-Normandie

Communiqué de la Fédération générale des Fonctionnaires FO

Communiqué de la Fédération Générale des Fonctionnaires Force ouvrière (FGF FO)

Fusion des régions Basse Normandie et Haute Normandie

Le 30 septembre 2015

En conséquence de la fusion des régions Haute et Basse Normandie, les services publics de l’Etat sont appelés à réorganiser leurs directions régionales installées à Caen et Rouen.

Depuis le mois de mai dernier, Monsieur Maccioni, actuel Préfet de la région Haute Normandie, en charge de piloter cette réforme territoriale de l’Etat pour les deux Normandie, a invité les organisations syndicales de fonctionnaires à trois réunions de dialogue social.

A l’issue de la 3ème réunion du 25 septembre, il est clair pour la FGF FO que le dialogue social n’est en fait qu’un simulacre tant le calendrier de mise en œuvre de cette réforme est contraint. Force Ouvrière l’a constaté partout, ces réunions ne sont que des présentations rapides de choix déjà arrêtés, et ne permettent pas d’avoir de réponses sur des questions pourtant fondamentales pour les agents concernés.

La réorganisation des services dans les préfectures, DREAL, Douanes, ARS etc... signifie des fermetures de services et des mobilités forcées, avec des conséquences lourdes sur la vie de famille des agents (notamment en cas de déménagement, avec démission nécessaire de son travail du conjoint et rescolarisation des enfants).

Il n’a pourtant pas été répondu à la demande de Force Ouvrière de connaître (même sous forme d’estimation) le nombre d’agents qui seraient concernés par une mobilité géographique, et/ou une mobilité fonctionnelle.

D’après nos informations, le traitement des passeports, des permis de conduire et cartes d’identités disparaîtrait des préfectures pour être remplacé par des plateformes de traitement. FO a demandé les conséquences dans les préfectures en termes de suppressions de postes. Là encore aucune réponse n’a été apportée. Pour les usagers c’est la remise en cause de l’accueil physique, qui serait remplacé par des démarches dématérialisées via internet ou central téléphonique.

Selon le calendrier imposé par le gouvernement, toutes les réorganisations devraient être finalisées et opérationnelles au 31 janvier 2016. A ce jour, aucun organigramme des nouveaux services n’a été présenté aux organisations syndicales et représentants des personnels. A ce jour aucun fonctionnaire potentiellement concerné ne peut dire quel sera son poste de travail au 1er janvier prochain, dans quel service, dans quelle ville ! L’angoisse est immense pour les agents !

Tout se fait dans la précipitation et l’improvisation. Le transfert du siège de la direction interrégionale des Douanes de Rouen au Havre a été annoncé le 31 juillet par le conseil des ministres. Ce transfert n’était absolument pas anticipé dans les services des Douanes de la région, qui l’ont découvert par la presse. Ce point ne figurait même pas à l’ordre du jour du CHSCT de service prévu début octobre !

Force Ouvrière n’accepte pas qu’on joue ainsi avec l’avenir, les conditions de travail, la vie de famille des agents de la fonction publique. Dans toutes les directions régionales des services de l’Etat, ceux-ci sont dans l’incertitude de ce qu’ils feront dans 3 mois.

 

Au-delà de l’impact sur les fonctionnaires et agents publics, Force Ouvrière réaffirme son opposition à la réforme territoriale (fusion des Régions). Cette réforme constitue une attaque sans précédent contre l’État républicain et va accroître les inégalités territoriales, par une désertification des services publics tant pour les citoyens que pour les entreprise, tous les usagers du service public. 

 

Pour compléter, voici la lettre envoyée au Préfet préfigurateur :

PPCR : coup de force pour une tromperie !

La ministre de la Fonction publique, Mme Lebranchu, avait annoncé que le Protocole sur les Parcours professionnels, Carrières et Rémunérations des agents de la Fonction publique (PPCR) s’appliquerait s’il était signé par des organisations syndicales totalisant ensemble plus de 50 % des voix aux élections professionnelles. FO puis la CGT et Solidaires ont refusé ce protocole* qui n’a donc pas recueilli la majorité voulue par le gouvernement pour légitimer des régressions et la poursuite du blocage du point d’indice. Aussitôt, le Premier ministre a désavoué la Ministre, et décidé d’appliquer unilatéralement les dispositions du protocole au lieu de poursuivre les négociations comme le demandait FO. Les fonctionnaires paient un lourd tribu à la politique d’austérité menée par le Gouvernement. Depuis 2012, le gel du point d’indice (instauré en 2010) représente, dixit Mme Lebranchu, un manque à gagner de 7 milliards d’euros pour les fonctionnaires ! Depuis 2010, un agent de catégorie A (Prof des écoles) perd ainsi 2 900 € par an en moyenne ! Le gel du point d’indice, l’insuffisance des mesures proposées et la remise en cause du statut (dans la droite ligne des propos du Ministre E. Macron) sont les raisons de la décision de FO de ne pas signer ce protocole et de persister donc à revendiquer l’augmentation du point d’indice et le rattrapage du pouvoir d’achat.

Nous établirons dans un prochain dossier la duplicité de ce protocole qui est une véritable arnaque.

_____________________________________________________________

* Signataires du protocole et leur représentativité dans la Fonction publique : CFDT (19,3 %) ,UNSA (10,4 %), FSU (7,9 %), CFTC (3,3 %), CGC (2,9%), FA-FPT (2,9 %)

 

En complément, nous vous proposons le communiqué du Spaseen-FO sur cet accord PPCR :

2015_octobre_5_PPCR un mauvais protocole.pdf

 

 

02 juillet 2015

Circulaire Segpa : dernier GT

Le ministère a réuni le dernier GT (groupe de travail)

pour finaliser la circulaire sur les Segpa

 

La FNEC-FP-FO était représentée par ID-FO, le SNETAA-FO et le SNUDI-FO.

FO a fait remarquer que si la nouvelle circulaire diffère sensiblement des deux précédentes, il n’en reste pas moins que ce nouveau projet ne peut toujours pas nous convenir puisque l’essentiel demeure, à savoir la volonté de transformer la structure Segpa en dispositif inclusif permettant la dilution des missions et des statuts spécifiques des différentes catégories de personnel exerçant dans les collèges.

 

FO a souligné que cette circulaire s’inscrit totalement dans la réforme du collège dont, avec la FSU, la CGT, SUD et le SNALC, elle demande l’abandon.

FO a également souligné que, malgré les affirmations du maintien de la structure Segpa, notamment de la classe de 6ème les faits et les chiffres prouvent tout le contraire.

Ainsi dans certaines académies la fermeture massive de 6ème de Segpa est déjà programmée. Si on ferme des 6ème de Segpa, il est clair que c’est toute la structure qui est menacée.

Par ailleurs, le nombre de départs en stage CAPA-SH option F est en constante diminution. Ainsi en 2007-2008, il y avait 390 départs, en 2014-2015, le nombre était de 162 et pour la prochaine rentrée, le MEN prévoit 149 départs !

Quant aux formations au DDEEAS, on est passé de 116 départs en  2007-2008 à 34 départs pour la rentrée 2015 !

On comprend mieux pourquoi il faut favoriser « une meilleure inclusion des élèves » qui permet au ministère de restreindre de manière significative l’enveloppe budgétaire consacrée aux élèves les plus fragiles du système scolaire au risque d’aggraver la précarité de ces jeunes et de leur famille.

 

Un dispositif inclusif pour aller vers
l’éclatement des classes de collège

Ainsi la circulaire propose un fonctionnement où les élèves de Segpa seraient « accompagnés dans leurs apprentissages par les PES, soit dans leur groupe au sein de la Segpa, soit dans les temps d’enseignement dans une autre classe du collège appelée classe de référence, soit dans les groupes de besoin ».

La circulaire prône la co-intervention « qui permet au professeur de la discipline de travailler une compétence (et non plus une connaissance) et à l’enseignant spécialisé d’apporter un étayage particulier sur cette même compétence aux élèves qui éprouvent des difficultés dont ceux qui relèvent de la Segpa… »

Le chef d’établissement devra être « attentif au fonctionnement inclusif de la Segpa lorsqu’il constitue les emplois du temps des élèves, favorisant notamment l’organisation des enseignements en barrette, la répartition des élèves en divisions hétérogènes et la participation des élèves du collège bénéficiant de la Segpa à l’accompagnement personnalisé et aux enseignements pratiques interdisciplinaires dans leur classe de référence ».

Ce que propose cette circulaire, c’est l’éclatement pur et simple des classes de collège (classes de référence des élèves de Segpa) qui devront accueillir un public d’élèves de plus en plus hétérogènes et de plus en plus difficiles à gérer. 

Comment peut-on croire un seul instant que les élèves de Segpa trouveront une réponse adaptée à leurs difficultés scolaires dans des classes de collège de plus en plus surchargées ?

Comment peut-on croire un seul instant que les PLC, les PLP, les PES pourront assurer leurs missions d’enseignement dans un tel dispositif ?

Pour FO, ce projet ne peut que contribuer à accentuer la cohorte des décrocheurs au sein du collège et à éclater les statuts et les ORS des personnels.

 

Autre sujet de préoccupation pour FO, la question du paiement des heures de coordination et de synthèse.

Le représentant de la Ministre a confirmé la mise en place d’une indemnité forfaitaire annuelle en lieu et place des HSE actuelles qui représentent pour la  plupart des PE, une somme annuelle d’environ 1 800 euros.

FO a réaffirmé son opposition à toute mesure qui aboutirait à une baisse de salaire importante, notamment pour les PESqui sont exclus du paiement de l’ISAE.

Dans un premier temps, le représentant de la ministre, a réfuté les arguments de FO concernant le montant des HSE perçues par les PES, en prétextant que le nombre de collègues qui en bénéficiait était à la marge.

Celui-ci a reconnu, in fine, que la moyenne des HSE se situait autour de 1h30 par semaine. Or, si le ministère persistait à proposer une indemnité forfaitaire de 900 euros par an (comme cela a été proposé dans les fiches du GT5), cela aboutirait à une perte pouvant aller jusqu’à 800 euros par an pour les personnels concernés !

Pour Force Ouvrière, cette circulaire ne prend aucun compte des revendications des personnels.

Lors de ce GT, les représentants FO ont rappelé que s’ils n’avaient pas vocation à co-écrire les circulaires ministérielles, ils avaient le mandat de rappeler leurs revendications :

* reconnaissance et maintien des structures SEGPA

* revalorisation des personnels titulaires du 2 CA-SH et du CAPA-SH et départs en stage à hauteur des besoins

* revalorisation de l’ISS

* rénovation des plateaux techniques sur tout le territoire

* retour à un début de formation professionnelle dès la 3ème de Segpa

* un nombre d’élèves de 16 maximum par division et de 8 par atelier

* le maintien de toutes les 6ème de Segpa

 

Le ministère veut finaliser cette circulaire pour septembre 2015 pour une application à la rentrée 2016 (mise en place de la réforme du collège).

Charrette de licenciements d’enseignants fonctionnaires stagiaires ?

Charrette de licenciements d’enseignants fonctionnaires stagiaires ?

Inadmissible pour FO

 

Jamais autant de stagiaires n’ont été convoqués devant les jurys académiques qui vont statuer sur leur titularisation. Les résultats tombent petit à petit. Ainsi à Versailles, 112 professeurs des écoles stagiaires à mi-temps passent devant le jury académique. Dans le Val d’Oise, 16 sont renouvelés et un licencié. Dans l’Essonne, 30 sont renouvelés et 5 licenciés. A Strasbourg, 4 avis défavorables chez les agrégés (0 les autres années), chez les certifiés, 10 licenciements, 29 renouvellements. A Créteil, il y a tellement de dossiers que les jurys se réunissent pour le premier degré sur 3 jours…

 

A l’évidence, y a un problème : les stagiaires, fonctionnaires de l’Etat, recrutés sur concours, mis
directement dans les classes sur des temps complets ou non ont dû faire face à des conditions de formation déplorables que FO n’a cessé de dénoncer tout au long de l’année.

La formation dans les ESPE dont ils ont dû essuyer les plâtres a été différente d’une ESPE à l’autre, d’une discipline à l’autre, avec des exigences parfois monstrueuses au nom d’un parcours adapté à chacun :
nouveau mémoire, DU, nouveau master, présence obligatoire, allongement à l’infini des tâches diverses et variées demandées.

 

Les stagiaires ont dû faire cours dans des conditions ingérables : affectation en CP malgré les recommandations ministérielles, classes surchargées, classes à examen, etc.

 

Et aujourd’hui, le ministère, via les jurys voudrait se débarrasser d’eux sous les prétextes les plus divers : manque d’assiduité à l’ESPE, non acquisition de la «posture attendue», délivrance de notes chiffrées…

 

Mais que cherche-t-on ? A décourager tous les stagiaires et les futurs candidats aux concours ?

Combien manquera-t-il de professeurs devant élèves à la rentrée ?

Comment comprendre que sur la seule académie de Paris, 10% des agrégés externes aient un avis défavorable à la titularisation, 7% des certifiés, 20% des certifiés de mathématiques…

 

Les ESPE, les recteurs, n’ont pas mis en place avec bienveillance la formation due à un fonctionnaire d’Etat stagiaire.

 

Avec la ministre, ils ont mis en place «une période d’essai» !

 

Va-t-on retrouver les mêmes collègues licenciés recrutés par Pôle Emploi l’an prochain pour devenir contractuels sans droit ni garantie, corvéables à merci ?

 

La FNEC FP-FO exige que ces stagiaires, qui ont assuré leur classe pendant toute l’année au bénéfice des élèves et de l’institution, soient titularisés.

 

La FNEC FP-FO renouvelle son exigence à la Ministre, il y a urgence.

 

CAPD du 1er juillet 2015

Le Dasen a convoqué la CAPD mercredi 1er juillet. Comme pour le premier mouvement, le SNUDI FO revendique que ce second mouvement intervienne plus tôt dans l'année, car les conséquences négatives sur les agents sont là.

Les  "têtes" de postes fractionnés, la plupart des appels d'offre et les quelques affectations provisoires sur postes-classes sont désormais connues et consultables (fichiers ci-dessous).

Les postes réservés qui accueilleront à mi-temps les 86 stagiaires 2015-2016 sont consultables plus bas (toutefois l'affectation des PE n'est pas faite, elle attendra courant juillet).

56 PE n'ont toujours pas de poste. Quelques postes sont d'ores-et-déjà libres mais pas encore pourvus (appels d'offre express). Ces PE auront une affectation à la rentrée, certains n'auront peut-être pas de poste-classe ("surnuméraires", faisant office de brigade pour l'année ?).

Aucune demande d'Ineat à destination de la Manche n'a été examinée positivement.

L'administration n'a pas d'information à donner sur le renouvellement des AESH (ex-AVS), nous n'avons notamment pas de date précise.

Journée de prérentrée : le SNUDI FO est contre la récupération par notre employeur de la prérentrée puisqu'il est évident qu'elle est déjà  ! D'autant plus que les modalités de travail envisagées par l'administration sont très floues : les équipes qui le souhaitent peuvent effectuer ce travail supplémentaire sous forme d'une journée de prérentrée supplémentaire le 28 août, mais l'administration va peut-être nous mobiliser 1 ou 2 demi-journées pour concertation dans le courant de l'année... : les équipes en question se verraient alors dispensées des concertations ?

Le SNUDI FO rappelle que la question des rythmes scolaires, pas abordée en CAPD, conditionne désormais énormément le quotidien des PE : changements d'horaires, relations avec les collectivités territoriales, contraintes sur les projets scolaires nées d'une tendance à la primauté des TAP...

 

sans_poste_à_l_issue_de_la_phase_manuelle.pdf

postes reserves stagiaires 2015.pdf

nouvelles affectations.pdf

postes_de_l_appel_d_offres_complementaire.pdf

complements appel d_offre Ash Matice.pdf

30 juin 2015

Réponse de la Ministre au CHSCT-M : « le recours à ce dispositif (M@gistère) ne revêt aucun caractère obligatoire ».

A l'avis émis le 12 juin par le CHSCT, unanime contre la généralisation de la plateforme de formation Magistère, la Ministre a répondu ce 15 juin...

« le recours à ce dispositif  (M@gistère) ne revêt aucun caractère obligatoire ».

 

Force ouvrière à l’initiative de l'abandon de M@gistère

 

A la demande de la FNEC-FP-FO, le CHS-CT Ministériel du 12 mars a été saisi des conséquences de la mise en œuvre du logiciel d’autoformation M@gistère. En effet le décret 82-453 modifié prévoit, dans son article 57, que le CHS-CT soit consulté sur les projets d’introduction de nouvelles technologies.

 

 

 

Sur proposition de la FNEC-FP-FO, un avis a été adopté à l’unanimité par FO, FSU et UNSA  lors de ce CHS-CT Ministériel qui se conclut par la préconisation suivante : «  le CHS-CT ministériel demande que celle-ci (la formation M@gistère) n’ait lieu que sur la base du volontariat et qu’aucune sanction ne soit engagée à l’encontre des collègues qui ne veulent pas entrer dans le dispositif et qu’une véritable formation soit mise en place ».

 

 

 

Les conséquences de l’utilisation de ce logiciel sur la santé des personnels

 

et leurs conditions de travail sont incontestables :

 

Formation continue au rabais qui ne correspond pas aux attentes et aux besoins des collègues.

 

Convocations de réunions entraînant un allongement de la journée de travail.

 

Heures de travail informel non comptabilisé.

 

Mise en place d’un dispositif d’auto évaluation, processus de culpabilisation individuelle qui peut fragiliser certains enseignants.

 

Absence de confidentialité lors des connexions internet (réseau social imposé).

 

Non respect de la législation du travail sur le télétravail.

 

 

 

Le SNUDI-FO qui demande la suspension immédiate de la mise en place de M@gistère s’est adressé, avec la FNEC-FP FO, à la ministre pour qu’elle applique l’avis du CHST-CT ministériel.

 

 

 

La ministre confirme que Ma@istère ne revêt aucun caractère obligatoire !

 

La réponse ministérielle en date du 16 juin vient de nous être transmise : « le recours à ce dispositif technique ne revêt aucun caractère obligatoire ».

 

 

 

M@gistère n’est donc pas obligatoire, ce qui répond à l’attente de nos collègues et correspond aux dizaines de vœux et/ou prises de position déposés par FO dans les CAPD ou CHS-CT départementaux.

 

 

 

 

 

Montreuil, le 23 juin 2015

 

11 juin 2015

Une grande majorité est opposée à la réforme du collège

La réponse du ministère :  « Les fondamentaux de la réforme ne seront pas remis en cause »

C'est bien l'abrogation qu'il faut !

(communiqué du SNFOLC)

Le 10 juin, le ministère convoquait un groupe de travail sur la « suite des textes » de la réforme. Le SNFOLC, le SNETAA-FO, le SNES, le SNEP, la CGT et SUD dans une déclaration commune ont rappelé « leur opposition à la réforme, leur demande d'abrogation des textes (décret et arrêté) et leur refus de toute négociation sur des textes d'application. Pour elles les discussions doivent impérativement déboucher sur l'écriture de nouveaux textes réglementaires (décret ou arrêté) intégrant les demandes des personnels. » La réponse du ministère : « la réunion est consacrée à la suite des textes, pas à la reprise des textes ». « Il n'est pas question que l'arrêté soit repris ».

Le texte de « discussion » proposé par le ministère le 10 juin est inacceptable : il confirme l'intégralité du décret et de l'arrêté publiés le 20 mai, au lendemain de la grève majoritaire au mépris des personnels.

O Il confirme l'autonomie des établissements

Le CA (dont il rappelle qu'il comprend les représentants des personnels mais aussi des collectivités territoriales et des usages -élèves et parents-) « arrête l'organisation des enseignements » découlant des grilles horaires (article 1 de l'arrêté et annexe), « des enseignements communs » (disciplinaires NDR), « des enseignements complémentaires » (AP et EPI, art.3 et 5) ainsi que l'utilisation de la dotation horaire supplémentaire de 2h45 (dédoublements, interventions croisées, langues anciennes, etc.) (art.5).

« L’établissement peut moduler de manière pondérée la répartition du volume horaire hebdomadaire par discipline (…) pour la durée du cycle » (art.10). « La forme courante d’organisation en classes peut être remplacée temporairement par d’autres formes de regroupement », l'EIST pourra être étendu en 5ème.

O Il confirme la suppression des classes bilangues (sauf quand si les élèves ont commencé l'apprentissage d'une langue autre que l'anglais avant la 6ème - art.8).

O Il confirme que les langues anciennes s'inscrivent dans le cadre des EPI (enseignement de langues et cultures de l'antiquité), complétées éventuellement par 1 h en 5ème et 2 h en 4ème -3ème (dépendant de la décision du CA).

O Il confirme donc que les élèves perdront une demi- année d'enseignement disciplinaire sur les 4 années de la scolarité au collège !

Cette réforme découle bien des 155 mesures du pacte de responsabilité. Le texte ministériel du 10 juin fixe pour mission aux enseignants « d'animer des situations d'enseignement ». Il fixe au collège comme seul objectif pour les élèves d'acquérir le socle commun « au meilleur niveau de maîtrise possible ». Quel aveu ! Les enseignants seraient des « animateurs » et il n’y aurait plus de niveau de connaissance à atteindre année par année dans le cadre de programmes nationaux !

Cette réforme, c'est le renoncement à instruire, c'est l'inégalité renforcée.

Pour les enseignants, c'est la réunionite sans fin, au nom du décret Hamon du 20 août 2014 qui abroge les décrets du 25 mai 1950.

C'est la régression sur toute la ligne !

Les parents d'élèves soutiennent largement la mobilisation des enseignants. Le SNUDI-FO, la CGT et SUD dans une déclaration commune considèrent « que la jonction des personnels du 1er et du 2nd degré est non seulement nécessaire mais qu’elle est à l'ordre du jour dans la grève pour l'abrogation du décret sur la réforme du collège mais aussi pour l'abrogation de tous les décrets instaurant la territorialisation dans l'Education nationale (PEdt - Rythmes scolaires...) »

Le SNFOLC entend tout mettre en oeuvre dans l'action commune à tous les niveaux pour obtenir l'abrogation de la réforme. Un préavis de grève national intersyndical couvre tous les jours du mois de juin. L'intersyndicale nationale se réunira dans les plus brefs délais pour décider des suites. Le SNFOLC invite les personnels à se réunir dans les établissements pour en discuter. Aujourd'hui 11 juin, dans le secondaire, nous sommes en grève nationale pour l'abrogation de la réforme à l'appel commun des organisations syndicales SNFOLC, SNETAA-FO, SNES, SNEP, CGT et SUD.

Nous ne lâcherons pas !

(communiqué du SNFOLC)

Une nouvelle entrée dans l’éducation nationale hors statut

Oui, il y aura bien des « apprentis professeurs » !
Pas comme vous le pensez des professeurs stagiaires, lauréats de concours !
Pas du tout.

Suite à la conférence sociale des 7 et 8 juillet 2014 de laquelle FO, CGT, FSU sont partis, le gouvernement a mis en place le dispositif d’apprentissage dans la fonction publique d’Etat et tout particulièrement dans l’Education nationale, le plus gros employeur (2500 apprentis sur 4000 seront dévolus à la fonction publique d’Etat- 6000 en 2016).

Les « apprentis professeurs » seront 320, implantés dans les académies déficitaires: 100 PE à Créteil, le reste dans le second degré en Guyane.


Y a-t-il un lien entre le nombre de postes aux concours non pourvus dans ces départements ?

Poser la question, c’est y répondre : dans le premier degré, sur Créteil, pour 1540 postes offerts,
il n’y a que 1611 admissibles en juin 2015.

Y a-t-il un lien avec la démolition du statut de la fonction publique d’Etat et des concours nationaux, comme cela est envisagé dans la réforme territoriale ?

Pour la FNEC FP-FO, il y a alerte : il s’agit d’une nouvelle entrée dans le « métier » hors statut.

Le gouvernement fait un double tour de passe-passe : au prétexte de « donner une chance »...

  • Il institue des contractuels moins payés que ne le sont les contractuels actuels.
  • Il autorise les recteurs à se séparer à terme des contractuels actuels, car pourquoi payer plus ?
  • Il institutionnalise un recrutement de professeurs au SMIC. Du jamais vu.
  • Il valide le recrutement de contractuels sans grille indiciaire dans les académies déficitaires.
  • Il autorise un recrutement de contractuels sans perspective de titularisation.
  • Il valide une entrée hors statut pour les professeurs et supprime l’obligation de mettre des postes
    aux concours.

Or aujourd’hui une grande partie des disciplines, en raison du traitement et de la formation en ESPE, se trouve en déficit. A ce jour, sur les 340 postes mis aux concours en allemand, il n’y a que 356 admissibles ; en anglais, sur 1225 postes, 1481 admissibles ; en lettres classiques, sur 230 postes ouverts, seuls 114 candidats sont admis...

Pour la FNEC FP-FO, ce que voudrait s’offrir le gouvernement, c’est un mode de recrutement le moins cher possible, hors statut.

Pour la FNEC FP-FO ce dispositif est porteur à terme d’écroulement du statut des professeurs.

 

Imprimer ce communiqué (PDF)

Voir l'autre communiqué de la FNEC sur l'apprentissage dans la fonction publique d'Etat, nouvelle mesure pour fragiliser le statut (3 juin)

(communiqué du 3 juin 2015)

28 mai 2015

Réforme du collège :

FO, dans le cadre d'une large intersyndicale, s'oppose au passage en force de la réforme du collège dans cet appel intersyndical à la grève le 11 juin 2015 :

Les organisations syndicales SNES-FSU, SNEP-FSU, SN-FO-LC, SNETAA-FO, CGT Educ’action, SUD Éducation, SNCL-FAEN et SIES-FAEN constatent l’enfermement du ministère dans son maintien de la réforme du collège et son refus d’entendre les demandes des personnels d’enseignement, d’éducation et d’orientation du second degré.

Confirmant leur analyse commune de la réforme et des conditions de la publication des textes le 20 mai, elles appellent les personnels à amplifier l’action, en particulier le 4 juin, contre les textes publiés au lendemain d’une grève majoritaire dans les collèges, pour leur abrogation et la reprise immédiate des discussions sur l’avenir du collège.

Elles appellent à signer et faire signer massivement la pétition intersyndicale « Un autre collège 2016 ».

Elles appellent à une nouvelle journée nationale de grève et d’actions le jeudi 11 juin.

(cliquer ici pour la version pdf de l'appel intersyndical à la grève du 11 juin 2015)

TELECHARGEMENT : Déclaration intersyndicale du 10 juin FO, FSU, Sud, CGT

 

09 avril 2015

Décisions du CDEN du 9 avril

        

Liste des mesures du CDEN du 9 avril

 

Fermetures (36 classes, 2 écoles) :

Buais (fermeture d'école)

Portbail

Beaumont-Hague maternelle

Brecey

Tonneville (classe provisoire 2014-15 retirée)

Courlis Querqueville

Sourdeval

Montebourg maternelle

Coquelicots Cherbourg-Octeville

R.  Doisneau Cherbroug-Octeville

Réville

Amont-Quentin Cherbourg-Octeville

Domjean

Sideville-Teurthéville-Hague

Pirou

Barneville-Carteret

Sainte-Marie-du-Mont

Auvers-Meautis-Baupte

Saint-Pois

Saint-Pair-sur-Mer

Bacilly-Vains

Hauts-Champs Carentan

F. Mitterrand élémentaire

Tanneries Coutances

J. Ferry Granville

Gouville (classe provisoire 2014-2015 retirée)

Verne-Morinière Coutances

Isigny-le-Buat

Ducey élémentaire

Sainte-Mère-Église

Jacques Prévert Cherbourg-Octeville (4 classes fermées = fermeture d'école)

Lessay

Saint-Amand

 

Fermetures conditionnelles (7) :

Quinéville

Virey

Villedieu maternelle

Calmette-Guérin-Verne Saint-Lô

Jean Macé Équeurdreville
Henri Menut La Glacerie

Agneaux

 

 

Ouvertures (10) :

St-Aubin-des-Pr.-St-Pierre-Langers

Villedieu élémentaire

Vesly

Sartilly

Tournesols Cherbourg-Octeville

Marigny

Fleury-La Bloutière

P. et M. Curie Granville

Saint-Jean-des-Baisants confirmation de l'ouverture de 2014-15

Saint-Sauveur-Lendelin confirmation de l'ouverture de 2014-15

 

Ouvertures conditionnelles (2) :

La Croix-Avranchin-Vergoncey, Aurore Saint-Lô

 

Moyens provisoires (2 écoles) :

Auderville-Jobourg (classe provisoire 2014-15 reconduite pour un an)

Equeurdreville Léon Blum maternelle (demi poste, tous les matins, pour un an)

Digosville : l’école reste à 4 classes, classe provisoire si comptage favorable à la rentrée

 

Autres mesures :

Gorges-Le Plessis Lastelle ne subit pas de fermeture mais n’aura pas de quart d'enseignant supplémentaire (PDMQDC/REP)

 

 

Créations de quarts de postes PDMQDC (Plus de maîtres que de classes) liés à la mise en place des REP ou d’une politique de la ville (6,75 postes) :

 

Ste-Mère-Église (1/2 poste)

Périers maternelle

Picauville (1/2 poste)

Périers élémentaire

Ste-Marie-du-Mont

Claires fontaines Coutances (1/2 poste)

Chef-du-Pont

Calmette-Guérin-Verne Saint-Lô (1/2 poste)

Coulouvray-Boisbenâtre

Palliers Saint-Lô (1/2 poste)

Villedieu-les-Poêles maternelle

Montfarville

Villedieu-les-Poêles élémentaire

Réville

Bourguenolles-Lande d’Airou

St-Vaast-la-Hougue

Fleury-La Bloutière

Quettehou

Chérencé-Le Héron-Ste Cécile

Feugères-Marchésieux-St-Martin d’Aubigny

 

P. Mendès France Avranches (1/2 poste)

 

Postes de remplaçants créés sur le département :

10 TR au lieu de 13 annoncés le 31 mars (2 rattachés au REP+, 4 aux REP, 4 aux zones « politique de la ville »)

 

Fusions d’écoles :

EM et EE de Picauville

EM et EE Jean Jaurès Cherbourg-Octeville

Omonville-Gréville (fusion effective des directions)

Maupassant-Prévert et P. Mendès France Avranches (fusion officielle des directions)

08 avril 2015

2e réunion du CTSD rentrée 2015

Changements décidés lors du CTSD du 8 avril :

 

4 fermetures de classes supplémentaires décidées lors du CTSD du 8 avril :

Sainte-Marie-du-Mont

Gouville classe provisoire 2014-2015 retirée

Jacques Prévert Cherbourg-Octeville (4 classes fermées au lieu de 2 = fermeture d'école)

 

 

2 fermetures conditionnelles décidées lors du CTSD du 8 avril :

Villedieu maternelle

Jean Macé Équeurdreville

 

6 fermetures annulées lors du CTSD du 8 avril :

Cosqueville

Ducey maternelle

Paul Bert Querqueville

Siouville-Hague

Jean Goubert Cherbourg-Octeville

Émile Zola Cherbourg-Octeville (les deux écoles de Cherbourg ne subissent plus de fermeture en raison de la fermeture de 2 classes supplémentaires à Jacques Prévert)

 

 

Liste définitive qui sera présentée jeudi 9 avril au CDEN :

 

Fermetures (38 classes, 2 écoles) :

Buais (fermeture d'école)

Portbail

Jacques Prévert Cherbourg-Octeville (4 classes fermées au lieu de 2 = fermeture d'école)

Brecey

Ducey élémentaire

Beaumont-Hague maternelle

Courlis Querqueville

Ferdinand Buisson maternelle Tourlaville

Montebourg maternelle

Tonneville (classe provisoire 2014-15 retirée)

R.  Doisneau Cherbroug-Octeville

Sourdeval

Amont-Quentin Cherbourg-Octeville

Coquelicots Cherbourg-Octeville

Sideville-Teurthéville-Hague

Réville

Barneville-Carteret

Domjean

Auvers-Meautis-Baupte

Pirou

Saint-Pair-sur-Mer

Sainte-Marie-du-Mont

Hauts-Champs Carentan

Saint-Pois

Tanneries Coutances

Bacilly-Vains

Gouville (classe provisoire 2014-2015 retirée)

F. Mitterrand élémentaire

Isigny-le-Buat

J. Ferry Granville

Sainte-Mère-Église

J. Macé Granville

Lessay

Verne-Morinière Coutances

Saint-Amand

 

Fermetures conditionnelles (6) :

Quinéville

Virey

Villedieu maternelle

Calmette-Guérin-Verne Saint-Lô

Jean Macé Équeurdreville

Agneaux

 

Ouvertures (10) :

St-Aubin-des-Pr.-St-Pierre-Langers

P. et M. Curie Granville

Vesly

Sartilly

Tournesols Cherbourg-Octeville

Villedieu élémentaire

Fleury-La Bloutière

Marigny

Saint-Jean-des-Baisants confirmation de l'ouverture de 2014-15

Saint-Sauveur-Lendelin confirmation de l'ouverture de 2014-15

 

 

 

Ouvertures conditionnelles (2) :

La Croix-Avranchin-Vergoncey, Aurore Saint-Lô

 

Classe provisoire (1) :

Auderville-Jobourg (classe provisoire 2014-15 reconduite pour un an)

 

Autre mesure : Gorges-Le Plessis Lastelle ne subit pas de fermeture mais n’aura pas de quart d'enseignant supplémentaire (PDMQDC/REP)

 

Créations de quarts de postes PDMQDC (Plus de maîtres que de classes) liés à la mise en place des REP ou d’une politique de la ville (6,75 postes) :

 

Ste-Mère-Église (1/2 poste)

Périers maternelle

Picauville (1/2 poste)

Périers élémentaire

Ste-Marie-du-Mont

Claires fontaines Coutances (1/2 poste)

Chef-du-Pont

Calmette-Guérin-Verne Saint-Lô (1/2 poste)

Coulouvray-Boisbenâtre

Palliers Saint-Lô (1/2 poste)

Villedieu-les-Poêles maternelle

Montfarville

Villedieu-les-Poêles élémentaire

Réville

Bourguenolles-Lande d’Airou

St-Vaast-la-Hougue

Fleury-La Bloutière

Quettehou

Chérencé-Le Héron-Ste Cécile

Feugères-Marchésieux-St-Martin d’Aubigny

 

P. Mendès France Avranches (1/2 poste)

 

Postes de remplaçants créés sur le département :

10 postes de brigade au lieu de 13 prévus la semaine dernière (2 rattachés au REP+, 4 aux REP, 4 aux zones « politique de la ville »).

 

Fusions d’écoles :

EM et EE de Picauville

EM et EE Jean Jaurès Cherbourg-Octeville

Omonville-Gréville (fusion effective des directions)

Maupassant-Prévert et P. Mendès France Avranches (fusion officielle des directions)

 

 

02 avril 2015

Projet de réforme des collèges inacceptable : 4 syndicats quittent la séance

 

Communiqué du SNFOLC

Réunion du 31 mars au ministère sur la réforme du collège : FO, SNES, CGT et SNALC quittent la séance

Ce 31 mars, les organisations syndicales étaient invitées à une dernière réunion sur le projet de réforme du collège. Leur étaient présentés les projets de décret et d’arrêté mettant en oeuvre cette réforme qui devraient ensuite être soumis au Conseil Supérieur de l’Education du 10 avril.

Les dispositions annoncées précédemment sont maintenues : notamment l’autonomie des établissements sur 20% des horaires et l’amputation des horaires disciplinaires au profit d’enseignements dits pratiques interdisciplinaires au contenu défini localement.

Le projet de décret ajoute une disposition supplémentaire : les horaires de chaque discipline pourraient être modulés sur l’ensemble du cycle. Autrement dit, il n’y aurait plus d’horaire fixe par niveau de classe, mais un volume horaire global par matière sur 3 ans (5e, 4e et 3e).

Autant dire qu’il n’y aurait plus d’horaires nationaux. L’organisation des enseignements serait fixée par le Conseil d’administration dans le cadre du projet d’établissement.

Le projet de réforme est aggravé de réunion en réunion, s’opposant aux revendications des enseignants, qui pourtant remontent de tous les établissements, notamment l’allègement des effectifs dans les classes et le rétablissement des dédoublements.

Dans ces conditions, constatant que la discussion est bloquée, le SNFOLC s’est associé au SNES, à la CGT et au SNALC et a quitté la séance.

Pour FO, ce projet est inacceptable.

La voie de la sagesse, c’est de le retirer. C’est le seul choix que devrait faire la ministre pour éviter un conflit majeur.

Le SNFOLC est disponible pour l’action commune pour tout mettre en oeuvre pour obtenir l’abandon de ce projet.

Cette réforme s’inscrit dans une logique, celle de l’austérité et du pacte de responsabilité, celle de la territorialisation de l’école et de la réforme territoriale. Le 9 avril les confédérations FO, CGT, Solidaires et la FSU appellent à la grève interprofessionnelle. Le SNFOLC invite les personnels à y participer pour dire : « austérité, déréglementation, contre-réforme, il faut que cela s’arrête ! »

 

le communiqué en PDF

 

Image allongee elections 2014